Les mises à la route ralentissent encore en Italie. Le pays est tombé en dessous des 125 000 livraisons de voitures neuves en novembre 2024, soit 11,2 % de moins que l'an passé. Cette baisse a pour conséquence une dégradation du bilan annuel.
En novembre 2024, les immatriculations de voitures électriques ont chuté de 21,8 % en Allemagne, dans un marché en léger repli de 0,5 %. Les autorités anticipent une diminution des mises à la route de 0,7 % en 2024.
Tandis que les reventes de voitures d'occasion ont ralenti de 1,9 % au cours du mois de novembre 2024, les enseignes ont limité la casse. Selon AAA Data, elles ont totalisé 149 150 transactions, soit à peine 0,3 % de moins que l'an passé.
Les immatriculations de voitures particulières et d’utilitaires légers ont plongé de 15,2 % en novembre 2024. Le marché des flottes perd désormais 4,8 % depuis janvier, à 710 945 mises à la route. L’actualité chargée pour le secteur n’incite guère à l’optimisme quant à un éventuel rebond.
Pour la première fois en sept mois, le marché français accuse un ralentissement des ventes de véhicules d'occasion. Un déclin de façade car, à nombre de jours ouvrés équivalents, la dynamique était en vérité satisfaisante en novembre 2024.
Pour le septième mois consécutif, les immatriculations en France enregistrent une forte contraction en novembre 2024. Avec deux jours ouvrés de moins, elles se sont écroulées de 12,7 % pour atteindre 133 320 unités. Depuis plusieurs mois, ce volume semble être désormais le rythme de croisière du marché, tiré en partie vers le bas par l'électrique.
Après dix mois d'activité, les reventes de véhicules utilitaires d'occasion vont bon train. Au jeu des statistiques, il y a cependant des perdants, comme Fiat, et des grands gagnants, comme Ford. Seraient-ce les prémices d'un chamboulement en 2025 ?
Le marché espagnol de la seconde main se porte bien. Preuve en est, tout indique que le nombre de véhicules d'occasion remis à la route en 2024 rappellera les statistiques que le pays a connues avant la pandémie de Covid-19.
Porté par des marques domestiques très en forme, le marché allemand des voitures d'occasion a progressé de 10,9 % en octobre 2024, à près de 575 000 transactions. Il dépasse 5,5 millions d'unités au terme des dix premiers mois.
Malgré une croissance de 6 % de l'ensemble du marché allemand en octobre 2024, avec 231 992 unités, les immatriculations de véhicules électriques reculent de 5 % et leur part se limite à 15,3 %. Depuis le début de l'année, les chiffres globaux s’effritent de 0,4 %.
Le segment n'est certes pas le plus important en termes de volume, mais il est de loin le plus porteur. Les véhicules d'occasion récents enregistrent de fortes progressions depuis plusieurs mois et cela s'est encore confirmé en octobre 2024.
Stigmatisées pour leur lenteur à électrifier leurs flottes automobiles, les entreprises commencent à réagir. En octobre 2024, les mises à la route de voitures électriques ont bondi de 22,5 %, sur un marché BtoB à -13 %, toujours dominé par Renault.
Octobre 2024 s'est soldé par près de 490 000 transactions de voitures d'occasion en France, soit 3,5 % de plus que l'an passé et une confirmation de la tendance de la rentrée. Après dix mois, le marché gagne 4,1 %, mais les marques de tête cèdent du terrain.
Avec une contraction de 11 % en octobre 2024, le marché automobile français enregistre une sixième baisse consécutive. Il n'a totalisé que 135 529 immatriculations. Un résultat qui n'augure rien de bon pour la fin de l'année. Dans ce contexte très morose, la quasi-totalité des marques affichent de mauvaises performances, tout comme l'électrique qui semble subir une panne de batterie.
Ce seront finalement 700 millions d'euros qui seront affectés pour l'aide à l'achat de véhicules électriques en 2025. Le gouvernement avait déjà réduit de 530 millions d'euros l'enveloppe dédiée aux bonus, leasing social et autre prime à la conversion lors de la préparation du budget.
Dans sa dernière publication en date, AAA Data se projette sur un cumul de 5,3 millions de transactions de voitures d'occasion en 2024. En partant de ce postulat, cela pourrait positionner le dernier trimestre sous la moyenne, par rapport aux années précédentes.
Le marché des voitures neuves a marqué un troisième exercice mensuel en baisse en Europe (-6 %). À noter, que les ventes de voitures électriques ont rebondi après plusieurs mois de baisse. En revanche, Stellantis est dans le rouge et perd près de quatre points de parts de marché.
Selon les chiffres de la Ganvam, 164 218 voitures d'occasion ont repris la route en Espagne, en septembre 2024. Une croissance de 5,3 % sur un an que le pays doit au segment du 0-5 ans, qui a progressé de 8,8 %.
En septembre 2024, plus de 530 800 voitures d'occasion ont trouvé preneurs en Allemagne. Sur un an, le volume a progressé de 6 %. Après neuf mois, le marché pointe à plus de 4,925 millions de transactions, soit 8 % de mieux que l'an passé.
En septembre 2024, les transactions de véhicules d'occasion ont accéléré de 6,1 % par rapport à l'an passé, à 433 704 unités. Cette croissance a profité à toutes les régions de France métropolitaine, mais certaines ont davantage tiré profit de cette situation.
Le marché français des voitures d'occasion a pris 6,1 % en septembre 2024. Il a penché en faveur des hybrides et des électriques, même si les moteurs thermiques restent majoritaires. De leur côté, les motorisations diesel ont limité la décrue.
Après une mauvaise passe en août 2024, le marché italien des voitures neuves n'a pas redécollé en septembre. Au contraire, selon le rapport officiel, il a encore connu une baisse à deux chiffres du volume d'immatriculations. Soutenu financièrement, le segment des véhicules électriques s'envole.
Le marché des flottes a perdu 15,5 % en septembre 2024, à 63 717 immatriculations de voitures particulières et d’utilitaires légers. Un déclin qui s’intensifie mois après mois. Depuis janvier, la perte atteint 2,6 %, à 580 058 mises à la route.
Parmi les signes positifs du marché des voitures d'occasion en septembre 2024, il y a notamment la très belle performance des distributeurs. Leurs ventes ont nettement progressé et leur pénétration se maintient à plus de 36 % après neuf mois.
Les ventes de voitures d'occasion se sont envolées en septembre 2024. Selon AAA Data, 433 700 changements de propriétaires ont été enregistrés, soit 6,1 % de plus que l'an passé. Le tableau des résultats dévoile même une situation inédite.
Dans un climat d'incertitude, le marché automobile a décroché en septembre 2024 de 11,1 %, avec un total de 139 003 immatriculations. Cette baisse semble ne pas avoir de fin d'autant plus que ces résultats sont inférieurs à ceux d'il y a deux ans, en pleine pénurie des semi-conducteurs.
Les immatriculations de voitures électriques ont plongé de 43,9 % en août 2024 à l’échelle européenne, à 92 000 unités. Le tout sur un marché global à -18,3 %. Un bilan chiffré désastreux qui fait écho aux inquiétudes récemment soulevées par les constructeurs.
Avec tout juste 538 000 transactions répertoriées en août 2024, le marché allemand des voitures d'occasion a gagné 1 %. La chute du diesel a été largement compensée par le dynamisme des hybrides et des électriques.
À écouter les acteurs du marché des voitures d'occasion, le moral n'est pas au beau fixe dans les points de vente depuis le début de la période estivale. La faute à un ralentissement de l'activité depuis juin. Reste à savoir si les statistiques confirment ce sentiment.
Comme sur le marché des voitures neuves, les voitures d'occasion rangées dans la catégorie des hybrides ont fait une percée en août 2024, à 9,2 % de pénétration. Les propositions diesel continuent de perdre des acheteurs.
Moins de 129 500 voitures d'occasion ont été revendues par des professionnels en août 2024. En comparaison avec l'an passé, le volume des boutiques a ainsi reculé de 0,6 %. Un petit coup d'arrêt pour un canal qui avait le vent en poupe.
Le marché des voitures neuves souffre d'une importante baisse au mois d'août 2024 selon la Ganvam, avec une baisse de 6,5 % sur un an et un total de 52 322 unités écoulées. Depuis le début de l'année, le marché reste cependant en croissance avec 671 551 nouvelles inscriptions, soit une hausse de 4,5 % sur un an.
Dans un marché qui perd un quart de son volume, les immatriculations de véhicules électriques s’effondrent de 33,3 % pour tomber à 13 107 unités. En contrepartie, les modèles hybrides non rechargeables tirent leur épingle du jeu avec une croissance de 19,7 %, dépassant désormais en volume les ventes de véhicules essence.
Le mois d’août a été violent pour le marché des flottes. Les immatriculations de voitures particulières et d’utilitaires légers ont perdu 22,5 %, à 41 127 unités. Cette contre-performance fait basculer les mises à la route BtoB dans le rouge depuis janvier.
La chute de 24 % du marché automobile français en août 2024 n'épargne aucun canal de vente, mais frappe plus durement les immatriculations aux sociétés et aux administrations. Ces dernières ont acquis 34 % de véhicules de moins qu'en 2023. Le segment des particuliers décroît, quant à lui, de 22 %.
Toujours bien orienté, le marché français des voitures d'occasion a enregistré une croissance de 0,1 % à plus de 373 200 transactions en août 2024, selon AAA Data. Il cumule plus de 3,571 millions de ventes depuis le début de l'année, en gain de 4 %.
Avec une chute de 24 %, pour un total de 85 977 immatriculations, août 2024 s'inscrit dans un marché baissier depuis quatre mois. La quasi-intégralité des constructeurs est touchée par cette forte contraction, tandis que les ventes de voitures électriques connaissent leur premier recul. Autre fait important, les hybrides non rechargeables deviennent désormais les modèles les plus vendus en France.
Dans un marché européen au ralenti, enregistrant une croissance de 0,2 % en juillet 2024, les ventes de véhicules électriques et hybrides rechargeables chutent respectivement de 10,8 % et 14,1 %. Un recul qui profite aux immatriculations de modèles "full" et "mild" hybrides représentant près d’un tiers des motorisations.
Pour les revendeurs de voitures d'occasion, il est clair que les véhicules diesel ont encore de belles heures à vivre. Une perception du marché en contradiction avec la réalité froide des statistiques. La vérité se trouve certainement entre les deux.
Au premier semestre 2024, à peine plus de 22 000 voitures d'occasion ont été échangées de particulier à professionnel en France, d'après AAA Data. La tendance du rachat cash, très en vogue après la crise sanitaire, semble s'estomper maintenant que des véhicules abondent par les canaux d'approvisionnement traditionnels.