Le constructeur chinois a évoqué des discussions avec des constructeurs européens en vue de créer un pool CO2. BYD vendrait ainsi des crédits carbone, à l’image de son grand concurrent Tesla.
Le constructeur chinois annonce le déploiement d’un système de conduite autonome dans la plupart de ses modèles. Comme ses concurrents nationaux, BYD souhaite intégrer les dispositifs d’intelligence artificielle de la start-up DeepSeek.
Le cabinet britannique Escalent a réalisé une étude sur l'appétence des clients pour les marques chinoises dans les cinq plus gros marchés automobiles européens. Les résultats montrent que ces dernières gagnent du terrain.
La vice-présidente exécutive de BYD est la lauréate de ce prestigieux prix. Stella Li est la première femme à le remporter. Il s'agit également du premier titre mondial décerné à un constructeur chinois.
Cinq constructeurs, Tesla, BMW, SAIC, Geely et BYD, ont dénoncé devant la justice européenne les droits de douane supplémentaires appliqués aux véhicules électriques importés de Chine. L'exécutif européen prend acte et défendra sa position.
Dans un marché automobile en baisse de 3,2 %, les marques chinoises ont connu des fortunes diverses. En pleine mutation, elles revoient leurs stratégies pour exister durablement. Mais entre chute des ventes, réseaux à développer et ambitions freinées par la fiscalité, leur avenir en France reste incertain.
Après avoir vu ses ventes exploser de 62 % en 2023, la marque automobile chinoise a annoncé une progression de 40 % de ses immatriculations en 2024 pour atteindre les 4,2 millions de voitures. Le groupe fait désormais partie du top 5 des plus grands constructeurs mondiaux.
Retrouvez toutes les grandes interviews de l'année 2024, avec des acteurs incontournables du secteur automobile comme Denis Le Vot, Louis Schweitzer, Philippe Krief ou encore Florence Bailleul. L'occasion de redécouvrir les enjeux actuels de l'ensemble de la filière.
Le distributeur orléanais BPM prévoit de distribuer la marque chinoise dans plusieurs villes de Normandie, des Pays de la Loire et du Centre-Val de Loire, comblant ainsi un vaste territoire où BYD était jusqu'à présent absent.
Le constructeur chinois continue d'enrichir sa gamme avec un septième véhicule : le Sealion 7. Bien que performante sur le papier, cette déclinaison SUV de la berline Seal, modèle le plus vendu de BYD en France, manque de dynamisme.
Le constructeur chinois et l'entreprise de VTC américaine s’associent dans le but de rendre l’acquisition de véhicules électriques plus abordable pour les chauffeurs. Ce partenariat, qui s'inscrit dans le Plan pour la mobilité électrique, vise à permettre à 3 000 professionnels de passer à l’électrique d'ici 2025.
À l'occasion du lancement du Sealion 7, rencontre avec Emmanuel Bret, qui a été récemment nommé directeur général adjoint de BYD France. Au programme, le développement du réseau, les nouveaux standards et le lancement d'une nouvelle marque.
Avec les ouvertures annoncées des usines automobiles du chinois BYD et de BMW, ainsi que d'un site CATL dédié aux batteries, la Hongrie s'apprête à connaître une année industrielle riche en 2025. Alors qu'à l'ouest de l'Europe, les fermetures s'enchaînent.
Les constructeurs chinois dominent désormais 60 % du marché automobile national, profitant d'une demande accrue pour les marques locales. Des géants comme BYD, Geely et Chery dépassent leurs homologues étrangers et renforcent leur présence en Europe.
Le constructeur chinois vient d'inaugurer sa 300e adresse en Europe. Il s'agit de la concession de La Teste-de-Buch (33), ouverte par le groupe Autosphere. D'ici fin 2025, BYD vise 500 sites sur tout le continent et entre 50 et 60 en France avant l'année prochaine.
Pour la première fois, le chiffre d'affaires trimestriel de BYD dépasse celui de Tesla, le grand rival du constructeur chinois. Avec une hausse de 24 %, à 28,24 milliards de dollars, cette performance marque une étape importante dans la compétition mondiale entre les deux géants du véhicule électrique.
Directrice de la filiale britannique de Stellantis, Maria Grazia Davino va rejoindre un autre constructeur. Selon un faisceau d'indices, elle ferait partie des recrues de BYD pour piloter le développement de la marque chinoise de voitures électriques sur le marché européen.
Si l'édition 2024 du Mondial de l'Auto a été l'occasion pour de nombreuses marques de revenir dans les halls du parc des expositions à Paris, tous n'ont pas le même poids sur la planète. Le cabinet Inovev a réalisé une étude sur les performances de tous les acteurs présents. Instructif.
Bien que beaucoup de marques occidentales soient revenues au Mondial de Paris, les constructeurs chinois y occupent encore une large place. Si certains sont déjà distribués en France, d'autres font leur baptême de feu. Avec des stratégies pas toujours très claires.
Capable de réaliser 702 km entre deux recharges, la nouvelle Model 3 dans sa version grande autonomie devient le véhicule le plus efficient jamais produit par Tesla. Outre son autonomie record, la berline se distingue aussi par son prix d'appel à 44 990 euros. Un tarif qui risque de faire très mal à la concurrence.
Le constructeur chinois profite du salon IAA Transportation de Hanovre, en Allemagne, pour dévoiler l'E-Vali. Ce grand fourgon disponible en deux versions (3,5 et 4,25 t) restera dans la lignée des véhicules particuliers de BYD, c'est-à-dire entièrement électrique.
Ancien cadre dans plusieurs filiales de BMW Group, passé ensuite chez Vinfast et Fisker, Emmanuel Bret rejoint BYD France. Il prend la fonction de directeur général adjoint.
Porté par son marché domestique, où les véhicules électriques ne cessent de gagner du terrain, BYD affiche un bénéfice net semestriel de 1,7 milliard d'euros, en hausse de 24,4 %. Cela étant, la guerre des prix s’intensifie en Chine.
À l’occasion de sa venue en France le 26 juillet 2024, Stella Li, vice-présidente de BYD, a présenté les premiers axes de son plan pour développer la marque en Europe. Avec deux objectifs principaux : compter sur le long terme et devenir un acteur local.
À l'image des constructeurs occidentaux qui profitent de l'accord douanier entre la Turquie et l'Union européenne, ceux venus de Chine comptent bien faire de même. Après l'annonce de l'implantation d'une usine BYD, Ankara indique discuter avec cinq autres acteurs chinois.
Le constructeur chinois poursuit sa stratégie de production au plus près de ses marchés. Il va ainsi ouvrir une deuxième usine dans la zone Europe. Le choix de BYD se porte sur la Turquie.
Avant la mise en place d’une taxation plus sévère, les modèles électriques des marques chinoises représentaient 8,5 % des ventes continentales de VE à fin avril 2024. Une part qui grimpe même à 17 % en ajoutant les productions des marques occidentales en Chine.
Depuis le 5 juillet 2024, les voitures chinoises commercialisées en Europe sont taxées, à titre conservatoire, jusqu'à 48 %. Ainsi en a décidé Bruxelles pour réduire les importations chinoises qui ont bondi de 50 000 unités en 2020, à 437 000 en 2023.
Le constructeur chinois annonce la signature d’un protocole d’accord avec Ayvens à l’échelle européenne. Un partenariat similaire a récemment été conclu avec Arval. BYD s’allie ainsi aux deux loueurs longue durée les plus puissants du continent.
Une étude du cabinet AlixPartners décortique comment les groupes automobiles chinois parviennent à imposer leur dynamique partout dans le monde. BYD, le numéro un, incarne cette stratégie qui consiste à réécrire les règles du jeu d'une industrie en pleine transformation. Les constructeurs historiques sont condamnés à se laisser distancer.
Le constructeur chinois poursuit le maillage de sa distribution sur le territoire français en choisissant le groupe Fabre à Rodez (12). Cette nomination dévoile la stratégie de BYD, qui consiste à se développer désormais dans des villes de taille moyenne.
Présidé par Jean-Pierre Péricaud, le groupe de distribution étend son territoire avec Volvo et Jaguar Land Rover en s'implantant à Clermont-Ferrand (63). Une opportunité qui permettra à Péricaud Automobiles de doubler ses ventes avec ces deux marques. En parallèle, il ouvre deux sites BYD dans le centre de la France.
La mise en place par Bruxelles de droits de douane compensatoires concernant l'importation de véhicules électriques chinois en Europe risque de modifier le paysage automobile. Premières réactions à chaud des constructeurs et des opérateurs distribuant des marques et des modèles impactés par cette mesure.
Après avoir lancé six modèles électriques, BYD débarque sur le marché français avec de l'hybridation rechargeable. Cette technologie, appelée DMi chez le constructeur chinois, est disponible sous le capot du Seal U. Au programme : entre 80 et 125 km d'autonomie en mode 100 % électrique. Promesse tenue ?
Le constructeur chinois poursuit son développement en France avec l'ouverture d'un vaisseau amiral sur les Champs-Élysées, à Paris. Ce showroom sera une vitrine technologique pour la marque. Il est géré par China Harmony Auto, un groupe originaire de Hong Kong, déjà présent en Europe et au Royaume-Uni.
Plusieurs constructeurs automobiles étaient présents à l'édition 2024 du salon des start-up et de la technologie qui se déroule pendant quatre jours, jusqu'à samedi 25 mai à Paris. Une présence qui en dit long sur la volonté de ces marques de communiquer auprès d'un public beaucoup plus large.
Le chinois BYD poursuit son développement en France avec le groupe normand BMS qui ouvrira, dans les prochaines semaines, trois concessions au Havre, à Rouen (76) et à Mantes-la-Jolie (78). D'ici la fin de l'année 2024, le réseau du constructeur chinois comptera une soixantaine de points de vente.
Le groupe Bodemer ouvre une concession BYD à Angers (49). Le distributeur breton est désormais à la tête de quatre sites affichant le panneau de la marque chinoise. Il opère déjà à Rennes (35), Brest (29) et Nantes (44).
Le constructeur chinois, qui entend devenir le leader de la voiture électrique sur le Vieux Continent, étudie l’ouverture d’un nouveau site de production en Europe. En attendant, l'usine hongroise de BYD démarrera la fabrication de modèles à batteries en 2025.
Emil Frey France ouvre son portefeuille au constructeur chinois BYD pour distribuer ses produits au centre et à l'ouest de la France, avant de se lancer vers le nord du pays. En parallèle, le distributeur inaugure un second site Autosphere Center.