Plus de 167 900 voitures d'occasion ont trouvé preneurs en Espagne en janvier 2025, selon les données publiées par les associations professionnelles. Le marché de la revente commence donc l'année avec une croissance de 5,4 %.
Plus de 72 300 voitures neuves ont été mises à la route en Espagne, en janvier 2025, soit 5,3 % de plus que l'an passé à la même période. Cet élan de croissance est porté par le canal des particuliers qui a pris 12,3 % sur un an.
Avec plus de 42 millions de voitures en circulation à fin 2024, le parc automobile français a grossi de 1 %. Mais sa structure évolue que ce soit dans les motorisations, sa composition par vignettes Crit'Air et son âge.
Ils avaient fini l'année 2024 avec une part de marché supérieure à 36 %. Ils entament 2025 en ayant eu bien moins de poids. Les distributeurs de voitures d'occasion ont perdu en pénétration en raison de la dynamique des reventes de gré à gré.
En Norvège, la part des immatriculations de véhicules électriques atteint 95,8 % en janvier 2025. Parmi les modèles les plus vendus, la Toyota bZ4X arrive en tête, suivie de l’ID4 de Volkswagen et de l’Ariya de Nissan.
Le mois de janvier 2025 a été marqué par la forte poussée des mises à la route de voitures électriques sur le marché des flottes. Une progression réalisée dans un contexte plutôt morose sur les canaux BtoB.
Le mois de janvier 2025 s'est soldé par une progression de 7,7 % des reventes de voitures d'occasion. Selon AAA Data, 457 668 biens ont changé de propriétaires en France. Comme il s'agit du meilleur score enregistré à cette période depuis l'exercice 2021, cela peut donner de l'espoir à tout un secteur.
Avec 114 673 véhicules immatriculés en janvier, 2025 débute déjà avec un déficit de mises à la route par rapport à l'année précédente. Les immatriculations se sont contractées de 6,2 % et la situation politique instable gêne la visibilité sur les trimestres à venir.
En janvier 2025, le marché français perd 6,2 % d'immatriculations par rapport à 2024. Le premier mois de l'année compte 114 673 voitures neuves dont 17,4 % de modèles électriques grâce à la Renault 5 et la Citroën ë-C3.
Après une année 2023 morose, les ventes de pneus ont retrouvé de la croissance en 2024 sur le sol européen. Sur le marché du remplacement, les volumes TC4 ont notamment progressé de 5 %. Mais d'autres indicateurs, tels que la baisse des pneus PL, la chute de l'équipement d'origine et le poids toujours plus grand des fabricants asiatiques, s'avèrent synonymes d'incertitudes.
En 2024, les enseignes de voitures d'occasion ont augmenté leurs ventes de 6,9 %, à 1,934 million d'unités. Une progression qui a permis aux professionnels de capter 36,1 % du marché. Mais en fonction des tranches d'âge des véhicules, ils n'ont pas tiré les mêmes profits de toutes les marques. Voici les classements par segment.
Avec 10,6 millions d'unités, les immatriculations de véhicules neufs ont augmenté de 0,8 % en 2024, selon les chiffres de l’Association des constructeurs européens (ACEA). À l’exception du dynamisme espagnol, qui enregistre une croissance de 7,1 % l’année passée, les grands marchés du Vieux Continent affichent une baisse.
En 2024, près de 6,48 millions de voitures d'occasion ont été acquises outre-Rhin. Une croissance de 7,4 % par rapport à 2023 que le marché allemand doit en grande partie à la dynamique des marques automobiles importées.
L'an passé, plus de 2,11 millions de voitures d'occasion ont trouvé preneur en Espagne. Le marché a ainsi amélioré sa performance de 8,6 % par rapport à 2023. Les leviers du succès ont été variés, mais les autorités doivent désormais aider à pérenniser la situation.
Tesla, Peugeot, Renault… Le Journal de l’Automobile a recensé les 15 voitures électriques qui se sont le plus vendues en France en 2024. Si certains modèles ont souffert de l’arrêt du bonus, d’autres ont su tirer leur épingle du jeu, et ce, quelques mois seulement après le début de leur commercialisation.
Le marché des voitures d'occasion à particulier a progressé de 3,1 % l'an passé. Selon AAA Data, toutes les régions ont terminé 2024 en croissance, mais moins de la moitié a dépassé la moyenne.
Avec un total dépassant largement les 637 000 unités, les ventes de voitures d'occasion hybrides et électriques ont franchi un palier en France en 2024. Cette catégorie de produits a frôlé les 12 % de pénétration aux dépens des modèles thermiques.
Sur un marché en hausse de 2,6 %, les ventes de véhicules électriques ont augmenté de 21,4 % au Royaume-Uni. De quoi afficher une part de marché de 19,6 %, toutefois en dessous des 22 % fixés par le gouvernement. En 2025, le pays vise le seuil de 28 %.
Les ventes de véhicules électriques en Allemagne ont chuté de 27,4 % en 2024. Ils ne représentent plus que 13,5 % des immatriculations, contre près de 19 % un an plus tôt. Le marché global, en baisse de 1 %, totalise 2,8 millions de nouvelles mises à la route.
Depuis deux décennies, le marché automobile français connaît de nombreux soubresauts. La crise, inédite, vécue depuis 2019, donne l'occasion de regarder dans le rétroviseur pour déterminer les marques gagnantes et perdantes sur cette période.
Mobilians a recensé le pays de production de toutes les voitures électriques vendues en France en 2024. Avec l’application du score environnemental, l'impact sur les modèles sortis des usines chinoises a été massif.
Comme un trait tiré sur les effets durables de la pandémie, le nombre de voitures neuves immatriculées en Espagne a franchi le cap du million d'unités en 2024. La bonne tenue du canal des particuliers n'est pas étrangère à la croissance générale de 7,1 %.
L'objectif de revenir aux niveaux d'avant-crise n'a pas été rempli par les Italiens. Au contraire, le marché a connu un coup d'arrêt en 2024. Près de 1,56 million de voitures ont été livrées, soit 0,5 % de moins que l'année précédente.
L’année 2024 n’a pas été un long fleuve tranquille pour les voitures électriques sur les canaux BtoB, conséquence notamment de l’arrêt du bonus en février. Bien qu’en baisse, Tesla mène toujours les débats devant Peugeot et Renault.
La chute de 3,2 % du marché automobile français en 2024 n’aura pas épargné les principaux canaux de vente. Celui des particuliers, représentant 46,3 % des mises à la route l’an dernier, voit ses immatriculations reculer de 3,3 %. Pire encore, le segment des entreprises décroît de 7,5 %.
En frôlant 1,934 million de transactions au cumul de l'année 2024, les professionnels ont été à l'origine de plus de 36 % des remises à la route de voitures d'occasion. Ils sont ainsi parvenus à gagner près d'un point de part de marché en France.
En croissance de 3,1 % sur l'ensemble de l'année 2024, le marché des voitures d'occasion a atteint le total de 5,3 millions d'unités que les analystes anticipaient. Toutes les grandes marques en ont tiré profit, à une exception seulement.
Après un début d’année porté par le leasing social et un effondrement durant les cinq derniers mois, les immatriculations de véhicules électriques reculent de 2,6 % en 2024. Si des baisses sont à noter dans toutes les motorisations, les mises à la route de véhicules hybrides enregistrent la meilleure progression, avec une hausse de 42,1 %.
Les immatriculations de voitures particulières et de véhicules utilitaires légers ont décroché de 4,4 % en 2024 sur les canaux professionnels, pour un volume de 792 087 unités. Une année marquée par les incertitudes fiscales, la temporisation sur l’électrique et l’envol de l’hybride.
Si le marché automobile a connu un léger sursaut en décembre 2024 avec une progression de 1,5 % des immatriculations, soit 182 662 unités, l'année qui vient de s'achever reste dans le rouge. Les ventes se sont contractées de 3,2 % pour atteindre un volume global qui dépasse légèrement 1,7 million de véhicules.
En novembre 2024, les immatriculations de voitures électriques dans l’Union européenne ont dégringolé de 9,5 %, sur un marché à -1,9 %. Elles déclinent désormais de 5,4 % depuis janvier. Face à cette situation de crise, l’UE ouvre la porte des négociations aux constructeurs automobiles.
D'après les dernières statistiques du Centre professionnel des lubrifiants (CPL), le marché intérieur des huiles automobiles affiche un léger recul (-2 % environ) sur les dix premiers mois de 2024. L’exercice en cours devrait se terminer sur une note honorable.
À deux semaines de la fin de l'année 2024, il ne fait plus aucun doute que le marché espagnol des voitures d'occasion dépassera les deux millions de transactions. Le pays retrouve ainsi le niveau qui était le sien avant la pandémie de Covid-19.
En croissance depuis début 2024, le marché de l'occasion allemand a néanmoins freiné en novembre. Opel et Skoda ont tout de même réussi à tirer leur épingle du jeu.
Plus de 83 300 voitures ont été mises en circulation en Espagne en novembre 2024, soit 6,4 % de plus que l'an passé. Si le canal des particuliers a progressé, les marques peuvent remercier les loueurs courte durée.
Les mises à la route ralentissent encore en Italie. Le pays est tombé en dessous des 125 000 livraisons de voitures neuves en novembre 2024, soit 11,2 % de moins que l'an passé. Cette baisse a pour conséquence une dégradation du bilan annuel.
Selon Marc Bruschet, président des concessionnaires au sein de l'organisation Mobilians, le marché automobile français s'annonce en 2024 autour de 1,7 million d'immatriculations. Sans doute la pire année depuis 1973. La reprise, en 2025, ne sera possible que si les prix des voitures neuves diminuent.
En novembre 2024, les immatriculations de voitures électriques ont chuté de 21,8 % en Allemagne, dans un marché en léger repli de 0,5 %. Les autorités anticipent une diminution des mises à la route de 0,7 % en 2024.
Tandis que les reventes de voitures d'occasion ont ralenti de 1,9 % au cours du mois de novembre 2024, les enseignes ont limité la casse. Selon AAA Data, elles ont totalisé 149 150 transactions, soit à peine 0,3 % de moins que l'an passé.
Les immatriculations de voitures particulières et d’utilitaires légers ont plongé de 15,2 % en novembre 2024. Le marché des flottes perd désormais 4,8 % depuis janvier, à 710 945 mises à la route. L’actualité chargée pour le secteur n’incite guère à l’optimisme quant à un éventuel rebond.