Plus de 75 500 véhicules utilitaires d'occasion ont été échangés en septembre 2025 en France. Le marché a ainsi fait un bond de 9,3 % par rapport à l'an passé. Au terme des neuf premiers mois d'activité, le secteur affiche une croissance de 4,2 %.
Les immatriculations de voitures neuves ont progressé de près de 13 % sur un an en septembre 2025 en Allemagne. Si les hybrides dominent largement, les électriques signent leur meilleur mois, sous l’impulsion des constructeurs chinois.
Les immatriculations de voitures neuves en Espagne ont dépassé les 85 000 unités, selon les données des associations professionnelles. Outre la remarquable croissance de 16,4 %, il faut retenir que, pour la première fois, le pays dépasse les chiffres d'avant-Covid.
Bien que le segment B demeure le plus important du marché français, avec 47,6 % des immatriculations en septembre 2025, celui des C-SUV est le plus dynamique. Il a progressé de 2,4 points pour s'adjuger 25,2 % des ventes.
Avec la fin du troisième trimestre de l'exercice 2025 vient le temps du bilan. Dans le secteur des voitures d'occasion, la période estivale a été assez bonne. Plus de 1,319 million de transactions ont été réalisées, soit 0,6 % de mieux que l'an passé. Et les principales marques en sont sorties par le haut.
En septembre 2025, les livraisons de voitures électriques ont bondi de 43,6 % sur le marché des flottes, pour atteindre 9 692 unités. Un record ! Le Tesla Model Y, le Renault Scenic E-Tech et le Skoda Elroq forment le podium des meilleures ventes électriques en BtoB sur ce neuvième mois de l’année.
Les immatriculations continuent de jouer au yo-yo. En septembre 2025, le marché français a bondi de près de treize points en vingt-quatre heures. In extremis, le mois s'est ainsi soldé par une hausse de 1 %, alors qu'il affichait un résultat négatif les jours précédents. Cette évolution fulgurante illustre l’importance croissante des canaux tactiques utilisés par les constructeurs pour soutenir artificiellement leurs volumes et rester dans le vert.
Fortement secoué depuis plus d’un an, le marché des flottes n’a perdu que 0,6 % en septembre 2025, avec 63 328 immatriculations de voitures particulières et d’utilitaires légers. Une relative stabilité liée à l'accélération des mises à la route de modèles électriques.
Le marché des voitures d'occasion a nettement réaccéléré en septembre 2025 pour dépasser les 456 500 transactions, soit 5,3 % de plus que l'an passé. Ce qui vient parachever un troisième trimestre globalement positif pour le secteur. Cependant, après neuf mois d'activité, le marché progresse de 0,8 % à peine.
La progression de 1 % du marché automobile en septembre 2025, qui a gagné un jour ouvré par rapport à l'année dernière, est l'arbre qui cache la forêt. La quasi-totalité des constructeurs a enregistré des pertes. Et ceux qui sont parvenus à se maintenir à flot ont joué avec les chiffres.
Avec 677 786 immatriculations VP en août 2025, le marché de l'Union européenne confirme son embellie avec une croissance de 5,3 %. En revanche, depuis le début de l'année, il reste légèrement déficitaire (-0,1 %).
Le rythme des transactions de voitures d'occasion en Allemagne a subi un ralentissement de 4,4 % en août 2025, selon les données des autorités compétentes, à quelque 514 100 unités. Une contre-performance qui fait basculer le marché dans le négatif à l'entame du dernier quadrimestre.
En dix ans, le prix moyen d’une voiture du segment B a bondi de 30 %, pendant que l’offre sur le segment A a fondu comme neige au soleil. Les patrons de Renault et Stellantis ont dénoncé des règles conçues pour des véhicules lourds et chers, inadaptées aux citadines. Résultat : le marché s’effondre. Des solutions pour arrêter l’hémorragie sont-elles envisageables ?
Le mois d'août 2025 a été marqué par un repli de 0,7 % des ventes de voitures d'occasion en Espagne, selon les associations professionnelles. Un peu plus de 144 200 transactions ont été comptabilisées.
Sur un marché allemand en croissance de 5 % en août 2025, les immatriculations de véhicules électriques ont bondi de 45,7 %, à 39 367 unités, pour représenter 19 % du total. Malgré cela, depuis janvier, le repli est de 1,7 %, avec 1 874 820 mises à la route.
Les livraisons de voitures électriques accélèrent sur les canaux BtoB en 2025. À fin août, 60 124 mises à la route ont été recensées, soit une hausse de 47,1 %. Focus sur les marques qui tirent avantage de cet engouement des professionnels et sur celles qui n'en profitent pas.
Au terme des huit premiers mois de l'année, 527 500 voitures hybrides et électriques ont été revendues sur le marché de l'occasion en France. Peu à peu, ces alternatives approchent la barre des 15 % de pénétration. Mais qui sont les moteurs de cette croissance ?
Les membres du Top 100 des groupes de distribution ont cumulé un peu plus de 1,164 million de reventes de véhicules d'occasion en 2024, tous canaux confondus, selon nos informations. Ce volume s'inscrit en croissance en comparaison avec l'an passé, mais la question de l'impact de ces concessionnaires sur le marché se pose.
Après deux mois en berne, le secteur des véhicules d'occasion a connu un léger rebond en août 2025. Selon AAA Data, 373 985 transactions ont été bouclées, soit 0,2 % de plus que l'an passé à la même époque. De manière globale, le marché tricolore est positif.
Après plus d'un an de baisse ininterrompue, le marché automobile français respire enfin avec une hausse de 2,2 % en août 2025. Mais derrière ce sursaut, la réalité est moins flatteuse. La reprise tient surtout aux canaux tactiques de la location courte durée et des véhicules de démonstration, tandis que les ventes aux particuliers continuent de s’enfoncer.
En dépit d'une progression de 2,2 % en août 2025 et de la barre symbolique du million de véhicules immatriculés dépassée, le marché français de l'automobile est toujours aussi morose. Il a été artificiellement soutenu par les ventes électriques auprès des flottes et par les canaux stratégiques. Cependant, depuis le début de l'année, le recul s'affiche à 7,7 %.
Grâce à une poussée des voitures électriques (+39,1 %) en Europe, le marché affiche une croissance des immatriculations de 7,4 % en juillet 2025. Depuis le début de l'exercice, 6,49 millions de véhicules neufs ont pris la route dans le continent, soit un léger repli de 0,7 %.
Depuis peu, l'âge moyen des véhicules en circulation en Belgique a franchi la barre des dix ans. Un énième signe du vieillissement du parc roulant dans l'ouest-européen. Le pays reste cependant sous la moyenne, contrairement à la France. Le point sur la situation géographique.
La décision du Premier ministre François Bayrou de soumettre son gouvernement à un vote de confiance le 8 septembre 2025 ouvre une nouvelle période d’instabilité politique et budgétaire. Entre un projet de loi de finances compromis, des consommateurs paralysés par l’attentisme et une chute historique des commandes, le secteur automobile français voit ses fragiles espoirs de reprise brutalement freinés.
Pour le septième mois consécutif, les immatriculations de véhicules électriques ont progressé en Allemagne en juillet 2025. Un gain de 58 % qui permet au marché mensuel de rester dans le vert. Malgré cela, la chute est de 2,5 % depuis le début de l'exercice.
Tandis que leur part de marché augmente, les véhicules électriques affichent une légère baisse de 4,3 % de leurs immatriculations sur les sept premiers mois de l’année 2025 en France. Renault domine le marché tricolore avec 32 896 véhicules à batterie mis à la route.
En attendant le dispositif du leasing social, pourvoyeur de volumes, les ventes de voitures électriques en France sont de plus en plus supportées par le secteur des flottes. En juillet 2025, 40,3 % des livraisons ont concerné des professionnels.
Les immatriculations de véhicules utilitaires et industriels ont dégringolé en Europe au premier semestre 2025. Les poids lourds affichent une baisse de 15,4 %, tirée vers le bas par l’Allemagne et la France. Si les motorisations électriques progressent, leur part reste encore marginale.
Après un mois de juin 2025 épouvantable, le marché des flottes a ralenti sa chute en juillet. Les immatriculations de voitures particulières et d’utilitaires légers n’ont perdu que 7,1 %, à 58 642 unités. L’électrique a tiré son épingle du jeu.
En se basant sur les chiffres de l’ACEA publiés fin juillet 2025, la plupart des pays européens connaissent une croissance à deux chiffres de leurs immatriculations de véhicules à batterie au premier semestre 2025. À l’exception de la France, où les livraisons de modèles électriques ont chuté de 6,4 %. Un ralentissement qu'il faut relativiser.
Le marché automobile français traverse une zone de turbulences inédite : en sept mois, moins d’un million de véhicules particuliers ont été immatriculés. Plus préoccupant encore, les ventes sur ce segment s’effondrent à un niveau historiquement bas, ne représentant plus que 43 % du marché.
Le marché automobile français continue de s’enliser, avec une nouvelle baisse marquée des ventes de voitures neuves en juillet 2025. À peine plus de 116 000 véhicules ont été écoulés, confirmant une tendance déclinante amorcée au printemps 2024. Depuis le début de l'année, cela porte le marché à moins d'un million de voitures.
Les immatriculations de voitures neuves en France sont restées à un niveau particulièrement bas en juillet, avec une baisse de 7,7 % sur un an et un peu plus de 116 000 unités écoulées. Depuis le début de l’année 2025, le marché français enregistre un repli de 7,9 %, passant sous le seuil du million de ventes. Un recul nourri notamment par l’attentisme des consommateurs.
Selon les données publiées par l'association des constructeurs européens (ACEA), les immatriculations de voitures neuves ont plongé de 7,3 % en juin 2025 en Europe, à tout juste plus de 1,01 million d'unités. Cela a dégradé le bilan semestriel qui porte sur 5,576 millions de ventes, en baisse de 1,9 %.
Selon les associations professionnelles, plus d'un million de voitures ont été revendues d'occasion sur le marché espagnol au premier semestre 2025. En comparaison avec l'an passé, le pays enregistre une croissance de près de 5 %. Quatre transactions sur dix concernent un exemplaire de plus de quinze ans.
Au terme de la première moitié de l'année 2025, trois régions françaises ont particulièrement tiré avantage de la vente de voitures d'occasion. Elles enregistrent une croissance jusqu'à quatre fois supérieure à la moyenne nationale.
À l'image d'un mois de juin au ralenti (-1,2 %), le marché allemand des voitures d'occasion boucle un premier semestre 2025 bien terne. En empilant un peu moins de 3,274 millions de transactions, il a tout juste pris 0,3 % par rapport à l'an passé.
Le marché automobile français vit une reconfiguration profonde. Depuis 2021, les ventes de véhicules neufs reculent tandis que l’occasion explose. Une étude réalisée par AAA Data met en lumière une rupture durable, alimentée par la crise sanitaire, l’inflation et une offre de plus en plus pléthorique et électrifiée.
Le marché automobile allemand a reculé en juin 2025, pénalisé par la chute des ventes de moteurs thermiques. Seule éclaircie : les voitures électriques, en rebond. Sauf pour Tesla, dont les ventes s’effondrent, tandis que les marques chinoises poursuivent leur percée.
La crise couve sur le marché des flottes qui a vu les immatriculations de voitures particulières et de véhicules utilitaires légers plonger de 22,3 % en juin 2025, à 67 671 unités. Seul l’électrique tire son épingle du jeu.