À l'occasion du lancement du Sealion 7, rencontre avec Emmanuel Bret, qui a été récemment nommé directeur général adjoint de BYD France. Au programme, le développement du réseau, les nouveaux standards et le lancement d'une nouvelle marque.
Avec les ouvertures annoncées des usines automobiles du chinois BYD et de BMW, ainsi que d'un site CATL dédié aux batteries, la Hongrie s'apprête à connaître une année industrielle riche en 2025. Alors qu'à l'ouest de l'Europe, les fermetures s'enchaînent.
Les constructeurs chinois dominent désormais 60 % du marché automobile national, profitant d'une demande accrue pour les marques locales. Des géants comme BYD, Geely et Chery dépassent leurs homologues étrangers et renforcent leur présence en Europe.
Le constructeur chinois vient d'inaugurer sa 300e adresse en Europe. Il s'agit de la concession de La Teste-de-Buch (33), ouverte par le groupe Autosphere. D'ici fin 2025, BYD vise 500 sites sur tout le continent et entre 50 et 60 en France avant l'année prochaine.
Pour la première fois, le chiffre d'affaires trimestriel de BYD dépasse celui de Tesla, le grand rival du constructeur chinois. Avec une hausse de 24 %, à 28,24 milliards de dollars, cette performance marque une étape importante dans la compétition mondiale entre les deux géants du véhicule électrique.
Directrice de la filiale britannique de Stellantis, Maria Grazia Davino va rejoindre un autre constructeur. Selon un faisceau d'indices, elle ferait partie des recrues de BYD pour piloter le développement de la marque chinoise de voitures électriques sur le marché européen.
Si l'édition 2024 du Mondial de l'Auto a été l'occasion pour de nombreuses marques de revenir dans les halls du parc des expositions à Paris, tous n'ont pas le même poids sur la planète. Le cabinet Inovev a réalisé une étude sur les performances de tous les acteurs présents. Instructif.
Bien que beaucoup de marques occidentales soient revenues au Mondial de Paris, les constructeurs chinois y occupent encore une large place. Si certains sont déjà distribués en France, d'autres font leur baptême de feu. Avec des stratégies pas toujours très claires.
Capable de réaliser 702 km entre deux recharges, la nouvelle Model 3 dans sa version grande autonomie devient le véhicule le plus efficient jamais produit par Tesla. Outre son autonomie record, la berline se distingue aussi par son prix d'appel à 44 990 euros. Un tarif qui risque de faire très mal à la concurrence.
Le constructeur chinois profite du salon IAA Transportation de Hanovre, en Allemagne, pour dévoiler l'E-Vali. Ce grand fourgon disponible en deux versions (3,5 et 4,25 t) restera dans la lignée des véhicules particuliers de BYD, c'est-à-dire entièrement électrique.
Ancien cadre dans plusieurs filiales de BMW Group, passé ensuite chez Vinfast et Fisker, Emmanuel Bret rejoint BYD France. Il prend la fonction de directeur général adjoint.
Porté par son marché domestique, où les véhicules électriques ne cessent de gagner du terrain, BYD affiche un bénéfice net semestriel de 1,7 milliard d'euros, en hausse de 24,4 %. Cela étant, la guerre des prix s’intensifie en Chine.
À l’occasion de sa venue en France le 26 juillet 2024, Stella Li, vice-présidente de BYD, a présenté les premiers axes de son plan pour développer la marque en Europe. Avec deux objectifs principaux : compter sur le long terme et devenir un acteur local.
À l'image des constructeurs occidentaux qui profitent de l'accord douanier entre la Turquie et l'Union européenne, ceux venus de Chine comptent bien faire de même. Après l'annonce de l'implantation d'une usine BYD, Ankara indique discuter avec cinq autres acteurs chinois.
Le constructeur chinois poursuit sa stratégie de production au plus près de ses marchés. Il va ainsi ouvrir une deuxième usine dans la zone Europe. Le choix de BYD se porte sur la Turquie.
Avant la mise en place d’une taxation plus sévère, les modèles électriques des marques chinoises représentaient 8,5 % des ventes continentales de VE à fin avril 2024. Une part qui grimpe même à 17 % en ajoutant les productions des marques occidentales en Chine.
Depuis le 5 juillet 2024, les voitures chinoises commercialisées en Europe sont taxées, à titre conservatoire, jusqu'à 48 %. Ainsi en a décidé Bruxelles pour réduire les importations chinoises qui ont bondi de 50 000 unités en 2020, à 437 000 en 2023.
Le constructeur chinois annonce la signature d’un protocole d’accord avec Ayvens à l’échelle européenne. Un partenariat similaire a récemment été conclu avec Arval. BYD s’allie ainsi aux deux loueurs longue durée les plus puissants du continent.
Une étude du cabinet AlixPartners décortique comment les groupes automobiles chinois parviennent à imposer leur dynamique partout dans le monde. BYD, le numéro un, incarne cette stratégie qui consiste à réécrire les règles du jeu d'une industrie en pleine transformation. Les constructeurs historiques sont condamnés à se laisser distancer.
Le constructeur chinois poursuit le maillage de sa distribution sur le territoire français en choisissant le groupe Fabre à Rodez (12). Cette nomination dévoile la stratégie de BYD, qui consiste à se développer désormais dans des villes de taille moyenne.
Présidé par Jean-Pierre Péricaud, le groupe de distribution étend son territoire avec Volvo et Jaguar Land Rover en s'implantant à Clermont-Ferrand (63). Une opportunité qui permettra à Péricaud Automobiles de doubler ses ventes avec ces deux marques. En parallèle, il ouvre deux sites BYD dans le centre de la France.
La mise en place par Bruxelles de droits de douane compensatoires concernant l'importation de véhicules électriques chinois en Europe risque de modifier le paysage automobile. Premières réactions à chaud des constructeurs et des opérateurs distribuant des marques et des modèles impactés par cette mesure.
Après avoir lancé six modèles électriques, BYD débarque sur le marché français avec de l'hybridation rechargeable. Cette technologie, appelée DMi chez le constructeur chinois, est disponible sous le capot du Seal U. Au programme : entre 80 et 125 km d'autonomie en mode 100 % électrique. Promesse tenue ?
Le constructeur chinois poursuit son développement en France avec l'ouverture d'un vaisseau amiral sur les Champs-Élysées, à Paris. Ce showroom sera une vitrine technologique pour la marque. Il est géré par China Harmony Auto, un groupe originaire de Hong Kong, déjà présent en Europe et au Royaume-Uni.
Plusieurs constructeurs automobiles étaient présents à l'édition 2024 du salon des start-up et de la technologie qui se déroule pendant quatre jours, jusqu'à samedi 25 mai à Paris. Une présence qui en dit long sur la volonté de ces marques de communiquer auprès d'un public beaucoup plus large.
Le chinois BYD poursuit son développement en France avec le groupe normand BMS qui ouvrira, dans les prochaines semaines, trois concessions au Havre, à Rouen (76) et à Mantes-la-Jolie (78). D'ici la fin de l'année 2024, le réseau du constructeur chinois comptera une soixantaine de points de vente.
Le groupe Bodemer ouvre une concession BYD à Angers (49). Le distributeur breton est désormais à la tête de quatre sites affichant le panneau de la marque chinoise. Il opère déjà à Rennes (35), Brest (29) et Nantes (44).
Le constructeur chinois, qui entend devenir le leader de la voiture électrique sur le Vieux Continent, étudie l’ouverture d’un nouveau site de production en Europe. En attendant, l'usine hongroise de BYD démarrera la fabrication de modèles à batteries en 2025.
Emil Frey France ouvre son portefeuille au constructeur chinois BYD pour distribuer ses produits au centre et à l'ouest de la France, avant de se lancer vers le nord du pays. En parallèle, le distributeur inaugure un second site Autosphere Center.
Après Rennes (35) et Brest (29), le groupe briochin ouvre son troisième site BYD à Nantes (44). Dans les mois à venir, Bodemer va encore inaugurer deux nouvelles concessions dédiées à la marque chinoise.
Boudée durant un temps, l’automobile fait son retour à la Foire de Paris, qui se tiendra du 1er au 12 mai 2024. Après une première expérience en 2023, Retail Renault Group Paris revient avec un dispositif mêlant des VO de Renew et des VN Dacia. BYD et Vinfast ont également annoncé leur présence.
Le constructeur chinois annonce la livraison de 100 berlines BYD Seal à FlexiFleet. Les clients du loueur spécialisé dans la location longue et moyenne durée de VTC pourront recevoir leurs véhicules entre avril et mai 2024.
Wang Wentao, ministre du Commerce chinois, devrait se rendre en France pour défendre les importations des véhicules électriques de son pays. Un déplacement qui doit avoir lieu le 7 avril 2024, en compagnie des représentants des marques BYD, Geely et SAIC.
La marque continue d'enrichir sa gamme. Après six véhicules particuliers, BYD arrive dans le monde de l'utilitaire avec l'ETP3, un fourgon compact urbain électrique capable de transporter jusqu'à 780 kg de charge utile.
Le constructeur chinois, qui a vu ses ventes mondiales dépasser les trois millions de véhicules en 2023, affiche un bilan financier record. Le chiffre d’affaires de BYD a atteint 76,8 milliards d’euros, pour un bénéfice de 3,83 milliards.
Alors que la berline Seal dispose de tous les atouts pour séduire une clientèle européenne, le Seal U conserve certains attributs propres aux voitures chinoises, à savoir un très bon confort. Mais son comportement routier manque de rigueur.
Quasiment inconnu hors de Chine il y a à peine deux ans, le constructeur BYD (Build Your Dreams) est aujourd’hui au cœur de toutes les attentions. Il se dispute avec Tesla la première place mondiale sur le marché de la voiture électrique et affiche de très fortes ambitions en Europe.
Le géant de l’automobile chinois BYD a indiqué avoir été approché par l’Italie pour l’implantation de sa nouvelle usine en Europe. Le gouvernement italien chercherait en effet à accueillir un second constructeur dans le but d’augmenter sa production nationale de voitures et mettre ainsi un terme au monopole de Stellantis.
Responsable de la distribution de la marque chinoise dans l'ouest de la France, le groupe Bodemer vient d’ouvrir, après Rennes (35), un point de vente BYD dans la ville de Brest (29).
Il y aura très peu de constructeurs pour le retour du salon de Genève, du 26 février au 3 mars 2024, que tous croyaient enterré depuis le Covid. En plus d'un rebond des ventes qui se fait attendre en Europe, des échéances réglementaires toujours plus contraignantes, la filière s'inquiète pour son avenir à l'heure de l'intelligence artificielle.