Le sénateur des Alpes-Maritime, Philippe Tabarot, a présenté les résultats de la consultation en ligne sur l’acceptabilité des ZFE. Sur les 51 346 volontaires ayant répondu, 86 % sont défavorables à leur mise en place.
Et si le contrôle technique permettait de réguler l'entrée des véhicules dans les zones à faibles émissions (ZFE) ? C'est ce que propose notamment Mobilians mais aussi le député Gérard Leseul, qui estime qu'une lecture de la plaque d'immatriculation des voitures prendrait mieux en compte leur usage.
Trois mois après sa nomination, Edouard Manini, coordinateur interministériel sur le dossier brûlant des ZFE, jette l'éponge. Il est remplacé par Claude Renard, qui supervisait le déploiement des bornes de recharge au ministère de la Transition écologique.
Dans le récent sondage conduit par l'Institut CSA, les Français exposés aux règles des ZFE ont estimé leur capacité budgétaire pour changer de véhicule et se mettre en conformité. Il restait à savoir si l'offre actuelle de voitures d'occasion pourrait aider à convertir le parc. Eléments de réponse.
Alors que les zones à faibles émissions (ZFE) se mettent progressivement en place dans les principales métropoles françaises, le Sénat lance une consultation en ligne sur le sujet. Elle est ouverte à tous jusqu’au 14 mai 2023.
L'interdiction des véhicules Crit'Air 3 dans la Métropole du Grand Paris, prévue pour juillet 2023, va attendre. Elle devrait être reportée à fin 2024 ou début 2025. Un sursis pour 380 000 véhicules.
Une étude réalisée par l'institut CSA montre que les propriétaires de voiture Crit'Air 3 ne sont pas encore prêts pour l'application des ZFE. Franck Cazenave, l'expert en mobilité à l'origine du sondage sans précédent, milite pour un report général de la mesure.
La présidente LR de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, demande un nouveau report de la prochaine étape d'interdiction de circulation des véhicules les plus polluants dans la zone à faibles émissions du Grand Paris. Pendant ce temps, Anne Hidalgo, maire de la capitale, confirme la création de la zone à trafic limité pour 2024.
Patrick Ollier, président de la métropole du Grand Paris, s’est confié au Parisien au sujet de l’interdiction des véhicules Crit’Air 3 dans la ZFE francilienne. Ce dernier souhaite proposer aux élus de maintenir l’échéance de juillet 2023 avec la mise en place "d’un nouvel échelon d’interdiction" ou le report à fin 2024.
Mesure phare de la loi Climat et Résilience, les ZFE-m suscitent encore de nombreux débats. Les règles ne sont toujours pas claires et restent mouvantes, tout comme les aides qui font naître des inégalités selon les territoires.
Le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, demande un moratoire sur les zones à faible émission (ZFE). Il appelle à un retour en arrière pour éviter une écologie punitive pour les plus pauvres.
L’interdiction de circuler des véhicules Crit’Air 2, qui devait initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2026, est repoussée au 1er janvier 2028. L’extension de la zone à faible émission (ZFE) à de nouvelles communes autour de Lyon est également remise en question.
Le texte déposé à l'Assemblée nationale par le RN pour supprimer les ZFE-m a été rejeté. Le dispositif est donc maintenu. Le gouvernement a nommé le coordinateur interministériel en charge du déploiement de ces zones. Pour l'instant, le système de vignettes Crit'Air ne devrait pas connaître d'évolution.
Un décret publié le 23 décembre 2022 donne la possibilité aux agglomérations, dont les émissions de dioxyde d'azote (NO2) restent en dessous d'un certain seuil, de ne pas mettre en place de zones à faibles émissions (ZFE).
Le club automobile Roole dévoile les résultats de son premier Observatoire sur la mobilité automobile des Français. Le constat est que le concept des ZFE est encore mal ou peu connu. Les personnes interrogées s’inquiètent aussi du coût nécessaire pour se mettre en conformité.
Une récente étude réalisée par l'Iddri met en lumière l'inégalité de traitement des Français, selon les territoires, concernant les aides à la mobilité à faible émission. Plus de 100 dispositifs différents cohabitent en France, mais il demeure de véritables zones blanches ou aucun accompagnement n’est proposé.
L’interdiction de rouler concernant les véhicules classés en vignette Crit’Air 3 au sein de la métropole du Grand Paris va être repoussée. Un report qui sera soumis au vote du conseil métropolitain.
Des contrôles automatiques à l'entrée des ZFE seront mis en place, selon le comité interministériel de suivi des zones à faibles émissions. Des amendes pouvant aller jusqu'à 68 euros pourraient être infligées.
Un rapport parlementaire, remis le 12 octobre 2022, pointe les incohérences et le manque de dialogue autour des zones à faibles émissions (ZFE). Les auteurs mettent également en avant la nécessité d'accompagner les Français dans cette transition.
La mission flash sur les ZFE, commandée par l'Assemblée nationale, demande plusieurs mesures d'accompagnement dans la mise en place de ces zones et propose une nouvelle classification des vignettes Crit'Air ainsi qu'une modification du seuil du malus au poids.