Alors que les rebelles Houthis terrorisent le trafic maritime sur ce passage stratégique du commerce mondial, les constructeurs automobiles ont appris à mieux gérer les risques sur la chaîne d'approvisionnement. Non sans impacts sur le coût final.
2024 démarre sur un rythme incertain pour les opérateurs automobiles. Malgré une hausse notable des immatriculations de 16,1 % en 2023, le secteur peine à retrouver son dynamisme d'avant-crise. À l'approche des journées portes ouvertes, plusieurs concessionnaires partagent leurs perspectives.
Contrat d’agent chez Jaguar, diminution importante des marges unitaires chez Land Rover, réduction du nombre de points de vente... autant de griefs que les distributeurs ont à l'égard du constructeur britannique. Une situation considérée comme inacceptable qui a pour conséquence la création d’un groupement européen.
Un rapport de l'institution onusienne chargée de l'environnement s'est penché sur l'exportation des vieux VO vers les pays en développement. Leur moyenne d'âge est de 18 ans et 93 % répondent à la norme Euro 3 ou moins. L'ONU plaide pour une meilleure réglementation.
Selon le périmètre choisi, le premier groupe mondial est l'Alliance ou Volkswagen. Le podium est complété par Toyota. Les trois constructeurs sont encore une fois au-delà des 10 millions de véhicules écoulés dans l'année.
Qui a dit que l'univers automobile était toujours plus pragmatique ? Au regard des résultats des différents constructeurs, le monde des voitures de luxe a encore de beaux jours devant lui. Panorama des résultats.
Mopar se lance dans l’aventure du e-commerce en proposant 1 300 articles pour les véhicules des marques du groupe FCA sur la plateforme Amazon Marketplace.
Entre la grogne des Gilets jaunes, le passage au cycle d’homologation WLTP, les humeurs de Donald Trump, l’arrestation de Carlos Ghosn ou encore la surenchère de l’Europe sur les objectifs CO2, l’année 2018 n’a pas été de tout repos pour le monde de l’automobile.
L’année 2018 a été riche en nouveautés produits avec, sur le devant de la scène, une nouvelle fois, le segment des SUV, mais aussi des berlines compactes. Revue non exhaustive des 15 plus gros lancements de l’année.
Selon une étude récente commandée par la PFA, l'un des scenarii les plus probables de développement voit l'électrique, l'hybride rechargeable et le GNV prendre des parts de marché significatives, à partir de 2030.
Comme chaque année, le magazine américain Consumer Reports a publié les résultats de son enquête sur la fiabilité des marques automobiles. Les asiatiques s'en sortent encore haut la main.
Franfinance s’est intéressé à la vision des Français sur l’automobile et leurs souhaits relatifs à leur futur véhicule. Résultat : les consommateurs restent très pragmatiques, privilégiant les citadines, des véhicules au prix attractif et les moins gourmands possibles en carburant.
PwC profite du salon parisien pour dresser le futur paysage du marché automobile mondial. Avec, comme perspective, une émergence de plus en plus rapide de l’électrique, mais aussi de la Chine.
Le président de la République serait prêt à défendre une position plus souple à Bruxelles sur la baisse des émissions de CO2 en 2030. En contrepartie, il demande un effort des constructeurs dans le renouvellement du parc automobile français.
Bien que la rencontre Trump-Juncker n'ait lieu que le 25 juillet prochain, l'Union européenne envisage déjà toutes les possibilités et prépare même une liste de produits américains à taxer si jamais les Etats-Unis décidaient de taxer les voitures européennes.
Le 25 juillet 2018, Jean-Claude Juncker rencontrera le président américain Donald Trump, afin de réduire les tensions commerciales entre l'Union européenne et les Etats-Unis. En jeu ? L'abandon des 25 % de taxes réclamées par les USA pour les importations de voitures neuves.
Alors que les exportations européennes de VP ont augmenté en volumes au premier trimestre 2018, leur valeur, elle, a reculé. Dans le même temps, les importations ont fortement progressé notamment auprès de la Corée du Sud, de la Chine et du Mexique.
Alors que le risque de guerre commerciale dans le secteur automobile devient réel entre les Etats-Unis et l’Europe, l’industrie allemande invite les deux parties à renoncer aux droits de douane envisagés. Une proposition également formulée par l’ambassadeur américain en Allemagne.
Après GM, BMW vient d'adresser un courrier à l'administration américaine pointant les potentiels effets néfastes d'une taxe supérieure sur les véhicules importés. Les constructeurs seront écoutés jusqu'au 6 juillet, puis le département du Commerce américain fera ses recommandations au président Trump.
Avec 30,2 % de parts de marché sur juin et 26,4 % sur le premier semestre 2018, le groupe Renault affiche sa satisfaction. Les loueurs de courte durée ont repoussé beaucoup de livraisons en juin. De leur côté les entreprises ont craint l'impact des nouvelles normes.
Selon une étude Euler Hermes, l'industrie automobile européenne serait potentiellement privée de 10 milliards d'euros de chiffre d'affaires suite aux nouvelles taxes douanières imposées par Donald Trump.
La célèbre marque américaine vient d'annoncer que ses motos vendues en Europe ne seraient plus produites aux Etats-Unis afin d'éviter 31 % de droits de douane. Voilà l'une des premières conséquences de la guerre commerciale initiée par Donald Trump.
L'administration Trump semble avoir les automobiles importées dans le collimateur. Après celles venant du Mexique, le président américain cible aujourd'hui tout ce qui n'est pas produit sur le sol des Etats-Unis. Dans une économie mondialisée, où de nombreux constructeurs possèdent des usines chez l'Oncle Sam, pas sûr que l'automobile américaine en ressorte plus forte, selon l'Acea, qui vient de réagir.
Le président américain poursuit sa stratégie de taxes punitives. Dernier projet en date, relever le taux de taxation sur les importations de véhicules, notamment européens.
PSA, Renault et Volkswagen pourraient être touchés par la dénonciation du traité nucléaire avec l'Iran. Pour l'instant, les réactions sont très attentistes et les constructeurs espèrent surtout un maintien des positions européennes.
La perspective de la levée d'une bonne partie des restrictions concernant les JV, notamment automobiles, n'a pas été appréciée par les Bourses chinoises qui ont sanctionné les constructeurs locaux.
Lors de la dernière série de négociations en vue de réviser leur accord de libre-échange (ALE), la Corée du sud a convenu d'ouvrir davantage son marché automobile aux constructeurs américains en échange d'une exemption des taxes sur les importations d'acier.
Si l'UE imposait des droits de douane sur l'importation d'acier et d'aluminium, le président américain a évoqué, en répercussion, une taxe sur les importations de véhicules européens.
Selon l’ACEA, les exportations de véhicules particuliers des 28 pays d’Europe se sont accrues en 2017, aussi bien en valeur qu’en volume. Les États-Unis sont restés de loin les premiers acheteurs de modèles neufs européens. La France a en revanche vu ses exportations reculer et ses importations significativement augmenter.
Si près de 5 millions de VO quittent l'Europe chaque année pour le continent africain, la plupart d'entre eux sont aussi vieux et polluants. Du coup, certains se demandent s'il n'est pas temps de professionnaliser le marché de la seconde main de l'autre côté de la Méditerranée.
Via son plan DFL Triple One, Dongfend Motor nourrit l’ambition d’atteindre d’ici à 2022 un chiffre d’affaires de 38,5 milliards d’euros avec un volume de 2,6 millions de véhicules neufs vendus. Pour ce faire, le constructeur prévoit l’introduction de 40 nouveaux modèles, dont 20 électrifiés.
A l'occasion de Rétromobile, l'association 40 millions d'automobilistes publie son second baromètre des véhicules de collection les plus demandés. Cette année, les 2CV, Mustang et Mini trustent les premières places.
Après un exercice dans le vert, le marché du poids lourd devrait se maintenir à plus de 50 000 immatriculations pour la deuxième année consécutive. Seules ombres au tableau : des délais de livraison qui s’allongent chez les carrossiers et un recrutement toujours plus difficile dans les ateliers…
L’Agence européenne de l’environnement (AEE) vient de publier le niveau moyen d’émissions de CO2 des véhicules particuliers neufs vendus sur le Vieux Continent, par marque, en 2016.
Comparé avec le niveau que doivent atteindre les constructeurs d’ici à 2021, estimé par l’association européenne Transport & Environment, ce grammage moyen montre les marques en bonne voie d’atteindre leur cible… et les retardataires.
Le dernier rapport de l’Agence européenne pour l’Environnement (AEE) met en lumière les progrès réalisés en termes de baisse d’émissions de CO2 des véhicules particuliers (VP) neufs vendus sur le Vieux Continent en 2016. Si la plupart des constructeurs ont suivi la tendance baissière, les Français sont restés les constructeurs les plus vertueux.
Carlos Ghosn, patron de l’Alliance Renault – Nissan – Mitsubishi a annoncé avoir commercialisé 10,6 millions de véhicules dans le monde en 2017. Ce qui la placerait d’office au rang de premier constructeur mondial. Une affirmation discutée, selon le périmètre considéré.