
Alors qu’Antonio Filosa annonce un investissement de 13 milliards de dollars aux États-Unis pour relancer la croissance, Stellantis traverse une zone de turbulences en Europe. Baisse des ventes, arrêts de production, remaniement interne : le constructeur paie le prix d’une stratégie jadis triomphale, initiée par Carlos Tavares, mais désormais fragilisée par la crise de la demande.