Rentabilité des réseaux : merci à l'inflation et au VO (dernière partie)
Dans l’ensemble, les réseaux ont affiché une belle rentabilité en 2022 avec des records pour Mercedes‑Benz, Toyota et Hyundai. La pénurie de produits, couplée à l’inflation, a permis de maintenir des prix de transaction élevés sur le VN, de soutenir une activité VO à forte marge et de profiter d’un regain des entrées dans les ateliers. Mais tout le monde n’a pas vraiment bénéficié de la situation macroéconomique.
Le réseau Toyota a engrangé une rentabilité record de 3 % en 2022. ©Michel Guilbert
A lire aussi : Rentabilité des réseaux : merci à l'inflation et au VO (première partie)
A lire aussi : Rentabilité des réseaux : merci à l'inflation et au VO (deuxième partie)
Peugeot : Une pressi[...]
Cet article est réservé aux abonnés.
Pour accéder à la totalité de l'article abonnez-vous.
Déjà abonné ? Connectez-vous
Sur le même sujet
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.