Donald Trump abaisse à 15 % les droits de douane sur les automobiles japonaises, alignant Tokyo sur l’UE. Le décret officialise l’accord signé en juillet et rassure le Japon, tout en fixant de nouvelles contreparties commerciales.
Les gouvernements japonais et étasuniens devraient prochainement signer l'accord pour réduire les droits de douane sur les importations de voitures. Le taux devrait ainsi bientôt passer de 27,5 % à 15 % comme annoncé au mois de juillet 2025.
L'emblématique marque, propriété du chinois Geely, va supprimer 550 postes sur les 1 300 qu'elle compte au Royaume-Uni. Une réduction de 40 % que Lotus justifie par l'impact des droits de douane américains.
Avec l'entrée en vigueur de l'accord commercial entre Londres et Washington, limitant les droits de douane à 10 % depuis le 30 juin 2025, les exportations britanniques de véhicules vers les États-Unis ont progressé de 6,8 % en juillet.
Le constructeur automobile japonais a annoncé que sa prévision de bénéfice opérationnel pour l'exercice fiscal en cours a été revue à la baisse. Mitsubishi Motors estime que les droits de douane américains amputeront de 30 % le montant annuel total de ses importations.
L’accord visant à alléger la hausse des droits de douane à 15 %, contre 27,5 % actuellement, sur les voitures européennes exportées vers les États-Unis a été officialisé. Cette taxe s'applique rétroactivement depuis le 1er août 2025.
Le constructeur automobile sud-coréen a présenté son bilan trimestriel. Certes les ventes de Hyundai et Kia ont augmenté de 0,9 % par rapport à l'an dernier, mais les mesures adoptées au douanes américaines ont mis à mal l'équation économique.
L’Union européenne a annoncé avoir conclu un accord commercial avec les États-Unis, mettant ainsi un terme aux nouveaux droits de douane américains entrés en vigueur en avril 2025. Les produits automobiles européens seront dorénavant taxés à hauteur de 15 %, contre 27,5 % initialement.
L'association des constructeurs européens a commenté l'annonce de l'accord sur les droits de douane, signé entre l'Union européenne et les Etats-Unis. Pour l'Acea, si l'industrie n'est pas sortie d'affaire, il y a un symbole d'apaisement bienvenu.
OPmobility vient de publier ses résultats du premier semestre 2025. Si le bénéfice net de l’équipementier français recule de 10 % à 90 millions d’euros à cause des coûts de restructuration, sa rentabilité opérationnelle bondit de 11,1 %.
Les États-Unis et le Japon ont conclu un accord limitant les droits de douane à 15 % pour les véhicules nippons qui traverseront le Pacifique. Sans restriction de volume.
Le constructeur suédois a publié son résultat semestriel le 17 juillet 2025 et annonce une perte nette de 720 millions d’euros pour son deuxième trimestre. Volvo Cars pointe du doigt les impacts des droits de douane aux États-Unis et un ralentissement du marché.
Impacté par la hausse des droits de douane américains, Volvo Cars annonce une charge de 11,4 milliards de couronnes (un milliard d’euros) dans ses comptes. La filiale du constructeur chinois Geely précise que la mesure prise par Donald Trump affectera aussi les ventes de l'ES90.
Selon Reuters, l’Union européenne serait prête à conclure un accord pour permettre aux constructeurs présents aux États-Unis d’importer des véhicules de l’UE a des tarifs réduits. Mercedes et BMW seraient les bénéficiaires de cette entente potentielle.
Durant le deuxième trimestre 2025, les clients américains ont anticipé l'entrée en vigueur des droits de douane à l'importation. Beaucoup de constructeurs, dont Ford, GM, Toyota ou Hyundai, ont enregistré de belles croissances, mais le ralentissement se fait déjà sentir.
La fin de la trêve des droits de douane réciproques entre l'Europe et les États-Unis a bientôt sonné. La date butoir du 9 juillet 2025 pour la mise en place d'un nouvel accord est dans moins de 48 heures. Et même si l'Europe parvient à bien négocier, elle sera tout de même perdante avec un taux de taxe minimum de 10 %.
La hausse des droits de douane américains imposés par Donald Trump freine fortement les exportations de véhicules britanniques vers les États-Unis. Ces expéditions ont chuté de 55,4 % sur un an en mai 2025.
L'été sera décisif pour les relations commerciales entre les États-Unis et l’Europe. L’industrie automobile se trouve dans une situation d’une extrême complexité. Prise en étau entre les droits de douane américains et la concurrence des constructeurs chinois, la filière est fragilisée par une gouvernance européenne lente à riposter.
En mai 2025, la valeur des exportations automobiles nippones a chuté de près de 25 % sur un an, selon le ministère des Finances étasunien. Une baisse qui est la résultante de la hausse des droits de douane imposée par Donald Trump en mars dernier.
L'accord conclu début mai 2025 entre les États-Unis et le Royaume-Uni sur les droits de douane appliqués aux automobiles britanniques a été signé par Donald Trump. Les productions qui traverseront l'Atlantique ne seront taxées qu'à 10 % alors que 27,5 % étaient annoncés.
Depuis début avril et la mise en place d’importants droits de douane supplémentaires sur les produits importés aux États-Unis, les appels et les initiatives visant au boycott des produits américains se sont multipliés en France. Parmi les entreprises ciblées, Tesla figure en tête de liste.
Les États-Unis ont annoncé avoir conclu un premier accord commercial avec le Royaume-Uni, mettant ainsi un terme aux nouveaux droits de douane américains entrés en vigueur en avril 2025. Les véhicules britanniques seront dorénavant taxés à hauteur de 10 %, contre 27,5 % initialement.
Le constructeur américain annonce avoir subi une baisse de 65 % de son bénéfice net au premier trimestre 2025. Ford estime ainsi pouvoir perdre jusqu’à 1,5 milliard de dollars cette année en raison des droits de douane imposés par Donald Trump.
Le constructeur américain a publié le 29 avril 2025 de meilleurs résultats que ceux attendus au premier trimestre, avec un chiffre d'affaires en hausse de 2,3 %. GM compte cependant réexaminer ses prévisions pour l’ensemble de l’exercice, car celles-ci n’incluent pas les nouveaux droits de douane imposés par Donald Trump.
Lors d’un meeting près de Detroit, le président américain a pris la décision d’assouplir les droits de douane pour les constructeurs automobiles. Dans le décret signé par Donald Trump, ces derniers ne sont pas soumis au cumul des taxes en vigueur sur les véhicules et les pièces détachées.
Alors qu’il s'apprête à célébrer les 100 premiers jours de son mandat, Donald Trump pourrait annoncer des allégements des tarifs douaniers sur l'industrie automobile. Objectif : protéger les constructeurs américains, rassurer les fournisseurs et préserver les emplois au cœur du Midwest.
Malgré des résultats positifs au premier trimestre 2025, avec un chiffre d'affaires consolidé en hausse de 2,6 %, Forvia se montre prudent pour l'ensemble de l'exercice. L'équipementier français a notamment décidé de geler les embauches, de réduire les investissements ou encore d'annuler sa présence à des salons internationaux.
Lourdement impacté par les droits de douane mis en place par l’Union européenne, MG envisage de construire ses deux premières usines en Europe. Cette implantation stratégique pourrait alors permettre au constructeur chinois d’échapper aux taxes complémentaires s’appliquant aux voitures électriques fabriquées en Chine.
Donald Trump envisage une pause temporaire sur les droits de douane appliqués aux véhicules et pièces automobiles importés. Une nouvelle volte-face du président américain qui fait plonger les industriels dans le brouillard le plus complet.
Après une nouvelle volte-face de Donald Trump, les droits de douane sur la plupart des pays, sauf la Chine, sont suspendus pendant 90 jours. Un tarif unique de 10 % est imposé sur tous les biens. Mais l'automobile, l'acier et l'aluminium restent taxés à hauteur de 25 %.
Présentés comme un remède pour relancer la production aux États-Unis, les droits de douane vont, pour l'heure, largement impacter les constructeurs américains. Ainsi, la part des véhicules importés outre-Atlantique était de 18 % pour GM en 2024. Bien supérieure à nombre de groupes japonais ou européens.
Sur les quelque 900 000 véhicules exportés d'Europe vers les États-Unis en 2024, 42 % appartenaient au segment D. Dans l'hypothèse où les 25 % de taxes supplémentaires resteraient appliqués durant toute l'année 2025, le cabinet Inovev estime que le volume d'exportation pourrait baisser de 200 000 unités.
La fédération des équipementiers automobiles, Fiev, met en garde contre les droits de douane américains pour une filière européenne en très grande difficulté.
Jaguar Land Rover vient de dévoiler les chiffres de ventes de son exercice fiscal décalé. Le constructeur a écoulé 400 898 modèles (+0,1 %), dont 32,2 % en Amérique du Nord. Les droits de douane américains ne sont vraiment pas une bonne nouvelle pour JLR.
Rapatrier des productions aux États-Unis pour échapper aux droits de douane est une stratégie logique mais qui demande du temps. Même pour ceux qui y ont déjà des usines. En attendant, les prix vont s'envoler, avec forcément des conséquences sur le volume du marché et son attractivité à plus longue échéance.
Le Canada n’entend pas s’incliner devant les mesures protectionnistes prises par le président américain Donald Trump. Le Premier ministre canadien Mark Carney a annoncé des droits de douane de 25 % sur tous les véhicules importés des États-Unis qui ne respectent pas l’accord commercial nord-américain AEUMC.
Pour minimiser les conséquences des droits de douane américains, Volvo devrait augmenter la cadence de son usine de Caroline du Sud. Hakan Samuelsson, de retour à la tête du suédois, imagine intégrer un troisième modèle dans l'usine.
Après les annonces de Donald Trump sur les droits de douane, Nissan va modifier ses plans pour accroître la production de ses deux usines américaines. Un ajustement impératif pour le nippon dont 30 % de ses ventes se font aux États-Unis. Le constructeur a par ailleurs stoppé les commandes de deux modèles produits au Mexique.
C’est officiel, les voitures importées sur le sol des États-Unis sont taxées à 25 %. Face à cette situation, les pays touchés grognent et les constructeurs réagissent dans l’urgence pour faire face à la déferlante douanière susceptible de fissurer l’économie automobile, mondialisée depuis des décennies.
Afin d'adapter la production de l'usine canadienne de Windsor, qui va souffrir des droits de douane supplémentaires, Stellantis a annoncé la fermeture du site pour deux semaines, du 7 au 14 avril 2025.