Malgré une balance commerciale toujours déficitaire, la filière électrique française commence à desserrer l’étau. Renault et Stellantis renforcent leurs productions dans l’Hexagone, tandis que les importations venues de Chine reculent sous l’effet des mesures protectionnistes. Résultat : le déficit lié aux voitures électriques s’est réduit de près de 40 % en un an et demi.