Arguant un enjeu de sécurité nationale, l'administration du président américain Joe Biden souhaite bannir des routes américaines les véhicules dotés de logiciels et de puces d'origine chinoise. Cela pourrait être appliqué dès 2027.
Une société américaine d'investissement, Monroe Capital LLC, a annoncé travailler en collaboration avec la Maison-Blanche à la mise en place d'un fonds d'aide aux équipementiers de petites et moyennes tailles. Une enveloppe destinée à financer la transition vers les véhicules électriques.
Uber s'associe avec les équipes de Cruise, filiale de General Motors, pour développer les trajets sans chauffeur. Cet accord arrive à un moment crucial pour la société de véhicules autonomes, alors qu'elle cherche à reprendre son activité après un incident mortel survenu en 2023 à San Francisco.
Une vidéo publiée par le syndicat américain United Auto Workers (UAW) synthétise les griefs que l'organisation accumule à l'encontre de Carlos Tavares, patron de Stellantis. Ce dernier remettrait trop souvent la faute sur les petites mains du groupe et sur l'état du marché sans remettre en question sa manière de diriger.
La presse américaine l'a révélé, General Motors l'a confirmé : le groupe automobile va se séparer de nombreux employés durant ce mois d'août 2024. Au total, 600 postes vont être supprimés précisément dans le centre de Warren, dans le Michigan.
La marque 100 % électrique du groupe Geely multiplie les annonces pour se relancer en Amérique du Nord. Au programme : délocalisation d'une de ses usines chinoises vers la Caroline du Sud, développement du réseau et élargissement de sa gamme. Lancée en 2017, Polestar accuse un fort ralentissement de ses ventes.
Une semaine après des résultats semestriels décevant, Stellantis a adressé un courriel à ses salariés américains pour leur proposer un plan de départ volontaire. Le groupe automobile prévient qu'il engagera un plan contraignant s'il n'atteignait pas son objectif de réduction d'effectifs.
Pour la deuxième fois, la Chine vient de lancer une procédure contre les subventions accordées par le gouvernement américain dans le cadre de son Inflation Reduction Act (IRA). Les jugeant déloyales, elle les conteste devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC).
Pour ne pas laisser son industrie automobile se faire déborder par la concurrence chinoise, le gouvernement américain a annoncé une subvention de 1,7 milliard de dollars pour aider des entreprises du secteur dans leur transition vers l'électrique. La perspective de l'élection présidentielle, le 5 novembre 2024, explique aussi cette enveloppe.
Les employés de l'usine américaine du constructeur automobile allemand ont rejeté, par référendum, la proposition d'une représentation syndicale. L'UAW accuse Mercedes-Benz d'avoir menacé les salariés de représailles en cas de victoire du oui, et annonce porter plainte.
Les États-Unis augmentent leurs droits de douane appliqués aux importations chinoises sur des secteurs jugés stratégiques, comme l'automobile. Ainsi, les taxes appliquées aux voitures électriques provenant de Chine passent de 25 à 100 %.
Fort d'une grève réussie à l’automne 2023, ayant conduit les constructeurs américains à augmenter les salaires de 25 %, le syndicat UAW compte maintenant prendre pied chez les constructeurs étrangers implantés aux États-Unis. Premier vote chez Volkswagen.
Sur un marché américain 2023 en rebond après la longue période de crises successives, General Motors a conservé la couronne de premier constructeur automobile. Avec 2,6 millions de livraisons de VN, la firme de Détroit relègue son grand rival Toyota au deuxième rang.
Les conventions collectives âprement négociées durant la grève aux États-Unis ont été signées. Le syndicat UAW a annoncé, lundi 20 novembre 2023, qu'elles ont été approuvées par ses membres à hauteur de 64 %.
Les ventes de véhicules électriques reculent aux États-Unis sur fond d'inflation, de prix élevés et de problèmes d'infrastructures de recharge. Une situation qui pousse les constructeurs à revoir certains investissements en la matière.
Après Ford et Stellantis, GM a officialisé un accord avec le syndicat UAW. La grève va donc prendre fin, après six semaines de négociations et blocages, avec notamment une hausse des salaires de 25 % sur la durée de la convention collective.
Le constructeur et le syndicat UAW se sont entendus sur la prochaine convention collective permettant de mettre un terme à la grève aux USA. Au Canada, le constructeur a évité un mouvement social avec un accord de dernière minute.
À l'occasion de la présentation de ses résultats financiers du troisième trimestre 2023, Ford a estimé que la grève lui coûtera 1,3 milliard de dollars au total. Après l'accord signé avec l'UAW, l'heure est au redémarrage des usines.
Le constructeur américain et le syndicat ont trouvé, après 41 jours de grève, un accord de principe sur la future convention collective. Les salaires vont augmenter, en moyenne, de 25 % d'ici à avril 2028.
Alors que les négociations sur la future convention collective patinent, GM s’est attiré les foudres de l'UAW après avoir annoncé de bons résultats financiers pour le troisième trimestre 2023. Le syndicat américain a immédiatement appelé à des débrayages dans l'usine d'Arlington, au Texas.
Considérant que les propositions de Stellantis ne sont pas suffisantes, le syndicat américain a mis à l'arrêt l'une des plus grosses usines du constructeur dans le Michigan. Plus de 40 000 salariés encartés à l'UAW sont en grève.
Durant son point hebdomadaire, Shawn Fain, le président du syndicat américain UAW, a pointé des avancées avec GM et Stellantis, mais pas avec Ford. Les trois constructeurs semblent toutefois avoir accepté une hausse des salaires de 23 % sur la prochaine convention collective.
En raison du coût de la grève aux États-Unis, Stellantis a annulé sa présence au Consumer Electronic Show 2024 de Las Vegas. Le constructeur indique qu'il veut préserver les fondamentaux de l'entreprise et donc protéger son avenir.
L'arrière-petit-fils du fondateur et actuel président du constructeur, Bill Ford, a lancé un appel à l'UAW pour trouver un accord et se battre contre la véritable concurrence. Shawn Fain, le dirigeant du syndicat, reste campé sur ses positions.
La grève dans les usines américaines se poursuit et entre même dans une nouvelle phase selon le président du syndicat UAW, Shawn Fain. Depuis le lancement du mouvement le 15 septembre 2023, 34 000 salariés sont à l'arrêt dans six usines d'assemblage de Ford, GM et Stellantis, ainsi que 38 sites de distribution.
Le puissant syndicat UAW appelle à durcir la grève qui pénalise l'industrie automobile aux USA. Stellantis, Ford et General Motors restent sous la pression des arrêts de travail qui touchent désormais 25 600 salariés.
Pour la première fois, un président américain en exercice s'est rendu sur un piquet de grève. Joe Biden a rencontré les grévistes de l'industrie automobile dans le Michigan. Un État clé pour la future élection présidentielle de 2024.
Alors que le Canada a échappé à une grève, celle entamée aux États-Unis se poursuit. Elle devient même un enjeu politique avec la visite annoncée du président Joe Biden et de son prédécesseur Donald Trump sur des piquets de grève.
Le constructeur britannique annonce ses premières productions à destination de l’Amérique du Nord. Un cap important pour Ineos Automotive et l'usine de Hambach (57) car les États-Unis sont, avec plus de 7 000 commandes déjà enregistrées, son premier marché.
Faute d'avancées dans les négociations, le syndicat prévient qu'il peut amplifier la grève qui touche les trois constructeurs américains. Les discussions ont repris, mais les augmentations de salaires proposées sont encore en deçà des objectifs de l'UAW.
Faute d'accord entre le syndicat américain et GM, Ford et Stellantis sur les termes des nouvelles conventions collectives, la grève est lancée. Pour l'heure, elle se cantonne à trois usines.
Alors que les négociations autour d'une nouvelle convention collective durent depuis deux mois, les trois constructeurs américains et le syndicat UAW peinent à trouver un terrain d'entente. Sauf accord de dernière minute, Ford, GM et Stellantis devront affronter une grève.
Aux États-Unis, les immatriculations ont progressé de 11,6 % au premier semestre 2023. Les pick-up restent très majoritaires, avec une part de marché de 18,6 %, tandis que les voitures électriques ne décollent toujours pas.
Le puissant syndicat automobile américain négocie actuellement la nouvelle convention collective avec les constructeurs. Dans un contexte où le chômage est seulement de 3,5 % aux États-Unis, le nouveau président de l'UAW, Shawn Fain, est en position de force. Une grève n'est pas à exclure.
Dans le but avoué de privilégier les modèles électriques, le gouvernement américain a défini de nouvelles normes antipollution plus strictes pour les thermiques. Il espère qu'en 2032, les deux tiers des véhicules vendus aux Etats-Unis seront électriques.
Les deux pays se sont entendus pour faciliter les échanges entre eux, notamment sur les matériaux critiques et les batteries. Un accord qui devrait permettre à certains produits japonais de bénéficier des subventions liées à l'Inflation Reduction Act (IRA). L'Union européenne tente d'obtenir la même chose.
Le groupe allemand va investir deux milliards de dollars aux Etats-Unis afin de construire une usine dédiée à sa marque Scout. Les travaux vont débuter mi-2023 et les premières productions sont attendues pour fin 2026.
L'Europe continue de s'irriter du plan de l'administration Biden, qui favorise notamment les véhicules électriques produits aux Etats-Unis avec une aide de 7 500 dollars. La Commission réfléchit toujours à une riposte, six mois après son adoption.
Solvay table sur une croissance d’approximativement 28 % sur son Ebitda 2022, bien au-dessus de ses prévisions originelles situées entre 14 % et 18 %. En parallèle, le groupe chimique belge prévoit la construction, aux États-Unis, de la plus grande usine d’Amérique du Nord pour la production de polymère fluoré thermoplastique pour batterie de VE.
Avec l'Inflation Reduction Act, l'administration Biden a notamment mis en place un crédit d'impôts pour l'achat de VE produits aux Etats-Unis, mais aussi leur batterie. Une situation de protectionnisme inacceptable pour l'Union européenne.