Le groupe automobile va disposer d'une captive de financement pour le marché américain. Un développement permis grâce à l'acquisition de First Investors pour un montant de 285 millions de dollars.
Malgré un bon deuxième trimestre 2021, les ventes aux Etats-Unis ont été perturbées durant le mois de juin par la pénurie de semi-conducteurs qui ralentit la production. Les stocks sont au plus bas et les prix grimpent.
Joe Biden a assuré que l’avenir de la voiture électrique serait américain, lors d’une conférence de presse dans le Michigan, mardi 18 mai 2021. Le président entend mener une guerre industrielle contre le leader actuel du marché, la Chine.
La plateforme de commercialisation de VO a adopté un plan d'urgence en réaction à la crise du Covid-19. Elle va privilégier les États-Unis, le Canada et le Royaume-Uni. Une décision qui sonne le glas de CarGurus en France.
Les Etats-Unis sont aujourd'hui touchés par le coronavirus et les conséquences sur l'industrie automobile sont les mêmes. Après les fermetures d'usines, les immatriculations reculent. Mais le plus dur reste à venir, avec un deuxième trimestre très fortement impacté.
La hausse des tarifs douaniers sur l'importation de véhicules européens a refait surface à l'occasion d'une interview du Président américain. Alors que les négociations entre les Etats-Unis et l'Union européenne n'ont toujours pas débuté.
Une réponse "rapide et adaptée" : voilà la réponse de la Commission européenne à Donald Trump si jamais les Etats-Unis surtaxaient les importations de véhicules, comme semble le préconiser le rapport du ministère américain du Commerce.
Le rapport commandé par Donald Trump, quant à l'éventuel impact de l'importation de véhicules aux Etats-Unis sur la sécurité nationale, semble bouclé. Selon l'AFP, le texte conclurait à une menace ouvrant ainsi la voie à une augmentation des taxes à l'importation.
Très virulent sur l'industrie automobile, le locataire de la Maison Blanche fait peu à peu bouger les lignes à coup de menaces et de nouveaux accords. Après la signature de celui remplaçant l'Alena, il affirme en avoir trouvé un avec la Chine pour réduire les taxes. Reste maintenant l'Europe…
Dans la foulée du plan de GM, prévoyant la fermeture de trois usines aux Etats-Unis, le président Donald Trump a réaffirmé sa volonté de taxer davantage les importations de véhicules pour protéger l'industrie locale. Si la Chine est dans le viseur, l'Europe pourrait aussi souffrir si les barrières douanières se renforçaient.
Contrairement à la feuille de route initiale, les deux partenaires ont ouvert des négociations qui pourraient conduire à faire disparaître les droits de douane sur les importations d'automobiles.
En annonçant un accord avec le Mexique, les Etats-Unis lèvent une partie des inquiétudes concernant l'industrie automobile en Amérique du Nord dont la production a atteint plus de 13 millions d'unités en 2017. Les négociations se poursuivent avec le Canada.
Alors que le risque de guerre commerciale dans le secteur automobile devient réel entre les Etats-Unis et l’Europe, l’industrie allemande invite les deux parties à renoncer aux droits de douane envisagés. Une proposition également formulée par l’ambassadeur américain en Allemagne.
Après GM, BMW vient d'adresser un courrier à l'administration américaine pointant les potentiels effets néfastes d'une taxe supérieure sur les véhicules importés. Les constructeurs seront écoutés jusqu'au 6 juillet, puis le département du Commerce américain fera ses recommandations au président Trump.
Selon une étude Euler Hermes, l'industrie automobile européenne serait potentiellement privée de 10 milliards d'euros de chiffre d'affaires suite aux nouvelles taxes douanières imposées par Donald Trump.
L'administration Trump semble avoir les automobiles importées dans le collimateur. Après celles venant du Mexique, le président américain cible aujourd'hui tout ce qui n'est pas produit sur le sol des Etats-Unis. Dans une économie mondialisée, où de nombreux constructeurs possèdent des usines chez l'Oncle Sam, pas sûr que l'automobile américaine en ressorte plus forte, selon l'Acea, qui vient de réagir.
Le président américain poursuit sa stratégie de taxes punitives. Dernier projet en date, relever le taux de taxation sur les importations de véhicules, notamment européens.
En prenant pour base le classement des 150 plus grands groupes de distribution américains, nous avons, à notre façon, refait cette hiérarchie, en prenant pour base les volumes VO écoulés par ces grands opérateurs d'outre-Atlantique.
Dans une veine toujours très climatosceptique, l'administration Trump va assouplir les objectifs de réduction des consommations mis en place par la précédente.
Chaque année, nos confrères d'Automotive News, en partenariat avec Dealer.com, publie le classement des 150 plus grands groupes de distribution américains. A eux seuls, les 10 premiers opérateurs cumulent l'équivalent de 70 % du marché français…