Les gouvernements japonais et étasuniens devraient prochainement signer l'accord pour réduire les droits de douane sur les importations de voitures. Le taux devrait ainsi bientôt passer de 27,5 % à 15 % comme annoncé au mois de juillet 2025.
Le constructeur automobile japonais a annoncé que sa prévision de bénéfice opérationnel pour l'exercice fiscal en cours a été revue à la baisse. Mitsubishi Motors estime que les droits de douane américains amputeront de 30 % le montant annuel total de ses importations.
Le constructeur automobile sud-coréen a annoncé une rallonge de cinq milliards de dollars à son plan d'investissement aux États-Unis, portant le total à 26 milliards de dollars. Une somme que Hyundai Motor Group entend consacrer à son système de production dans le pays.
L’Union européenne a annoncé avoir conclu un accord commercial avec les États-Unis, mettant ainsi un terme aux nouveaux droits de douane américains entrés en vigueur en avril 2025. Les produits automobiles européens seront dorénavant taxés à hauteur de 15 %, contre 27,5 % initialement.
Les États-Unis et le Japon ont conclu un accord limitant les droits de douane à 15 % pour les véhicules nippons qui traverseront le Pacifique. Sans restriction de volume.
Alors que de nombreux constructeurs ont souffert au deuxième trimestre 2025, GM a présenté un bilan supérieur aux attentes. Le groupe de Detroit s'attend toutefois à un second semestre plus difficile mais conserve ses objectifs.
Durant le deuxième trimestre 2025, les clients américains ont anticipé l'entrée en vigueur des droits de douane à l'importation. Beaucoup de constructeurs, dont Ford, GM, Toyota ou Hyundai, ont enregistré de belles croissances, mais le ralentissement se fait déjà sentir.
La fin de la trêve des droits de douane réciproques entre l'Europe et les États-Unis a bientôt sonné. La date butoir du 9 juillet 2025 pour la mise en place d'un nouvel accord est dans moins de 48 heures. Et même si l'Europe parvient à bien négocier, elle sera tout de même perdante avec un taux de taxe minimum de 10 %.
L'été sera décisif pour les relations commerciales entre les États-Unis et l’Europe. L’industrie automobile se trouve dans une situation d’une extrême complexité. Prise en étau entre les droits de douane américains et la concurrence des constructeurs chinois, la filière est fragilisée par une gouvernance européenne lente à riposter.
En mai 2025, la valeur des exportations automobiles nippones a chuté de près de 25 % sur un an, selon le ministère des Finances étasunien. Une baisse qui est la résultante de la hausse des droits de douane imposée par Donald Trump en mars dernier.
Pour faire face aux droits de douane mais aussi à la faible demande pour les véhicules électriques, GM a annoncé un investissement de quatre milliards de dollars pour ajuster son outil industriel américain. Deux modèles Chevrolet seront notamment rapatriés du Mexique.
Le ton est monté entre Elon Musk et Donald Trump, provoquant une onde de choc à Wall Street. Au cœur de la discorde : un projet de loi budgétaire controversé, la fin annoncée des subventions aux entreprises de Musk et des attaques personnelles virulentes. Résultat : l’action Tesla s’effondre et les investisseurs s’inquiètent pour l’avenir du véhicule autonome.
La marque française compte s'attaquer au marché américain en 2027. Le projet a été mis en pause, le temps d'y voir plus clair, notamment sur les droits de douane. Mais cela ne remet pas en cause la volonté d'internationalisation d'Alpine.
Le Sénat américain, à majorité républicaine, vient de voter un texte pour empêcher la Californie d'interdire la vente de véhicules thermiques à partir de 2035. Une bataille juridique va s'ouvrir avec, en toile de fond, l'avenir des voitures électriques aux États-Unis.
Le constructeur américain a publié le 29 avril 2025 de meilleurs résultats que ceux attendus au premier trimestre, avec un chiffre d'affaires en hausse de 2,3 %. GM compte cependant réexaminer ses prévisions pour l’ensemble de l’exercice, car celles-ci n’incluent pas les nouveaux droits de douane imposés par Donald Trump.
Lors d’un meeting près de Detroit, le président américain a pris la décision d’assouplir les droits de douane pour les constructeurs automobiles. Dans le décret signé par Donald Trump, ces derniers ne sont pas soumis au cumul des taxes en vigueur sur les véhicules et les pièces détachées.
Alors qu’il s'apprête à célébrer les 100 premiers jours de son mandat, Donald Trump pourrait annoncer des allégements des tarifs douaniers sur l'industrie automobile. Objectif : protéger les constructeurs américains, rassurer les fournisseurs et préserver les emplois au cœur du Midwest.
Donald Trump envisage une pause temporaire sur les droits de douane appliqués aux véhicules et pièces automobiles importés. Une nouvelle volte-face du président américain qui fait plonger les industriels dans le brouillard le plus complet.
Après une nouvelle volte-face de Donald Trump, les droits de douane sur la plupart des pays, sauf la Chine, sont suspendus pendant 90 jours. Un tarif unique de 10 % est imposé sur tous les biens. Mais l'automobile, l'acier et l'aluminium restent taxés à hauteur de 25 %.
Présentés comme un remède pour relancer la production aux États-Unis, les droits de douane vont, pour l'heure, largement impacter les constructeurs américains. Ainsi, la part des véhicules importés outre-Atlantique était de 18 % pour GM en 2024. Bien supérieure à nombre de groupes japonais ou européens.
Jaguar Land Rover vient de dévoiler les chiffres de ventes de son exercice fiscal décalé. Le constructeur a écoulé 400 898 modèles (+0,1 %), dont 32,2 % en Amérique du Nord. Les droits de douane américains ne sont vraiment pas une bonne nouvelle pour JLR.
Rapatrier des productions aux États-Unis pour échapper aux droits de douane est une stratégie logique mais qui demande du temps. Même pour ceux qui y ont déjà des usines. En attendant, les prix vont s'envoler, avec forcément des conséquences sur le volume du marché et son attractivité à plus longue échéance.
C’est officiel, les voitures importées sur le sol des États-Unis sont taxées à 25 %. Face à cette situation, les pays touchés grognent et les constructeurs réagissent dans l’urgence pour faire face à la déferlante douanière susceptible de fissurer l’économie automobile, mondialisée depuis des décennies.
Le président du groupe Stellantis, John Elkann, a été reçu par le président des États-Unis Donald Trump. Une rencontre au cours de laquelle a été évoquée "l’avenir de l’industrie automobile américaine".
Les automobiles européennes arrivant aux États-Unis seront donc frappées de 25 % de droits de douane supplémentaires à partir du 2 avril 2025. L’année dernière, 749 170 VP et 8 484 VU ont traversé l’Atlantique, pour une valeur de près de 39 milliards.
Le président des États-Unis annonce des droits de douane de 25 % sur les véhicules importés et les pièces qui ne sont pas produites sur le sol américain. La mesure entrera en vigueur le 2 avril 2025.
Le groupe sud-coréen compte investir 21 milliards de dollars aux États-Unis d'ici 2028. Hyundai augmentera ainsi la production de ses deux sites dans le pays et améliorera sa logistique avec une nouvelle usine de composants en Louisiane. Faut-il y voir aussi un moyen d'éviter des droits de douane ?
Tandis que le scénario du pire se dessine de l'autre côté de l'Atlantique, le cabinet Kearney s'est penché sur l'impact de la prochaine hausse de taxe à la douane américaine. Selon les analystes, cela pourrait se traduire par une chute de la demande et de facto par une catastrophe sociale en Europe.
Interviewé dans le quotidien économique Handelsblatt, Ola Källenius, directeur général de Mercedes-Benz, appelle à abolir les droits de douanes. Leur suppression serait un levier de croissance, selon le dirigeant de la marque allemande.
Le 2 avril 2025, Donald Trump appliquera une taxe de 25 % sur les importations de voitures et de semi-conducteurs aux États-Unis. La mesure menace Stellantis, GM, Ford, ainsi que les constructeurs allemands et japonais. Entre hausse des prix et restructurations, l’industrie automobile mondiale retient son souffle.
Le constructeur allemand ne laissera pas ses concessionnaires seuls face à l'augmentation tarifaire découlant des nouvelles règles de taxation douanières qui s'appliquent aux États-Unis. BMW absorbera durant un temps le coût supplémentaire des véhicules produits au Mexique.
La guerre commerciale déclenchée par les États-Unis a pris un nouveau tournant. Le président américain Donald Trump a signé un décret qui va élever les droits de douane pour divers produits, dont l'automobile, en provenance du Canada, du Mexique et de la Chine. Un traitement qui a de quoi faire trembler l'Europe.
Le président américain vient d'annoncer que les droits de douane sur les automobiles importées aux États-Unis pourraient être de 25 %. Une possibilité qui sera tranchée d'ici le 2 avril 2025.
La possible augmentation des droits de douane avec le Mexique et le Canada, mais aussi le détricotage de l'IRA, sont une source d'inquiétudes pour Jim Farley, le patron de Ford. Le constructeur pourrait notamment supprimer des emplois si l'avenir des véhicules électriques est mis à mal.
Donald Trump a annoncé l'application de droits de douanes sur les importations en provenance du Mexique et du Canada. Il a également promis qu'il infligerait les mêmes sanctions aux Européens. Très exposées, les valeurs automobiles ont immédiatement dévissé en Bourse. Stellantis est le plus touché.
Selon l'agence de notation américaine Moody's, Stellantis, Volkswagen et Volvo seraient les trois constructeurs automobiles européens les plus exposés aux nouveaux tarifs douaniers de Donald Trump. Ces taxes concerneraient les véhicules exportés aux États-Unis en provenance du Mexique, du Canada et d’Europe.
Moins de quatre mois après avoir présenté les résultats d'une enquête diligentée par le département du Commerce, les États-Unis ont pris leur décision. Le pays a décidé de bannir la vente de voitures équipées des technologies de connectivité chinoises et russes.
Avec un peu de retard sur le calendrier initialement présenté, Amazon a annoncé l'ouverture de son canal de vente de voitures neuves. La plateforme Amazon Autos débute l'aventure avec Hyundai aux États-Unis.
Avec 2,7 millions d'unités écoulées aux États-Unis en 2024, un volume en hausse de 4 %, GM a conservé sa première place. Le groupe de Mary Barra devance Toyota (+3,7 %) et Ford (+6 %).
L'ancien patron de RAM reprend ses fonctions à la faveur de l'éviction de Carlos Tavares, ex-directeur général de Stellantis. Tim Kuniskis avait fait les frais, en juin 2024, de la reprise en main de la région Amérique du Nord dont les performances commerciales étaient en forte baisse.