Avec 34 108 immatriculations et une hausse de 63,2 %, la voiture électrique atteint 24,4 % de part de marché. À elle seule, la marque au losange place quatre modèles dans le top 10, dont la Renault 5 E-Tech, incontestable leader du segment.
Le pionnier des véhicules électriques se prend les pieds dans le tapis avec un titre en Bourse qui dégringole et des ventes en berne dans le monde. Tesla paye les mauvais agissements de son patron, Elon Musk, mais aussi des choix stratégiques discutables qui remettent en cause la pertinence de la marque pour les années à venir.
Alors que les ventes de Tesla ont chuté de 41,1 % au premier trimestre 2025, d'autres constructeurs s'engouffrent dans la place laissée vacante par le constructeur américain. Ce désamour semble bénéficier aux européens.
Leboncoin a révélé que le volume d'annonces de Tesla a significativement augmenté au cours de ces dernières semaines. Un fait indéniable sur lequel Le Journal de l'Automobile s'est penché en combinant des statistiques de sources diverses. La raison semble moins liée à un mouvement de boycott qu'à un effet conjoncturel. Explications.
Tesla voit ses immatriculations et la valeur de son action chuter inexorablement depuis fin 2024. La corrélation entre les agissements de son patron, Elon Musk, et les mauvais résultats de la marque, s’affirme de plus en plus.
Alors que le décompte des émissions de CO2 a commencé au 1er janvier 2025 pour chaque marque automobile, des pools commencent à se constituer pour éviter d'éventuelles amendes. Décryptage des enjeux et mode d'emploi de ces regroupements.