Avec l’arrivée du #1 en 2023, puis des #3 et #5 ensuite, Smart a ouvert un nouveau chapitre de sa courte histoire. Mais ce retour s’avère compliqué, la marque peinant à trouver sa place, notamment dans un contexte de taxation des modèles électriques produits en Chine.
Smart part à la conquête du très disputé segment C avec son nouveau #5. Disponible à partir de 46 600 euros sur le marché français, ce SUV premium 100 % électrique jouit de tarifs agressifs compte tenu des prestations proposées. Il pourrait donc surfer sur la mauvaise passe de Tesla, en se présentant comme une belle alternative au Model Y.
Retrouvez toutes les grandes interviews de l'année 2024, avec des acteurs incontournables du secteur automobile comme Denis Le Vot, Louis Schweitzer, Philippe Krief ou encore Florence Bailleul. L'occasion de redécouvrir les enjeux actuels de l'ensemble de la filière.
Entre les lancements de la #3 en 2024 et de la #5 en 2025, Cyril Bravard prend le temps de faire un point sur la situation de Smart en France. Le président de la filiale tricolore regrette évidemment l'impact des mesures politiques, mais nourrit encore l'espoir d'un rebond pour ses voitures électriques.
Smart lève le voile sur son tout premier SUV du segment C. Baptisé #5, il s’agit du troisième modèle conçu par la coentreprise entre Mercedes-Benz et Geely, après le #1 et le #3. Ce SUV premium 100 % électrique sera livré en Europe au premier semestre 2025.
Première réalisation concrète de la nouvelle coentreprise entre Mercedes-Benz et Geely, le #1 attaque un segment inédit pour Smart, celui des B-SUV électriques. Une entrée en matière très réussie.
À l'occasion du lancement de la #3, Cyril Bravard, président de Smart France, fait le point sur le nouveau visage de la marque, désormais pilotée par Mercedes-Benz et Geely. Pour 2025, il vise 9 000 immatriculations et une croissance de son réseau.
Pour construire le parcours d'achat en ligne de ses voitures électriques en Europe, Smart collaborera avec Infosys durant les cinq prochaines années. Le système vise à délivrer une expérience client personnalisée pour stimuler les ventes des différents modèles sur internet.
En s'appuyant sur les outils Adobe, Smart Europe lance son nouveau site eco.platform. Avec cette architecture digitale, la marque veut offrir à ses clients un parcours d'un nouveau genre.
En plus d'une collaboration avec ALD Automotive, Smart Mobility Leasing, la captive de la marque Smart, vient de signer un accord avec CGI Finance. Deux partenaires issus du groupe Société Générale qui permettent de proposer de la LLD et de la LOA.
A l'occasion du salon de Shanghai, Smart a levé le voile sur son deuxième modèle électrique : la Smart #3. Elle devrait être une réalité commerciale en Europe en début d'année 2024.
Pour déployer une prestation de service uniforme à travers ses réseaux d'agents commerciaux sur les principaux marchés européens, Smart a décidé de s'associer à Autobiz. Dès lors, chacun d'eux disposera d'interfaces métier s'appuyant sur les données de la société française.
Après un tour d'Europe entamé à Berlin, le nouveau SUV Smart #1 était de passage à Paris. L'occasion de découvrir la version définitive de ce modèle 100 % électrique du segment B (4,27 m) qui sera dans les showrooms du nouveau réseau Smart début 2023.
Fin 2022, Smart va entamer une nouvelle vie avec un SUV, le premier fruit de la coentreprise entre Daimler et Geely. Parmi les nouveautés, la marque a choisi de privilégier la vente directe digitale avec l'appui d'un réseau ayant un contrat d'agent.
L'usine Smart d'Hambach a changé de main. Daimler et Ineos ont signé la vente lundi 7 décembre 2020. Le site mosellan, où 1 300 des 1 500 emplois sont sécurisés, va donc produire le Grenadier, le 4x4 voulu par le britannique.
Le comité social et économique (CSE) de l'usine Smart de Hambach a remis, jeudi 12 novembre 2020, un avis consultatif favorable à la reprise du site par Ineos, tout en soulignant que les modalités du rachat pourraient être améliorées.
Le Comité social et économique (CSE) de l'usine Smart de Hambach devrait émettre un avis favorable à la reprise du site par Ineos. Les syndicats demandent toutefois des garanties supplémentaires.
Le projet d'Ineos pour la reprise de l'usine d'Hambach reste l'option la plus sérieuse à l'heure actuelle. Quant à la contribution de Daimler à la préservation des emplois, en devenant client du site, les discussions se poursuivent.
Alors que les négociations entre Daimler et Ineos se poursuivent, l'intersyndicale de l'usine d'Hambach appelle à faire grève les samedis du mois de septembre afin d'obtenir des garanties inaltérables en termes d'emploi et de rémunération.
En vente depuis le début de l'été 2020, l'usine Daimler de Hambach est proche de passer dans le giron d'Ineos. Le groupe britannique se dit confiant quant à un possible accord. L'Etat français veille au grain pour tenter de sauver le maximum d'emplois.
La ministre déléguée à l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, se rendra la semaine prochaine sur le site de l'usine Smart, à Hambach, que le groupe Daimler veut vendre, a-t-elle annoncé ce mercredi 22 juillet 2020.
Alors qu'un comité social et économique se tenait dans l'enceinte de l'usine, les salariés ont arrêté la production et manifesté pour faire connaître leur position aux deux représentants de Daimler venus de Stuttgart.
Daimler a annoncé la fin de la commercialisation de la Smart Fortwo aux Etats-Unis et au Canada. Le déclin des ventes et les coûts d’homologation élevés justifient la décision du constructeur.
Les deux constructeurs viennent d'annoncer la création d'une coentreprise centrée sur le développement de Smart dont la production sera assurée en Chine. L'historique site français de Hambach va entrer dans le giron Mercedes.
Vice-présidente des RH de Daimler depuis 2014, Katrin Adt va prendre la succession d'Annette Winkler à la direction de smart. Elle va trouver une marque à un moment charnière de son histoire.
A la tête de Smart depuis huit ans, Annette Winkler quitte ses fonctions en septembre 2018, mais reste dans le groupe en étant nommée au conseil de surveillance de Mercedes-Benz Afrique du Sud.
Le constructeur a étoffé son projet pilote de livraison de colis baptisé "Smart Ready to Drop+". A Hambourg, les colis peuvent être déposés dans les véhicules y compris si ces derniers ne sont pas stationnés près du domicile des automobilistes.
L'association 40 millions d'automobilistes, en partenariat avec Traqueur et Experveo, a publié son classement des véhicules les plus victimes de vols et d'actes de vandalisme. Les SUV Premium font une poussée, derrière la Smart Fortwo, tristement lauréate.
90% des employés de l'usine d'Hambach ont accepté l'avenant à leur contrat. Ils travailleront 39 heures, payées 37 heures, mais, en contre partie, l'emploi est garanti jusqu'en 2020.
Après un referendum, dont les résultats ne purent mener à un accord, la direction de l'usine Smart a choisi une autre méthode pour faire passer son Pacte 2020 avec un avenant individuel au contrat de travail. Est-ce la dernière chance pour l'usine d'Hambach ?
Si les salariés d’Hambach ont approuvé à 56% le retour aux 39 heures de travail hebdomadaire en échange du maintien de l’emploi jusqu’en 2020, de fortes disparités apparaissent entre les différentes catégories.
Un référendum sera organisé le 11 septembre par Smart France pour un retour provisoire aux 39 heures hebdomadaires entre 2016 et 2019 sur le site d'Hambach.
Accaparée par le déploiement de son label Millétoile depuis un an, la marque à l’étoile s’attaque à deux gros chantiers en 2015 : la refonte du site Internet Mercedes Occasion et le lancement d’un nouveau programme pour Smart. Entretien avec Cyril Bravard, directeur Ventes sociétés et Véhicules d’occasion de Mercedes-Benz Cars.
Le groupe Daimler a fêté, le 20 octobre, les vingt ans de la décision d’implanter son usine en Lorraine. Un événement qui a permis de mettre en lumière les spécificités de Smartville.