
À Paris, plusieurs constructeurs ainsi que le ministre de l’Économie, Antoine Armand, plaident pour négocier les possibles sanctions financières liées aux émissions de CO2. Au Parlement européen, Pascal Canfin, député, ne voit pas de possibilité de changer les règles. Il préfère défendre le soutien de la demande vers les particuliers et accentuer la pression sur les flottes d'entreprise.