La France, l'Italie et la République tchèque sont arrivées au conseil des Affaires économiques et financières de l'Union européenne avec, entre autres, la volonté d'assouplir les sanctions liées au respect des normes d'émissions de CO2, dites CAFE. Mais visiblement, Bruxelles ne l'entend pas de cette oreille et coupe court aux discussions.