Denis Le Vot, directeur général de Dacia, a été élu Homme de l'Année du secteur automobile pour l'année 2023. Découvrez en image la cérémonie de remise du prix qui s'est déroulé le 9 avril 2024 au Westin Paris Vendôme.
Directeur général de Dacia depuis 2021, Denis Le Vot a transformé la marque roumaine "un peu vieillotte" en une marque plus tendance qui a commercialisé 660 000 véhicules l'an passé. Pour cela, il a remporté le prix de l'Homme de l'Année 2023, organisé par Le Journal de l'Automobile. L'homme fort de Dacia estime aujourd'hui le potentiel de vente de la marque à deux millions d’unités, que ce soit sous le nouveau logo Dacia ou sous celui de Renault.
Le patron de Dacia a presque réussi un sans‑faute auprès du jury de l’Homme de l’Année, prix organisé par Le Journal de l’Automobile. Le nouveau positionnement de la marque, qui garde cependant son ADN de constructeur de voitures essentielles, est largement salué.
Luc Donckerwolke, président de Hyundai Motor Group, a été élu Homme de l'Année 2022 par le Journal de l'Automobile. Voici quelques photos de la remise du prix qui s'est tenue le 17 avril 2023 à l'Élysées Biarritz, près de l'avenue des Champs-Élysées, à Paris.
Homme de l'Année 2022, Luc Donckerwolke, président de Hyundai Motor Group, croit en l'avenir d'une voiture électrique populaire. A condition de changer les paradigmes de sa création.
Depuis 2016, Luc Donckerwolke fait bénéficier le groupe Hyundai Motor de son style inimitable et de son talent de designer. Sa nomination au poste de président de Hyundai Motor Group, en décembre 2022, vient consacrer six années de créativité qui ont donné naissance aux nouvelles générations de Hyundai, Kia et Genesis. Avant de retrouver l'Homme de l'Année 2022 du Journal de l'Automobile, le 17 avril 2023 à Paris, découvrez l'interview de ce passionné d'automobiles.
Nommé président de Hyundai Motor Group, fin 2022, Luc Donckerwolke est à l’origine du renouveau stylistique des marques du groupe. Le jury de l'Homme de l'Année, composé de 27 journalistes du secteur automobile, a décidé de saluer à une large majorité la performance du groupe sud-coréen.
Luca de Meo, directeur général du groupe Renault, a été élu Homme de l'Année 2021 du Journal de l'Automobile. Découvrez les premières photos de la cérémonie de remise de prix, qui s'est tenue le 12 avril 2022 à l'Atelier Renault, à Paris.
À la tête du groupe Renault depuis deux ans, Luca de Meo conduit la destinée du constructeur dans une période qu’il juge comme étant "la plus confuse depuis 30 ans" pour l’industrie automobile. Entre la crise des semi-conducteurs, les arrêts de production liés au Covid, la guerre en Ukraine et les réglementations, il reconnaît que l’exercice est périlleux, mais l’avenir sourit aux audacieux et aux créatifs. Deux qualités qu’il possède.
Directeur général du groupe Renault depuis juillet 2020, Luca de Meo a été élu Homme de l’Année du Journal de l’Automobile. La stratégie entamée depuis son arrivée et ses premiers résultats ont été salués par une large majorité des membres du jury.
Directeur de Stellantis en Europe, Maxime Picat a été élu Homme de l’Année 2020. Pur produit de PSA, il maîtrise aussi bien les rouages des usines que la complexité des gammes, la conception des véhicules ou le commerce. Un parcours sans faute dans l'industrie automobile.
Directeur de l'ingénierie du groupe Renault et membre du comité exécutif, Gilles Le Borgne a remporté l'élection de l'Homme de l'année, organisée par le Journal de l'Automobile. Les membres du jury ont souhaité saluer sa stratégie en matière d'électrification des véhicules et ses qualités humaines.
En présence de plus de 200 invités, Didier Leroy, numéro 2 de Toyota, a reçu le prix de l’Homme de l’Année dans le cadre de la 38e édition organisée par le Journal de l’Automobile. Une soirée où se sont succédé hommages appuyés et analyses des grands enjeux sur la mobilité.
Didier Leroy, vice-président exécutif de Toyota Motor Corporation vient de remporter l’élection de l’Homme de l’Année 2018 du Journal de l’Automobile. Le parcours automobile sans faute et la vision stratégique du numéro 2 de Toyota ont séduit le jury.
Fort d’un premier trimestre encore très dynamique (526 669 ventes pour le groupe, soit + 9 %), Norbert Reithofer peut envisager l’exercice 2015 avec sérénité. Mais son dialogue avec le jury nous emmène déjà plus loin, à un horizon 2020 riche en nouveaux défis, la réduction des émissions polluantes n’étant pas le moindre d’entre eux.
Soirée de prestige à l’ACF pour la remise du Prix de l’Homme de l’Année à Norbert Reithofer, président de BMW Group. Tous les temps forts en quelques instantanés.
Toujours aussi mesuré et affable, Serge Naudin se pique pourtant soudain d’enthousiasme lorsqu’il s’agit d’évoquer la présidence de Norbert Reithofer. Eléments de portrait d’un grand dirigeant charismatique, mais volontiers discret.
Nous avons sollicité Denis Schemoul et Ronan Noizet, analystes chez IHS, pour mettre en lumière quelques éléments de la réussite de BMW Group sous la présidence de Norbert Reithofer. Où il apparaît que Norbert Reithofer a quasiment réalisé un sans-faute tout en plaçant le groupe sur orbite pour des succès futurs. Extraits.
Nous avons sollicité plusieurs experts renommés (*) pour évoquer BMW Group et cette petite musique de chambre aboutit à un concert de louanges. Cependant quelques nuances d’analyse se font jour, donnant matière à réflexion. Extraits.
(*) EY et KPMG ont décliné notre invitation, mettant en avant que BMW Group était un client de premier ordre pour leur groupe.
Celui de l’année 2014, comme celui de Norbert Reithofer à la tête de BMW depuis huit ans et demi, est quasiment sans tache. CA, ventes ou résultats atteignent des niveaux historiques. De quoi avoir les moyens de ses ambitions.
2014 a marqué une nouvelle année de croissance pour l’industrie automobile, y compris en Europe, même modestement, ce qui a aussi permis à certains généralistes d’entrevoir une éclaircie. Néanmoins, c’est encore le dirigeant d’un constructeur Premium qui tient la corde à l’issue du premier tour des délibérations du jury, en la personne de Norbert Reithofer du groupe BMW. L’alternative Tesla faisant encore flores, Elon Musk est en embuscade. Mais Laurens Van Den Acker, Jacques Aschenbroich ou Arnaud Deboeuf sont dans leur sillage.
Les tendances du premier tour se sont confirmées et les délibérations se sont focalisées sur un quatuor composé de Norbert Reithofer (BMW Group), Jacques Aschenbroich (Valeo), Elon Musk (Tesla Motors) et Arnaud Deboeuf (Programme Entry de Renault), parfois aiguillonné par le duo Niki Lauda et Laurens Van Den Acker. Mais au final, Norbert Reithofer, président-directeur général du groupe BMW, s’est largement imposé, les résultats immaculés du groupe et l’affabilité du dirigeant faisant l’unanimité.
C’est dans les salons du Cercle de l’Union Interalliée que Laurent Burelle, non sans émotion, a reçu le Trophée de l’Homme de l’Année 2013, du Journal de l’Automobile. C’est aussi là qu’il a, une nouvelle fois, témoigné de son attachement à la famille, à l’entreprise, et à ses collaborateurs. En témoignent ces photos qui font la part belle à ses proches.
Sous un soleil printanier fort amène, Laurent Burelle a conversé avec les membres du jury de l’Homme de l’Année lors d’un déjeuner organisé au Cercle de l’Union Interalliée. L’occasion d’évoquer le succès de Plastic Omnium naturellement (voir JA n° 1201), mais aussi d’échanger sur des sujets plus généraux comme la filière automobile, l’innovation et la compétitivité de la France. Morceaux choisis.
Les tendances du premier tour se sont confirmées avec les équipementiers français aux avant-postes aiguillonnés par la comète Tesla, fortement incarnée par Elon Musk. Mais au final, Laurent Burelle, président de Plastic Omnium, a réuni le plus grand nombre de suffrages, faisant l’unanimité autour de son groupe comme de sa personne.
Après une année 2013 qui a accentué les inégalités face aux conséquences de la grande crise de 2008 et face au rythme de la reprise dans les différentes régions du monde, le jury de l’Homme de l’Année s’est à la fois tourné vers des valeurs sûres, comme Norbert Reithofer (BMW) par exemple, et vers des paris, comme Elon Musk (Tesla) ou Vincent Bolloré (Autolib’). Avec Laurent Burelle et Jacques Aschenbroich, les équipementiers français sont aussi bien placés, tandis que Carlos Tavares pourrait jouer les trouble-fête.
Alors qu’aucun grand favori n’avait véritablement fait la différence lors du premier tour de délibérations, le second tour s’est révélé indécis et riche en débats. Mais au moment du vote, Ratan Tata a été largement élu. Volontiers discret, ce grand capitaine d’industrie n’en est pas moins très charismatique et symbolise parfaitement le nouvel ordre automobile mondial. Récit.
Au terme d’une année 2012 marquée par la crise en Europe et les difficultés de nombreux constructeurs généralistes, le jury de l’Homme de l’Année a logiquement pris l’accent allemand, coréen ou encore indien. Les sportifs et les opérateurs de nouveaux services sont aussi en bonne place. Toutefois, le suspense reste entier avant le vote final, aucun dirigeant ne virant vraiment en tête.
2012 aura été la bonne ! Souvent cité mais jamais "en finale", Ratan Tata a cette année réussi à terrasser tous ses adversaires, dont les plus coriaces ont été Peter Schreyer, Vincent Bolloré et Norbert Reithofer.
Le 22 mars dernier, au cœur du Pavillon Gabriel, Christian Klingler a reçu notre distinction devant un parterre de quelque 400 professionnels de l’automobile.
Accompagné par Martin Winterkorn, déjà élu en 2008, Christian Klingler a échangé plus d’une heure durant avec les membres du jury de l’Homme de l’Année. Fidèle à son style direct, il a ainsi évoqué sans faux-fuyant la réussite de Volkswagen et les questions d’avenir qui se posent à son groupe, et parfois à l’industrie automobile en général. Spicilège.
Christian Klingler, membre du directoire de Volkswagen AG, responsable ventes et marketing du groupe - Homme de terrain, de réseaux, grâce à son expérience dans la distribution automobile, Christian Klingler a su se muer en un dirigeant capable d’imprimer un nouvel élan au Groupe Volkswagen. Bien que le groupe n’ait pas oublié ses fondamentaux que sont l’ingénierie et le produit, il a su développer une nouvelle force reposant sur une approche commerciale et marketing jusqu’ici inconnue à Wolfsburg.
Xavier Chardon, directeur exécutif des ventes Europe de la marque Volkswagen - L’ancien “kid” de PSA est désormais un manager de premier ordre de Volkswagen. Il évoque avec nous les raisons qui ont motivé son choix et Christian Klingler, les deux étant étroitement liés !