Le spécialiste de la télématique, Webfleet, souffle sa 25e bougie. L’occasion pour la filiale de Bridgestone de définir sa stratégie, orientée vers l’intelligence artificielle et les partenariats.
Confronté à une baisse de la demande et à un contexte économique toujours difficile, le groupe nippon a réalisé un premier trimestre 2024 décevant. Bridgestone a toutefois confirmé ses prévisions pour l'année en cours, tablant sur ses pneus haut de gamme pour tenir le cap.
Le géant nippon du pneumatique n'a pas atteint ses objectifs annuels pour 2023. Bridgestone évoque un environnement économique plus compliqué que prévu, notamment en Europe, et se montre prudent pour 2024.
La Commission européenne a lancé une série de contrôles, mardi 30 janvier 2024, auprès de nombreux manufacturiers. Les autorités continentales suspectent certains d'entre eux de coordination commerciale contraire aux règles de la concurrence.
Dans un contexte pourtant perturbé par de multiples hausses des coûts, Bridgestone a généré en 2022 un chiffre d'affaires historique évalué à 28,7 milliards d'euros. Le fruit d'une politique commerciale réévaluée.
Le groupe nippon a annoncé avoir été victime d'une cyberattaque entre fin février et début mars 2022. Une mésaventure qui a impacté l'activité industrielle des usines Bridgestone situées en Amérique du Nord et en Amérique latine.
Si le manufacturier japonais a généré un chiffre d'affaires de 24,8 milliards d'euros en 2021, en hausse de 20 %, il se veut très mesuré à l'heure de se projeter sur 2022. Il estime toutefois que ses ventes devraient progresser de 12 %.
Initié en 2019, le partenariat entre le manufacturier nippon et le leader européen de la location de véhicules industriels et utilitaires va se poursuivre jusqu'en 2024. L'an passé, Bridgestone a fourni 90 000 pneumatiques à la flotte de Fraikin.
Bridgestone se prépare à l’électrification du parc roulant avec EVBox. Le fabricant de bornes équipera le réseau européen du groupe nippon avec près de 3 500 nouvelles infrastructures de recharge, en commençant par la France.
Le manufacturier annonce que son site de Béthune (62), qui doit fermer ses portes le 3 mai 2021, est cédé au logisticien Log’s. De nouvelles activités devraient y voir le jour.
Entamées depuis plusieurs mois, les discussions entre la direction de Bridgestone France et les syndicats de l'usine de Béthune sur le plan social de l'usine nordiste sont sur le point d'aboutir. Le PSE sera soumis au vote, au plus tard, le 11 février 2021.
Un mois après avoir adopté un ensemble de mesures d'accompagnement, la direction de Bridgestone France et les syndicats de l'usine nordiste ont trouvé un accord. Ce dernier améliore significativement le niveau d'indemnisation des salariés.
L'intersyndicale et la direction de Bridgestone France ont signé un accord au sujet des premières mesures d'accompagnement des salariés de l'usine de Béthune, condamnée à la fermeture.
La communauté d'agglomération de Béthune-Bruay demande le remboursement de 1,25 million d'euros d'aides publiques, versées entre 2007 et 2010, pour moderniser l'usine. Le manufacturier n'aurait pas respecté une clause sur l'emploi.
Le président de la région Hauts-de-France déplore la fermeture de l'usine Bridgestone de Béthune où sont actuellement employés 863 salariés. L'élu exhorte aujourd'hui le manufacturier à financer au maximum le plan social.
Le manufacturier nippon, à l'occasion de ses résultats du troisième trimestre 2020, a relevé certaines de ses prévisions mais envisage toujours une perte annuelle sur l'ensemble de l'exercice.
Le scénario présenté par le gouvernement pour sauver l'usine de Béthune n'a pas été approuvé par Bridgestone qui confirme donc la fermeture. Les pouvoirs publics veulent toutefois trouver une autre solution, sans le manufacturier. Il y aurait 4 projets déjà bien définis.
Le projet de relance du site nordiste dévoilé lundi 19 octobre 2020 par le gouvernement, prévoyant notamment de sauver plus de la moitié des emplois, n'a pas rassuré l'intersyndicale de Bridgestone. Celle-ci s'inquiète du flou entourant ce scénario et demande des précisions.
Lors d'une réunion à Bercy, lundi 19 octobre 2020, la ministre déléguée chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, a proposé un scénario alternatif à la fermeture pure et simple du site de Béthune. Le manufacturier japonais se dit prêt à étudier la proposition.
Le Premier ministre, Jean Castex, a indiqué qu'il comptait discuter pied à pied avec Bridgestone pour les convaincre d'investir sur le site de Béthune. Il a reconnu que la partie allait être compliquée.
A l'issue d'une réunion, lundi 21 septembre 2020, Bridgestone a réaffirmé son projet de cessation totale d'activité pour le site de Béthune. Il se dit prêt à accompagner une reprise. Le gouvernement va lancer une contre-expertise.
La ministre du Travail, Elisabeth Borne, a assuré que l'Etat ne laisserait pas tomber aussi bien les élus locaux que les salariés de Bridgestone. Le manufacturier compte fermer, en 2021, l'usine de Béthune où travaillent 863 salariés.
Depuis l'annonce de la fermeture programmée de l'usine Bridgestone de Béthune, les réactions vont bon train. Hommes politiques et syndicats montent au créneau, pointant les choix du manufacturier, mais aussi le rôle de l'Etat et des aides qu'il distribue.
Le manufacturier japonais a fait savoir, mercredi 16 septembre 2020, lors d’une réunion extraordinaire du comité social et économique, son projet de cessation totale et définitive de l’activité de Béthune. 863 emplois sont concernés.
Le manufacturier nippon a été lourdement impacté par la crise sanitaire au cours du premier trimestre 2020. Son bénéfice net a ainsi dégringolé de 65 % et son bénéfice opérationnel a fondu de moitié.
Le manufacturier nippon met la main sur REIFF Reifen und Autotechnik GmbH. Un distributeur de pneumatiques de premier plan outre-Rhin. Fondée en 1910, la société compte 42 magasins et une usine de rechapage dans le sud du pays.
La division EMEA du manufacturier annonce ce 17 janvier 2019 rejoindre la structure Iris Capital avec la ferme intention de se rapprocher de l'écosystème de start-up de la région. Un véritable bond en avant du groupe qui donne du crédit au vivier européen.
Bridgestone va investir dans certaines de ses usines européennes implantées en Espagne et en Pologne, afin de répondre à la demande de produits Premium orientée à la hausse.
Tout en étant moins dynamique que Michelin, Bridgestone annonce une progression de 4,4% de son bénéfice net au premier trimestre 2017 et confirme ses objectifs annuels.
En marge de l'entretien exclusif que nous avons réalisé avec Laurent Dartoux, Benoît Raulin et Jacques Le Foll, découvrez le communiqué de presse officiel relatif au rachat de Speedy par Bridgestone.
Sous la traditionnelle réserve de l'approbation des Autorités de la concurrence, Bridgestone EMEA fait l'acquisition de Speedy à 100%. En exclusivité, Laurent Dartoux, Senior vice-président ventes et marketing Bridgestone EMEA, Benoît Raulin, directeur de Bridgestone France et Benelux, et Jacques Le Foll, président de Speedy, nous commentent cette opération d'envergure qui rebat les cartes du marché français. Spicilège.
Coup de tonnerre dans le Landerneau du pneumatique ! Le numéro un mondial du secteur, le manufacturier japonais Bridgestone, semble très intéressé par les 478 centres que compte l'enseigne Speedy dans l'Hexagone, selon une info révélée par les Echos.
Nouveau rebondissement et dénouement dans l'affaire du rachat de Pep Boys. Bridgestone refuse de faire monter à nouveau les enchères et laisse le milliardaire Carl Icahn prendre le contrôle du réseau.
Le numéro un mondial du pneumatique souffre d’un manque de notoriété en Europe, principalement dû à l’omniprésence de manufacturiers locaux, souvent indétrônables sur leur marché nourricier. Pourtant, le Japonais veut trouver sa place et nous présente sa stratégie pour parvenir à ses fins.
Après avoir condamné le manufacturier japonais à verser une amende de 425 millions de dollars pour entente sur les prix, les autorités américaines inculpent aussi ses dirigeants.
Les autorités américaines ont condamné le manufacturier japonais à verser une amende de 425 millions de dollars pour entente sur les prix de composants en caoutchouc avec des constructeurs nippons installés aux USA.