L'abonnement automobile a peu d'avenir sans les réseaux de distribution
L'abonnement automobile devait révolutionner le financement et la mobilité jusqu'à générer 22 milliards d'euros de revenus dans les cinq plus grands pays européens en 2025. Mais la réalité des coûts de ce service donne tort aux prévisions. Et sans réseau sur lequel s'appuyer, l'échec est garanti.
L'abonnement chez Lynk & Co débute à 600 euros par mois. ©Lynk & Co
L'abonnement automobile devait révolutionner l'usage de la mobilité. La promesse a été lancée en 2020 où certaines études avançaient un marché qui pourrait atteindre en Europe et aux États-Unis près de 15 % des immatriculations, soit cinq à six millions d'abonnements. Trois ans plus tard, il faut bien reconnaître que l'on est très loin encore de ces prévisions de marché.
"C'est vrai, les offres n'ont pas réellement décollé malgré les promesses. Et il faut bien reconnaîtr[...]
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