La deuxième édition du leasing social démarre sur les chapeaux de roues. Après son lancement le mardi 30 septembre au matin, 18 000 commandes avaient déjà été déclarées par les concessionnaires à 18h sur la plateforme dédiée.
Alors que démarre la seconde campagne du leasing social, les yeux se braquent vers les concessionnaires et leur rapport à l'électrification du parc. Intervenant comme conseiller auprès des distributeurs, Thomas Chieux partage sa vision de cette transformation. Le codirigeant de TCG Conseil aborde les risques économiques pour les concessionnaires, aussi bien pour les activités VN que VO ou après-vente, mais refuse le fatalisme ambiant.
Trois experts ont été réunis en plateau par Le Journal de l'Automobile et Mobilians afin de décrypter les tenants et les aboutissants de la nouvelle fiscalité dans la filière automobile. Ces spécialistes apporteront leur éclairage lors d'une émission diffusée en ligne le jeudi 2 octobre 2025, à 10h30.
Le leasing social fera son retour le 30 septembre 2025. Avec des dizaines de milliers de demandes déjà anticipées, constructeurs et concessionnaires se préparent à une ruée sur la plateforme plus massive encore que l’an passé.
Alors que la deuxième saison du leasing social débutera le 30 septembre 2025, le gouvernement a tenu à clarifier les contours du dispositif en rappelant notamment les critères d'éligibilité. Il a aussi pointé les avancées pour protéger les consommateurs de pratiques commerciales abusives.
Les discussions entre Stellantis et son réseau européen annoncent un virage stratégique sur les relations contractuelles. Les distributeurs devraient conserver leurs prérogatives classiques, mais le constructeur tourne définitivement la page Tavares pour capitaliser à nouveau sur les marques.
Alors que la R4 fait son entrée sur les Champs-Élysées, Renault insiste sur la nécessité d’une visibilité réglementaire en Europe. Fabrice Cambolive, directeur général, plaide pour des règles stables afin de planifier les gammes de la prochaine décennie.
Peugeot a présenté ses offres pour l’édition 2025 du leasing social. Quatre véhicules 100 % électriques y seront donc éligibles : l’e-208, l’e-2008, l’e-308 et l’e-Rifter. Selon le modèle, les loyers s’échelonneront de 135 à 200 euros par mois.
La marque aux chevrons dévoile ses offres pour le leasing social avec, en guise de produit d’appel, une ë-C3 You à 95 euros par mois. Citroën va plus loin avec des loyers attractifs sur l’ensemble de sa gamme électrique pour les clients non éligibles au dispositif gouvernemental.
La deuxième édition du leasing social débutera le 30 septembre 2025 avec près de 30 modèles éligibles et un budget de 370 M€. Si l’État promet 50 000 dossiers financés via les CEE, les professionnels redoutent une lourdeur administrative et des risques financiers persistants. Entre opportunité commerciale et casse-tête opérationnel, la filière se prépare à une rentrée sous haute pression.
Pour l’édition 2025 du leasing social, Renault propose trois véhicules électriques : les R5, R4 et Megane E-Tech. Des modèles produits dans les usines françaises de la marque au losange et proposés à partir de 120 euros par mois.
Jérôme Daumont décode les évolutions récentes du marché automobile, entre baisse des immatriculations, effets des nouvelles régulations et montée en puissance du leasing. Le président du Groupement des concessionnaires Renault revient également sur l’impact de l’intelligence artificielle dans les processus commerciaux et les conséquences de la démission de Luca de Meo, un tournant majeur pour Renault.
Le dispositif du leasing social reprendra du service le 30 septembre 2025. Pour cette deuxième édition, le gouvernement entend accompagner le financement d’au moins 50 000 véhicules électriques à des loyers sous les 200 euros par mois.
Malgré une prévision de diminution de 8 % des immatriculations de voitures particulières et de 11 % des véhicules utilitaires en France, Renault avance une solide performance sur le marché. La marque capitalise sur l’électrification et le leasing social pour naviguer à travers un secteur automobile de moins en moins lisible fiscalement.
Le constructeur automobile se positionne en pole position pour rafler une nouvelle fois près de 70 % des dossiers du futur leasing social qui débutera en septembre 2025. Seize véhicules de la galaxie Stellantis seront intégrés au programme qui débutera à partir de 95 euros par mois.
Un arrêté paru au Journal officiel entérine le dispositif 2025 du leasing social. Le programme est prévu sur une période de cinq années jusqu'en 2030. 50 000 dossiers seront financés à hauteur de 369 millions d'euros par le biais des certificats d'économies d'énergie (CEE) pour l'année en cours.
Au 1er juillet 2025, le bonus automobile doit se transformer en "coup de pouce" grâce aux certificats d'économies d'énergie (CEE). Le projet d'arrêté, toujours en consultation, est en réalité un passage obligatoire. L'enveloppe budgétaire 2025 est presque épuisée. D'autant qu'elle a été rabotée en douce par le gouvernement.
Durant un colloque explorant le sujet de l’électrification de la mobilité en France, qui s'est tenu à Paris le 22 mai 2025, Diane Strauss, directrice France de Transport & Environnement, a évoqué la piste d’une offre de recharge sociale, en marge des objectifs de décarbonation d’ici à 2035 et au-delà.
Le projet d'arrêté précisant les modalités de la version 2025 du leasing social est prêt. Le ministère de la Transition écologique confirme une nouvelle aide à l'achat de 50 000 voitures électriques neuves avec un financement par le biais exclusif des CEE.
Dans un communiqué, l’association des constructeurs européens (ACEA) publie une série de recommandations pour permettre aux pays de l’Union européenne de mettre en place un leasing social optimal. Pour le lobby, le dispositif est "précieux et positif" pour soutenir la demande de véhicules électriques.
Les sociétés de financement continuent de jouer aux équilibristes en ce début d’année 2025. Certes, la production a considérablement augmenté mais, en contrepartie, le risque sur le portage des stocks s’est également accru.
Pour la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher, toutes les mesures doivent être prises pour accélérer le passage à la voiture électrique, tout en protégeant les industriels européens. Aides aux particuliers, contraintes pour les entreprises, écoscore pour les constructeurs… La France doit être au rendez‑vous de cette transformation.
Le gouvernement confirme la nouvelle saison du leasing social pour 2025. Celui-ci pourrait être ouvert à 50 000 bénéficiaires qui profiteraient du bonus complet, soit 4 000 euros, auquel s'ajouterait un coup de pouce supplémentaire issu des Certificats d'économie d'énergie (CEE). Le total de l'aide pourrait s'élever à 6 000 euros.
La frugalité sera de mise dans les réseaux de distribution en 2025. Compressés financièrement par un manque de trésorerie et des frais financiers qui ont explosé, les groupes craignent l’éclatement de la bulle des engagements de reprise.
Le gouvernement français a dévoilé les modalités du bonus écologique 2025 pour l’achat de véhicules électriques. Dans un contexte budgétaire difficile, celui-ci est sans grande surprise abaissé et entrera en vigueur dans les prochains jours. Le bonus pour les VUL est quant à lui supprimé, remplacé par un dispositif de soutien financé par les certificats d'économie d'énergie (CEE).
La publication du décret relatif au bonus écologique 2025 serait imminente. Le gouvernement va prendre des décisions draconiennes, conséquence d’une enveloppe budgétaire limitée à 700 millions d’euros.
Bercy confirme l’arrêt de la prime à la conversion pour 2025. Seuls le bonus écologique et le leasing social resteront en vigueur pour l’achat d’une voiture électrique. Mais le montant de l'aide reste inconnu.
L'ancien ministre français des Affaires étrangères a été auditionné le 12 novembre 2024 par le Parlement européen en vue de sa nomination au poste de commissaire européen à la Prospérité et à la Stratégie industrielle. Il a livré ses réflexions pour regonfler une demande en berne, inspirées des méthodes appliquées en France.
La filière automobile française retient son souffle face à l'incertitude des aides à l'achat de voitures électriques pour 2025. Alors que la réduction des subventions semble actée, l'entrée en vigueur imminente des normes CAFE d'émissions de CO2 menace d'aggraver une situation déjà préoccupante. Mobilians et la PFA alertent le gouvernement.
Bonus sous condition de ressources, suppression de la prime à la conversion, leasing social reconduit… Le gouvernement avance sur le plan 2025 des aides à l’achat de véhicules électriques. Mais toute la filière automobile dénonce une stratégie sans vision et sans évaluation.
Le patron de Stellantis a présenté au président de la République un dispositif de leasing social qui doit réparer le principal défaut de la précédente édition, en le dotant d'un volet dédié à la voiture d'occasion. Carlos Tavares estime que ce serait un moyen efficace de redonner de l’accessibilité aux gammes électriques actuellement trop chères pour le grand public.
Le ministre délégué aux Transports, François Durovray, a confirmé le renouvellement du leasing social en 2025. L'aide gouvernementale avait permis à plus de 50 000 ménages d’accéder à un véhicule pour seulement 100 euros par mois en 2024.
Invitée sur le plateau de France 3, Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, a confirmé qu’une évolution du malus était en préparation pour 2025 et au-delà. Une mesure qui vise avant tout les "gros SUV".
Bien que le leasing social ait pris fin le 30 septembre 2024, la marque aux chevrons prend à sa charge, à partir du 1er octobre, le manque à gagner sur toutes les ë-C3 qui n'ont pas été livrées aux clients dans les délais. Une mesure qui aura un impact financier dans un réseau où la rentabilité est dans le rouge.
La Direction générale de l'énergie et du climat (DGEC) a étudié la typologie des premiers bénéficiaires du leasing électrique. La moitié des dossiers a été analysée. Sur 25 000 foyers éligibles, 40 % gagnent moins de 10 200 euros par an.
Face au tollé, le gouvernement va effectuer les premiers remboursements du bonus et du leasing électriques dès le 13 juin 2024. Mobilians souhaite désormais un accompagnement des distributeurs qui ont été contraints d'emprunter pour avancer l'argent des aides fiscales.
Selon une enquête réalisée par Mobilians, l’État devrait près de 326 millions d'euros aux distributeurs automobiles qui ont fait l'avance du bonus et du leasing social. L'organisation syndicale demande le règlement de toute urgence de cette dette, insoutenable pour les trésoreries.
Le dispositif de leasing électrique subventionné par l’État doit être renouvelé en 2025, comme le prévoit le contrat stratégique de filière. Le député macroniste David Amiel milite pour un mécanisme d'enchères à la baisse entre les constructeurs pour déterminer les véhicules éligibles.
Face à une situation qui risque de déraper, Mobilians a décidé d'interpeller Bruno Le Maire, ministre de l’Économie. L'organisation syndicale demande un traitement accéléré pour le remboursement des avances du bonus écologique, faites par les concessionnaires.
La colère gronde dans les réseaux de distribution. Ces derniers ne sont toujours pas remboursés par l’État des aides fiscales accordées pour l'achat d'un véhicule électrique. Plus d'une centaine de millions d'euros sont dans la nature alors que les trésoreries sont déjà mises à mal. La menace d'un blocage des livraisons est bien réelle.