La France et huit autres pays européens viennent d'être renvoyés devant par la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) pour non-respect des normes de qualité de l'air.
La Commission européenne a annoncé ce 4 mai 2018 la mise en place d’un droit antidumping provisoire sur les importations de pneus chinois pour autobus et camions. Ces droits sont appliqués pour une période de six mois au minimum.
Déjà engagée dans une procédure judiciaire contre l'Etat fédéral américain, la Californie vient de rallier 17 autres Etats à sa cause afin de pouvoir conserver la loi précédente sur le niveau des émissions.
Assez largement dépourvue face au dieselgate, l'UE va mettre en place une nouvelle règlementation, applicable en 2020, afin que l'histoire ne bégaie pas. De plus, la Commission pourra infliger des amendes pouvant atteindre jusqu'à 30 000 euros par véhicule.
Entre 2018 et 2022, la Chine va supprimer de nombreuses restrictions, dont le fait, pour un constructeur étranger, de ne pouvoir détenir plus de 50 % d'une JV. Un assouplissement des règles qui va débuter dès cette année pour les fabricants de véhicules électriques et hybrides.
L’instance européenne souhaite que les consommateurs qui se sentent floués puissent lancer des recours collectifs partout dans l’Union. Une initiative dont pourraient profiter les victimes du Dieselgate.
Dans une veine toujours très climatosceptique, l'administration Trump va assouplir les objectifs de réduction des consommations mis en place par la précédente.
Le Parlement européen et le Conseil européen sont parvenus à un accord informel sur un règlement concernant la surveillance et la communication des données relatives aux émissions de CO2 et à la consommation de carburant des camions, autobus et autocars neufs.
Ce 13 mars 2018, le cas des transports intelligents, C-ITS, a été inscrit à l'ordre du jour au Parlement européen. Au sortir de la session plénière, a été adoptée une résolution qui appelle les autorités européennes à légiférer en faveur d'une libéralisation de la donnée.
Une consultation publique a été ouverte par la Commission européenne sur un projet de proposition visant à améliorer un peu plus la qualité des processus d’homologation des véhicules WLTP et RDE. Au menu, moins de tolérance, plus de contrôles.
Autovista annonce que les premiers véhicules homologués conformément à la procédure WLTP rejetteraient 25 % de CO2 de plus en moyenne que sous le régime NEDC. L’entreprise tablait initialement sur une hausse de 19 %.
La Cour administrative fédérale doit statuer jeudi 22 févier sur la possibilité d’interdire les véhicules diesel les plus polluants dans certaines zones du pays, sous peine de se voir sanctionner par la Commission européenne. Une décision que les responsables politiques et les constructeurs craignent tant l’enjeu économique est de taille.
Comme chaque année, Euro Ncap, organisme d’évaluation européenne des automobiles, a dressé la liste des véhicules ayant obtenu les meilleurs résultats dans leur catégorie en termes de sécurité. Cette année, aucun Français dans le classement, qui fait en revanche la part belle à Volkswagen.
Les discussions ont débuté sur les niveaux d'émissions de CO2 pour la période 2021-2030. La Commission européenne envisage -30% d'ici la date butoir. Naturellement, cette éventuelle baisse fait déjà débat, jugée trop importante pour certains et trop timide pour d'autres.
Plusieurs constructeurs risquent des amendes records, d'après la dernière étude du cabinet de consulting britannique PA Consulting sur les objectifs d'émissions de CO2 assignés aux constructeurs en Europe en 2021. La faute au Dieselgate... et à l'attrait des consommateurs pour les SUV.
Dans le but de réduire les niveaux d'émission, le ministère autrichien des Transports est parvenu à un accord visant à mettre à jour le logiciel de 600000 véhicules en circulation.
Le gouvernement de la région bruxelloise vient d'imposer aux entreprises de plus de 100 salariés de proposer à leurs collaborateurs une alternative à la voiture de société dès 2018.
Représentant un compromis entre celui présenté par la Commission européenne et celui défendu par le Parlement européen, il entérine quelques mesures coercitives et quelques niveaux de sanctions conséquents pour les constructeurs.