En prévision des prochaines élections européennes, le Cecra qui réunit 336 720 groupes de distribution automobiles, pose ses jalons et souhaite que le législateur se penche sur la mobilité, les données et des relations contractuelles plus équilibrées avec les constructeurs.
Le rapport GEAR 2030 sur l'avenir de la chaîne de valeur de l'industrie automobile européenne a été adopté par la Commission européenne. Le Cecra y a notamment participé et se félicite d'avoir été écouté.
Les conclusions de la commission mixte paritaire ont été rendues publiques : un rapport sur la santé des concessionnaires sera rédigé. Une avancée pour la reconnaissance des statuts des distributeurs automobiles.
Depuis le 1er juin, les contrats entre constructeurs et distributeurs ne font plus l’objet d’une réglementation européenne spécifique, mais sont désormais régis par le droit commun de la concurrence.
Contre les recommandations du Parlement européen adoptées le 6 mai dernier, la Commission a choisi de préserver la double orientation aux règles de concurrence du secteur automobile, qu'elle avait dévoilée en début d'année dans...
L'organisation professionnelle vient de rappeler quelles pourraient être les conséquences du nouveau régime communautaire de la distribution automobile pour les concessionnaires. Elles pourraient tout simplement se révéler catastrophiques.Une...
Le 15 décembre dernier, la Cour de Cassation a cassé le jugement de la Cour d'appel de Paris dans l'affaire qui oppose Daf à 5 de ses anciens distributeurs pour résiliation abusive, et a ainsi pour la 1re fois reconnu l'exigence...
Alors que la décision de la Commission européenne quant à l'avenir du règlement qui régira l'automobile au 31 mai 2010 pourrait intervenir dans les semaines qui viennent, à moins que les difficultés...
RB : Je pense que les distributeurs n'ont pas forcément eu les opportunités ou le temps d'exploiter toutes les possibilités qui leur étaient données par le règlement 1400/2002. D'autant plus qu'un volet important de ce...
EF : Lorsque ce règlement 1400/02 a été évoqué, il y a eu une hostilité immédiate de la part de la profession. Aussi bien de la part des constructeurs que des associations de concessionnaires pour dire qu'il ne fallait pas...
EF : Au moment où ce règlement est passé contre la volonté de tous, il n'y a pas eu de revendications sur un retour à l'exclusivité territoriale, qui était pourtant une protection considérable....
EF : Je crois que plusieurs choses gênaient les constructeurs dans le 1400/02. C'était le multimarquisme sous le même toit, c'était la nécessité de motiver les résiliations, c'était la possibilité d'ouvrir des points de vente...
LFK : Il ne faut pas penser qu'à chaque fois qu'on veut donner notre avis sur la reprise d'une affaire, c'est par volonté hégémonique. Le principe, c'est de pouvoir donner notre avis sur la capacité d'un candidat à représenter...
Ernest Ferrari : L'Europe peut pousser vers plus de multimarquisme, plus de concurrence intramarque ou intermarque… Mais au-delà de ces quelques ajustements que la réglementation va permettre, il demeure une question essentielle...
JCH : L'important avec ce nouveau règlement, ce sont les discussions qu'il va y avoir entre distributeurs et constructeurs pour savoir ce qu'on met dedans en termes de standards et d'investissements. Quels critères accepte-on pour...
OL : Les constructeurs ont apporté la preuve qu'ils ne savaient pas vendre de voitures. Ils ont essayé. Par leur propre réseau de succursales, ça n'a pas marché… Par Internet, en direct, ça n'a pas marché… Ils doivent se raccrocher...
OL : Il faut que le règlement 1400/02 soit reconduit, c'est évident. Mais je souhaite quelques aménagements. Le premier : sur la liberté de cession. Il faudrait avoir la possibilité de céder des affaires à quiconque est un professionnel....
Devant le manque d'informations disponibles sur le sujet, Renaud Bertin, met en garde les professionnels de l'automobile sur les dangers d'un retour à un système de distribution exclusive. La crise...
Dans le cadre de l'émission Face à la Presse (*), Patrick Bailly, président du CNPA, s'est montré prudent sur la plupart des sujets évoqués, les incertitudes pesant sur le marché et sur certaines négociations...