Le processus de rachat d’Athlon par Arval vient d’être rendu officiel. La filiale de BNP Paribas est entrée en négociations exclusives avec Mercedes-Benz pour cette opération qui lui permettra d’ajouter 400 000 véhicules à sa flotte en 2026.
Accompagner les entreprises dans la gestion et la composition de leur flotte est devenu un axe de développement majeur pour les grands distributeurs automobiles. Ils rivalisent d’initiatives pour s’imposer comme des interlocuteurs incontournables de la relation BtoB. Leur but : sortir de l’ombre des loueurs longue durée et des constructeurs.
Zoom de l’Arval Mobility Observatory – La barre des 100 000 véhicules à hydrogène dans le monde devrait être franchie fin 2024. Pour autant, l'engouement pour cette énergie dans la mobilité semble s'essouffler, du fait d'une certaine méconnaissance à son sujet et de sa complexité.
L’Arval Mobility Observatory a publié la 13e édition de son étude annuelle nommée TCO Scope, qui analyse les coûts de détention des véhicules d’entreprise. Si l’électrique conserve des avantages face au thermique, des défis subsistent, en particulier en ce qui concerne son coût à l’achat.
Zoom de l’Arval Mobility Observatory – L'explosion de l'intelligence artificielle générative rend bien des services, mais elle se traduit en contrepartie par des besoins en énergie colossaux. D'où l'urgence de développer la production d'électricité, renouvelable de préférence.
Zoom de l’Arval Mobility Observatory – Alors que nous sommes en pleine semaine européenne de la mobilité, il est intéressant de se reporter presque cinq ans en arrière, avant la pandémie de Covid-19, pour voir ce qui a réellement changé dans le paysage des déplacements et, à l’inverse, ce qui perdure.
Le spécialiste de la location longue durée (LLD) a publié ses résultats financiers pour le premier semestre 2024. Malgré un recul de 10,6 % de son bénéfice net, Arval est parvenu à augmenter de 38,9 % le nombre de véhicules électrifiés au sein de sa flotte, à 508 949 unités.
Zoom de l’Arval Mobility Observatory – Attendu comme une énergie alternative de premier plan, notamment pour la mobilité, l'hydrogène décarboné ou "vert" peine à se développer en France. En cause, son prix trop élevé par rapport à l'hydrogène "gris" produit à partir de gaz fossile. Un soutien de la filière tarde à se mettre en place.