Réunis à l'usine Ampere de Douai (59), Ivan Espinosa (Nissan), Takao Kato (Mitsubishi), François Provost et Jean-Dominique Senart (Renault) ont souligné l'importance du site dans les projets de l'Alliance. En plus des modèles Renault et Alpine, il produit maintenant des modèles électriques pour les deux marques nippones.

Devenu la proie de fonds activistes et de groupes asiatiques hostiles, Nissan traverse une situation financière hautement critique. Après l'échec de la fusion avec Honda, le constructeur japonais pourrait retrouver des vertus à son alliance avec Renault avec lequel les synergies sont massives. Le français, lui, a déjà commencé à regarder ailleurs.





Cadillac électrise les flottes d’entreprise en France


