Les ventes de PHEV vont-elles rebondir avec les superhybrides ?

Alors qu’elle ne représentait que quelques milliers d’immatriculations en France il y a dix ans, la motorisation hybride rechargeable a connu une importante progression de ses ventes au cours des dernières années, notamment auprès des entreprises. Cependant, en 2024, les "Plug‑in Hybrid Electric Vehicles" ou PHEV ont rencontré une nette baisse de leurs immatriculations au sein du marché français. Sur les canaux des professionnels, ils ont ainsi vu leur nombre de mises à la route chuter de 10,4 %, à 72 611 exemplaires, contre 81 045 unités en 2023.
Si les flottes représentaient tout de même près de la moitié des ventes totales de PHEV (146 392 unités) l’an dernier, l’engouement autour de cette motorisation semble néanmoins beaucoup moins présent qu’auparavant. Et cette tendance tend à se poursuivre en 2025… car les ventes de véhicules hybrides rechargeables ont dégringolé de 56,2 % sur les deux premiers mois de l’année, pour atteindre 5 448 exemplaires écoulés.
Une baisse de régime que l’on peut expliquer par plusieurs facteurs. Tout d’abord, depuis le 1er janvier 2025, les véhicules hybrides rechargeables ne sont désormais plus exemptés de la taxe sur l’affectation des véhicules à des fins économiques (TVE), anciennement appelée taxe sur les voitures de société (TVS). Cet avantage permettait jusqu’alors à cette motorisation d’être exonérée d’un impôt, à condition que le taux d’émission de CO2 des véhicules soit inférieur ou égal à 60 g/km.
Si la base d’amortissement des PHEV reste inchangée en 2025, le malus au poids a, quant à lui, été renforcé. Les modèles hybrides rechargeables avec une autonomie en mode tout électrique en ville supérieure à 50 km sont dorénavant soumis à la taxe, tout en bénéficiant d’un abattement de 200 kg sur leur masse en ordre de marche, dans la limite de 15 % de cette même masse. De leur côté, les véhicules hybrides rechargeables dotés d’un rayon d’action en 100 % électrique de moins de 50 km profitent d’une déduction de 100 kg de la masse en ordre de marche.
À titre d’exemple, le Volkswagen Tayron, dernière nouveauté en date du constructeur allemand, dans sa version eHybrid de 204 ch, est pénalisé d’un montant de 1 400 euros, tandis que le nouveau BMW X3 30e xDrive affiche un malus au poids de 4 320 euros. Le constat est encore pire pour le Mercedes‑Benz GLC, dont la facture du malus passe à 11 480 euros !
Des véhicules mal utilisés
D’autant que depuis début 2025, les entreprises ont maintenant l’obligation d’intégrer 20 % de véhicules à faibles émissions dans leur flotte lors de chaque renouvellement. Fixé par la loi d’orientation des mobilités (LOM), ce nouveau seuil inclut les modèles hybrides rechargeables. Toutefois, certaines sociétés auraient fait le choix de les supprimer de leur car policy et ce, au profit des véhicules 100 % électriques. La raison ? Les PHEV seraient, dans certains cas, toujours mal utilisés ou du moins mal rechargés par leurs collaborateurs, entraînant de fait une surconsommation du moteur thermique et donc des coûts supplémentaires de carburant.
La société Holson, dédiée à l’optimisation de la gestion des flottes d’entreprise, a mené une étude dont les résultats font apparaître l’hybride rechargeable comme la motorisation la plus gourmande en termes de consommation de carburant, devant le diesel ou encore l’essence. "Nous avons réalisé une étude pour une flotte d’entreprise qui avait mis à la route plus de 300 PHEV. La consommation moyenne constatée était de 11 l/100 km, là où le véhicule aurait dû être à 3 l/100 km en théorie", déclare Stéphane Montagnon, fondateur de Holson. Qui poursuit : "Nous faisons à peu près à chaque fois le même constat auprès de nos clients. Les véhicules hybrides rechargeables ont des consommations beaucoup plus élevées que ce qui avait été prévu par l’entreprise, car celle‑ci n’avait souvent pas compris l’impact que pouvait avoir l’absence de recharge."
Pour ne rien arranger, la norme Euro 6e‑bis, entrée en vigueur le 1er janvier 2025, change également le cycle d’homologation des hybrides rechargeables, qui était jusqu’alors jugé trop clément par rapport à l’utilisation réelle de ces véhicules. En effet, les consommations moyennes des PHEV pouvaient s’avérer être quatre fois supérieures à celles annoncées sur la fiche technique du constructeur. La nouvelle méthodologie, censée être davantage représentative des conditions de conduite réelles, ne s’applique en revanche qu’aux nouveaux modèles homologués à cette date et pas à ceux déjà en circulation. Cette évolution pourrait dès lors conduire à un nouveau durcissement de la fiscalité des véhicules hybrides rechargeables, ces derniers se retrouvant aussi soumis au malus CO2…
La fin des avantages fiscaux pour les PHEV a donc amené les constructeurs automobiles à revoir leur offre de produits. Désormais, l’autonomie doit être le principal argument à l’achat d’un tel véhicule. Ainsi, depuis quelque temps, des modèles aux batteries de plus en plus grandes, et donc avec une autonomie en 100 % électrique bien plus élevée, font leur apparition au sein des catalogues de certaines marques. Le Journal des Flottes a réalisé une sélection de ces nouveaux véhicules hybrides rechargeables plus performants et souvent appelés "super hybrides" dans le langage marketing des constructeurs.
Top 20 des ventes de modèles hybrides rechargeables en BtoB en 2024
Modèle | Volume | Variation 2023/2024 (en %) |
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1 | BMW X1 | 4 928 | 78,2 % |
2 | Cupra Formentor | 4 297 | 59,9 % |
3 | Peugeot 308 | 4 213 | -33,8 % |
4 | Mercedes-Benz GLC | 3 333 | 20,4 % |
5 | BMW X5 | 2 538 | 37,3 % |
6 | Volvo XC60 | 2 403 | 11,5 % |
7 | Mercedes-Benz GLC Coupé | 2 205 | 78,1 % |
8 | DS7 | 2 131 | -32,8 % |
9 | Mercedes-Benz GLA | 2 041 | -11,6 % |
10 | Range Rover Sport | 1 913 | 51,0 % |
11 | Porsche Cayenne Coupé | 1 765 | 180,2 % |
12 | Audi Q5 Sportback | 1 763 | 42,8 % |
13 | Kia Sportage | 1 749 | -16,4 % |
14 | Volkswagen Tiguan | 1 715 | // |
15 | Audi Q3 Sportback | 1 476 | 7,7 % |
16 | Audi Q5 | 1 422 | 19,3 % |
17 | BMW X3 | 1 339 | -42,4 % |
18 | Audi A3 | 1 150 | 25,1 |
19 | Citroën C5 Aircross | 1 112 | -56,1 % |
20 | Volvo XC90 | 1 096 | 11,6 % |
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Audi
Avec une autonomie électrique pouvant atteindre 142 km, la nouvelle A3 TFSI e est désormais disponible en deux versions hybrides rechargeables. Ainsi, Audi France estime que cette motorisation représentera 50 % des ventes du modèle en 2025, soit environ 9 000 unités. L’hybridation rechargeable de l’A3 va, par ailleurs, bientôt fêter ses dix ans puisque la première date de 2016. À l’époque, cette A3 e‑tron affichait une cinquantaine de kilomètres en électrique.
©Audi
La génération suivante, en 2020, arrivera à environ 70 km sous l’appellation de TFSI e. Cette cuvée 2025, désormais équipée d’une batterie de 19,7 kWh nets, marque donc un vrai pas en avant puisque l’autonomie électrique de la citadine a été doublée. Mais tout cela a un prix puisque la gamme débute à 47 900 euros pour culminer à 55 900 euros.
BMW
Restylée en juillet 2024, la BMW Série 3 a reçu une nouvelle batterie de 19,5 kWh nets à la capacité pratiquement doublée. Cette dernière lui confère alors un rayon d’action de plus de 100 km en 100 % électrique (pour la version propulsion), au lieu de 60 km précédemment. Si l’autonomie a augmenté, ses tarifs ont fait de même. Car la BMW 330 e démarre à 62 250 euros. Pour ce qui est de sa grande sœur, la Série 5, la version 530 e embarque une batterie de 19,4 kWh nets avec une autonomie de 105 km, le tout pour la coquette somme de 73 150 euros. Sa déclinaison break, la Série 5 Touring, bénéficie quant à elle d’un rayon d’action de 98 km en full electric, pour un ticket d’entrée fixé à 74 650 euros.
©BMW
Du côté des SUV du constructeur bavarois, le BMW X3, dans sa variante PHEV, dispose d’une batterie avec une capacité nette de 19,7 kWh, lui offrant une autonomie électrique allant jusqu’à 90 km. Cette motorisation devrait, par ailleurs, largement dominer les ventes du modèle en France et ce, malgré une entrée de gamme à 72 950 euros. Grâce à une batterie de 25,7 kWh nets, le BMW X5 xDrive 50e est, quant à lui, capable de réaliser jusqu’à 105 km en 100 % électrique, quand son prix ne s’envole pas à moins de 116 500 euros.
Cupra
Disponible en deux motorisations hybrides rechargeables, le Cupra Terramar eHybrid affiche un prix de départ de 55 600 euros. Sa batterie de 19,7 kWh de capacité nette offre une autonomie de plus de 100 km en mode tout électrique. Fraîchement restylé, le Cupra Formentor propose les mêmes caractéristiques techniques, pour des tarifs en revanche légèrement inférieurs, débutant à 51 345 euros. Enfin, avec un rayon d’action allant jusqu’à 131 km en 100 % électrique, la Leon voit ses prix commencer à 46 745 euros (129 km d’autonomie et à partir de 48 995 euros pour sa version Sportstourer).
©Cupra
Land Rover
Très apprécié des flottes dans sa motorisation PHEV, le Range Rover Sport est équipé d’une batterie de 38,2 kWh. Sa version P460e affiche un ticket d’entrée de 103 200 euros et une autonomie électrique allant jusqu’à 113 km en cycle mixte WLTP, selon le constructeur.
©Land Rover
Leapmotor
Bien différent des modèles évoqués jusqu’à présent, le Leapmotor C10 dans sa version à prolongateur d’autonomie (REEV) a tout de même retenu notre attention. Et pour cause, le SUV du constructeur chinois revendique un rayon d’action de 145 km en électrique grâce à une technologie très répandue en Chine mais encore peu commune en Europe. À la différence d’un hybride rechargeable, ici, c’est le moteur essence qui joue le rôle de générateur électrique et qui est greffé à la technologie électrique (une batterie de 28,4 kWh). On pourrait alors parler d’hybride rechargeable inversé. Le Leapmotor C10 REEV arrivera dans les concessions en avril 2025, pour des tarifs débutant à 37 400 euros.
©Leapmotor
Lynk & Co
Présenté en début d’année 2025, le Lynk & Co 08 a pulvérisé le record d’autonomie des PHEV. Le constructeur du groupe Geely prévoit, en effet, de commercialiser, en juin prochain, un SUV hybride rechargeable capable de réaliser jusqu’à 200 km en mode 100 % électrique, selon la norme WLTP. Une valeur obtenue grâce à sa batterie de 39,6 kWh. Son prix de départ est annoncé à 53 995 euros.
©Lynk & Co
Mercedes-Benz
L’allemand Mercedes‑Benz est non seulement réputé pour proposer une gamme extrêmement large de modèles disponibles en motorisation hybride rechargeable, mais également pour être le seul constructeur à vendre des PHEV roulant au diesel. Et on commence donc ce tour d’horizon par la Classe C. Équipée d’une batterie de 19,53 kWh de capacité nette, la berline à l’étoile jouit d’un rayon d’action allant jusqu’à 117 km, pour des prix débutant à 64 250 euros. La Classe C break revendique, quant à elle, une autonomie pouvant atteindre 113 km en cycle mixte WLTP, tandis que son tarif augmente de 300 euros.
Si la Classe E et sa déclinaison break possèdent la même batterie que celle de leur petite sœur, elles disposent néanmoins d’une autonomie en mode tout électrique légèrement inférieure, respectivement de 114 et 110 km. Comptez un minimum de 73 650 euros pour la Classe C berline PHEV et 76 200 euros pour la carrosserie break. Le constat est le même pour le CLE Coupé, qui conserve des performances presque identiques, à condition de débourser a minima 72 000 euros.
©Mercedes-Benz
En ce qui concerne le haut de gamme chez Mercedes‑Benz, la Classe S 580 embarque une batterie dont la capacité nette est de 21,96 kWh. Cette dernière permet à la limousine de réaliser jusqu’à 114 km en 100 % électrique, selon la marque allemande. Attention toutefois à l’addition salée, puisque le ticket d’entrée est fixé à 135 300 euros.
Les SUV de Mercedes‑Benz bénéficient d’un fort attrait auprès des flottes dans leur motorisation hybride rechargeable. À commencer par le GLC, ainsi que sa variante coupée qui sont respectivement dotés d’une batterie de 24,82 kWh et 25,28 kWh nets, pour des autonomies annoncées de 128 et 129 km. En PHEV, le GLC débute à 72 649 euros, tandis que sa version coupée voit ses tarifs démarrer à 83 000 euros. Chez leurs grands frères, les GLE et GLE coupés, on retrouve la même batterie de 25,28 kWh nets, pour des rayons d’action abaissés à 114 et 116 km. Niveau prix, le GLE hybride rechargeable est proposé à partir de 95 751 euros, quand le tarif de sa déclinaison Coupé commence à 109 901 euros.
MG
Le nouveau MG EHS embarque une batterie imposante pour un modèle hybride rechargeable de 21,4 kWh et offre une autonomie de 100 km en 100 % électrique, le plaçant ainsi dans le haut du marché des PHEV. À équipement équivalent, il affiche en plus un tarif imbattable, entre 8 000 et 12 000 euros moins cher que la concurrence directe, avec une gamme qui oscille entre 37 990 et 39 990 euros.
©MG
Mitsubishi
Considéré comme le porte‑étendard de Mitsubishi, l’Outlander PHEV sera lancé dans une nouvelle version en France début 2025. Elle sera équipée d’une batterie de 22,7 kWh, offrant une autonomie allant jusqu’à 84 km en mode entièrement électrique. Son point fort sera sûrement ses tarifs, puisque le SUV du constructeur japonais affiche un prix d’appel de 49 990 euros.
©Mitsubishi
Opel
Disponible dans un large éventail de motorisations, l’Opel Grandland, dont la commercialisation a débuté fin 2024, est également proposé en version PHEV. Cette dernière garantit au cousin technique du Peugeot 3008 une autonomie de 85 km en 100 % électrique, grâce à une batterie de 17,9 kWh. Ses tarifs commencent à 41 990 euros.
©Opel
Peugeot
Enfin, on retrouve un constructeur français ! Mais il faut dire que les marques tricolores ne sont pas très généreuses quand il s’agit de l’autonomie électrique de leurs modèles hybrides rechargeables. Pour en témoigner, le nouveau Peugeot 3008 PHEV embarque une batterie de 21 kWh lui permettant donc d’atteindre une autonomie de 87 km en tout électrique. Livré à compter du printemps 2025, le modèle sera facturé à partir de 42 990 euros.
©Peugeot
Son grand frère, le 5008, ne fait pas mieux en termes d’autonomie électrique. Bien au contraire… Avec sa batterie de 18 kWh, le grand SUV familial affiche un rayon d’action allant jusqu’à 82 km en électrique, pour un ticket d’entrée fixé à 44 990 euros.
Renault
Voilà une autre marque française. Si Renault ne dispose que d’un seul et unique modèle en PHEV au sein de sa gamme, il fait partie néanmoins des rares constructeurs à employer le terme "super hybride", pour qualifier son nouveau Rafale. Car sa version E‑Tech 4 x 4 de 300 ch peut se vanter de franchir le cap des 100 km d’autonomie. Grâce à une batterie de 22 kWh de capacité brute, le Renault Rafale PHEV peut, en effet, parcourir jusqu’à 105 km en mode électrique. Il est proposé à partir de 54 500 euros dans la finition Esprit Alpine.
©Renault
Seat
Que dire des Seat Leon et Leon Sportstourer. À part qu’elles bénéficient des mêmes performances que leurs jumelles techniques de chez Cupra. La batterie de 19,7 kWh reste inchangée, au même titre que l’autonomie 100 % électrique qui oscille entre 125 et 133 km ou 124 et 131 km, selon la carrosserie choisie. S’il y a bien quelque chose qui change, en revanche, c’est le prix ! En PHEV, la Seat Leon démarre à 43 750 euros, tandis que sa version Sportstourer est vendue à partir de 45 130 euros.
©Seat
Skoda
Chez le constructeur tchèque, l’offre de voitures hybrides rechargeables se résume à la Skoda Superb Combi et au nouveau Kodiaq. Disponible à partir de 53 350 euros, la première est équipée d’une batterie de 25,7 kWh (contre 12,7 kWh précédemment), permettant à la Superb d’atteindre jusqu’à 135 km en autonomie 100 % électrique. Quant au nouveau Kodiaq IV, il se dote pour la première fois d’une version PHEV. Sa batterie est identique à celle déjà présente sur la Superb Combi, pour une autonomie électrique qui descend à 124 km. Côté prix, le SUV tchèque affiche un ticket d’entrée à 51 820 euros.
©Skoda
Toyota
Désormais uniquement proposée en PHEV, la cinquième génération de la Toyota Prius dit donc adieu au full hybrid. Son autonomie en mode 100 % électrique peut ainsi atteindre 86 km en cycle mixte WLTP et ce, grâce à une batterie de 13,6 kWh. Son tarif est fixé à 44 400 euros.
©Toyota
Volkswagen
Volkswagen pourrait être qualifié de champion de l’autonomie pour ce qui est de ses modèles hybrides rechargeables. D’abord avec la Golf, puisque son restylage de l’an passé lui permet, grâce à une batterie de 19,7 kWh nets, de parcourir jusqu’à 142 km en 100 % électrique dans la version eHybrid 204 ch. La gamme PHEV de la compacte est seulement disponible sur les finitions hautes, à des tarifs allant de 48 430 à 53 130 euros. La Passat propose également deux variantes en hybride rechargeable, avec la même batterie. Sur le break, le rayon d’action en électrique est, en revanche, abaissé à 133 km, quand son prix débute à 51 790 euros.
Du côté des SUV, le Tiguan, best‑seller mondial du constructeur allemand, est revenu l’an dernier avec une troisième génération totalement revue. À terme, 40 % de ses ventes seront à mettre à l’actif des deux versions hybrides rechargeables, l’une affichant 204 ch et l’autre 272 ch. Dans les deux cas, le système accueille toujours une batterie de 19,7 kWh nets (contre 10,6 kWh auparavant) permettant d’annoncer une autonomie électrique comprise entre 110 et 128 km. La facture du Tiguan eHybrid s’étale de 53 350 à 66 300 euros.
©Volkswagen
Enfin, dernière nouveauté en date chez Volkswagen, le Tayron, dont la commercialisation débutera en 2025, jouit des mêmes caractéristiques techniques que le Tiguan. Ce grand SUV de 5 à 7 places, qui vient se glisser entre le Touareg et le Tiguan, affiche jusqu’à 128 km d’autonomie électrique, tandis que son ticket d’entrée est fixé à 57 300 euros.
Volvo
Finissons ce tour d’horizon des "super hybrides" par Volvo. Facturé à partir de 69 450 euros, le XC60 embarque une batterie de 19 kWh, lui permettant de réaliser jusqu’à 82 km en 100 % électrique. De son côté, la Volvo V60 peut parcourir un maximum de 93 km en mode tout électrique. Doté de la même batterie que le SUV, le break en PHEV est proposé à des tarifs démarrant à 64 300 euros.
©Volvo
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