Le groupe Suma pousse les accessoires en ligne
Le distributeur spécialisé dans les marques du groupe Volkswagen s'est doté récemment d'un site de commerce en ligne d'accessoires. Un projet dont les premiers résultats sont encourageants.
Le groupe Suma a collaboré avec Spid Tech dans ce projet d'e-commerce d'accessoires.
Suma est entré dans le monde du commerce en ligne d'accessoires. L'opérateur qui distribue chaque année entre 3 200 et 3 500 Volkswagen, Audi, Seat, Skoda et Volkswagen VU a lancé un site internet, à la rentrée de septembre 2019, pour dynamiser cette activité qui pèse environ 10 % du poste PR & Accessoires du groupe. "Nous avons voulu aussi diminuer le nombre d'appels entrants et les visites en concession pour gagner en fluidité", explique une source interne.
Les coffres de toit, les tapis, les chaines ou encore les supports de smartphones… tous s'affichent désormais sur la page du groupe. "Le site réalise un bon démarrage avec en moyenne une vente par jour, rapporte Audrey Dupont, la directrice marketing du groupe Suma, et cela sans avoir mis en place de communication spécifique". Le simple référencement permet au distributeur présent en Saône-et-Loire (71) et dans la Nièvre (58) de toucher des clients parisiens qui représentent une part significative des expéditions.
En effet, le schéma prévoit un paiement en ligne (jusqu'à 3 fois sans frais si nécessaire), puis un envoi par Colissimo ou un retrait gratuit en concession. Spid Tech qui a réalisé le projet pour le groupe Suma a déjà reçu des idées de développement. Le distributeur souhaite un meilleur partage des informations entre l'atelier et le site de vente. Ainsi, toute prise de rendez-vous à l'après-vente génèrera une publicité automatique pour inviter les clients à commander des accessoires avant leur venue.
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Fabien d'Aumale, le fondateur de Spid Tech, s'est félicité de cette collaboration. "Le groupe Suma a fait preuve d'engagement et d'implication. Ils nous ont permis de découvrir et de comprendre le fonctionnement du DMS Eric Auto qui maintenant fait partie des systèmes sur lesquels nous pouvons intervenir". Une pleine collaboration qui avait valeur de financement du développement des interfaces aux yeux de ce dernier. "Nous allons à présent pouvoir nous concentrer sur l'intégration des produits de marchandising, tel que le textile", explique-t-il.
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