Volkswagen, Hyundai, Renault, Peugeot et Nissan homologués pour produire en Algérie
Le Premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia, avait promis de mettre de l’ordre dans les marques automobiles et concessionnaires associés qui souhaitaient installer des usines d’assemblages sur le sol algérien. Depuis 2016, le gouvernement algérien conditionne la distribution de véhicules à la présence industrielle sur le territoire par le biais d’usines d’assemblage de voitures ou de pièces de rechange. Dix-huit mois plus tard, de nouvelles conditions sont fixées.
A la fin de 2017, le gouvernement a en effet indiqué que seuls cinq constructeurs de véhicules et cinq pour le poids lourd seraient autorisés à assembler, et donc à distribuer des véhicules.
C’est ainsi qu’une nouvelle liste de constructeurs a été évoquée. Pour les véhicules particuliers :
- SPA Sovac (Volkswagen, Seat…) pour 100000 véhicules
- SARL Tahkout (Hyundai) pour 100000 véhicules
- SPA Renault, pour 75000 véhicules
- Peugeot pour 100000 véhicules
- Nissan pour 60000 véhicules
Suzuki a été exclu de cette liste alors que l'usine de l’homme d’affaires Mahieddine Tahkout est opérationnelle depuis plusieurs mois.
"Toute autre entreprise activant dans ce domaine qui n’a pas obtenu l’accord formel des services du ministère de l’Industrie et des Mines, ni reçu l’accord du Conseil national de l’investissement (CNI) est considérée en situation irrégulière et devra cesser ses activités", précise le Premier ministre dans une note.
Sur le même sujet
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.