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Distribution

By My Car change son traitement VO

Publié le 7 juin 2013

Par Gredy Raffin
2 min de lecture
Comme il était présagé depuis le début de l'année, l'ensemble du groupe a procédé à une refonte de ses méthodes de gestion de l'activité VO. Un projet que le distributeur aux 27000 VN et 16000 VO conduit avec la société Bee2Link.

Au 12 juin prochain, la totalité des trente concessions du groupe By My Car aura procédé à un changement de sa méthodologie VO. En effet, sous l'impulsion de Jean-Louis Mosca et Jérôme Gerbier, les patrons de la plaque aux quatorze marques, la société Bee2Link équipera les points de vente de sa solution WebApp4You et plus particulièrement de ScanVO, le module développé sur la base de Radar VO d'Autovista.

De manière très claire, WebApp4You devient l'outil de référence, en lieu et place de la cote Argus, que les dirigeants ne souhaitent plus voir utilisée par les collaborateurs. "Nous leur vendons un outil complet qui permet de s'en passer, se félicite Xavier Cotelle, dirigeant de Bee2Link. Il apparaît que, pour le groupe, seule la valeur de marché a de l'importance désormais."

Aux côtés des modules "configuration de véhicule", "comparateur", "SpotVO", "Radar", "Frevo" (Frais de remise en état) et "cote", il y aura donc "ScanVO", un service mis au point par Bee2Link. "Il s'agit d'une application qui a l'intelligence de RadarVO, le contenu de «configuration» et qui peut être implémentée dans le système d'informatique de n'importe quelle concession", décrit son créateur, Xavier Cotelle, connu par ailleurs pour avoir accouché autrefois de V12Web (CRM).

Moins cher que l'Argus

Dans les faits, ScanVO assiste les équipes de vente lors de la reprise d'un véhicule. Le commercial calcule le montant des frais, soumet ensuite une valeur de reprise à son responsable, qui la validera en fonction des prévisions de vente et des données du marché fournies par Autovista.

"A raison de 80 à 90 centimes d'euros par requête, le coût de l'Argus peut s'élever à plus de 100000€ par an pour un groupe de cette envergure", estime Xavier Cotelle, qui a choisi un modèle économique basé sur une facture de quelques centaines d'euros par mois et par site (en fonction du volume de vente), pour un usage illimité.

Deux semaines après les débats sur le pricing, lors des Etats-Majors du VO du Journal de l'Automobile-JTA, c'est une preuve que la vision des grands est en passe d'évoluer.

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