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Constructeurs

La fusion Renault-FCA n'est pas la priorité

Publié le 30 août 2019

Par Christophe Jaussaud
2 min de lecture
Malgré la relance du patron de FCA durant l'été, la fusion entre le français et l'italo-américain n'est toujours pas d'actualité. Aucune négociation n'est en cours selon un représentant de l'Etat.
La priorité pour Martin Vial est de consolidé les liens avec Nissan avant d'étudier une éventuelle fusion avec FCA.

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Une mise au point de rentrée. Martin Vial, le commissaire aux participations de l'Etat français, a rappelé, le 30 août 2019 au micro de Radio Classique, les priorités du moment concernant Renault. "Il n'y a pas à ma connaissance de nouvelles négociations entre Fiat et Renault. En tout état de cause, pour l'Etat actionnaire de Renault, la priorité c'est l'alliance (avec Nissan), c'est le projet industriel de l'alliance. Tant que cette priorité n'est pas mise en œuvre de façon effective, il n'y a aucune raison d'examiner d'autres opérations."

 

Il faut y voir une réponse indirecte aux commentaires de Mike Manley, le patron de FCA, durant l'été. Ce dernier avait déclaré début août son "intérêt" pour qu'une telle fusion soit remise à l'ordre du jour "si les circonstances devaient évoluer".

 

Alors que l'Etat français paraissait au printemps avoir désavoué le PDG de Renault, Jean-Dominique Sénard, favorable à une fusion, le patron de l'Agence des participations de l'Etat (APE) a reconnu que "ces rapprochements font évidemment beaucoup de sens". "Mais on ne peut pas le faire contre le premier partenaire historique de Renault qui est Nissan", a-t-il souligné.

 

Martin Vial a par ailleurs assuré que "depuis l'assemblée générale de Nissan fin juin, les tensions sont retombées" entre les deux constructeurs français et japonais, dont les relations avaient été mises à mal par l'affaire autour de l'ancien PDG de Renault-Nissan Carlos Ghosn. "Les deux directions d'entreprise travaillent sur le renforcement des projets industriels. Pour nous c'est la priorité des priorités", a martelé de patron de l'APE. "Il faut mutualiser au maximum les investissements massifs dans la voiture autonome, la propulsion électrique, la connectivité." (avec AFP)

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