Les eurodéputés ont voté, à une large majorité, pour la baisse des émissions de CO2 de 37,5 % d'ici 2030, soit une moyenne inférieure à 60g/km contre 95g en 2021.
Pour l’association T&E, le cycle d’homologation WLTP ne serait toujours pas suffisant pour mesurer le vrai niveau de consommation et d'émissions des véhicules particuliers.
Mauvaise nouvelle pour le réchauffement climatique. La bascule du diesel vers l’essence pour les VP neufs ainsi que l'engouement pour les SUV ont fait remonter, en 2018, le grammage moyen de CO2 à un niveau qui n’avait plus été atteint depuis quatre ans.
La limite de 95 g/km de CO2 approche à grands pas et les amendes susceptibles d'être données aussi. Xavier Mosquet et Patrick Pelata estiment que certains constructeurs pourraient payer entre 500 millions et 1 milliard d'euros de pénalités.
L’idée d’accorder la vignette Crit’Air 1 aux véhicules diesel les plus récents alimente les discussions au sein du Gouvernement. Tous les ministres ne sont pas sur la même longueur d’onde.
Les distributeurs et automobilistes français peuvent, momentanément, souffler : la prise en compte du cycle WLTP pour la mesure des émissions de CO2 des véhicules légers a été officiellement repoussée au 1er janvier 2020.
Selon les données AAA Data, le grammage moyen en CO2 des véhicules particuliers neufs vendus en France a atteint 112 g. A l’origine de cette hausse, la combinaison du recul du diesel, du succès des SUV et de l'application du cycle WLTP.
La Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil de l’Europe sont parvenus à s’entendre sur les objectifs de réduction des émissions de CO2 des VP et VUL neufs à échéance 2025 et 2030.
La Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil de l’Europe ne sont pas parvenus à trouver un accord sur les objectifs de réduction des émissions de CO2 des VP et VUL neufs. Le dernier mot devrait donc être prononcé début 2019.
Les ministres de l’Environnement des 28 pays membres de l’Union européenne se sont mis d’accord sur un objectif de réduction des émissions de CO2 de 35 % pour les VP et 30 % pour les VUL, à atteindre d’ici à 2030.
Le vote des 28 ministres de l’Environnement des membres de l’Union européenne en faveur d’une réduction des émissions de CO2 des VP et VUL neufs n’a pas manqué de susciter de vives réactions.
Le président de la République serait prêt à défendre une position plus souple à Bruxelles sur la baisse des émissions de CO2 en 2030. En contrepartie, il demande un effort des constructeurs dans le renouvellement du parc automobile français.
Les députés du Parlement européen ont tranché : les constructeurs devront abaisser le niveau d’émissions moyen de CO2 de leurs VP et VUL de 40 %, à l’horizon 2030, par rapport à leur objectif personnalisé de 2021.
Le club Agora des responsables de flottes automobiles organisait un dîner-débat sur le thème de l’impact du cycle WLTP sur les flottes. L’occasion d’officialiser le report de la prise en compte des valeurs CO2 des véhicules selon le cycle WLTP.
Coup dur pour l’industrie automobile européenne : comme attendu, la Commission Environnement du Parlement européen a durci le ton en matière d’émissions de CO2 des véhicules légers neufs à l’horizon 2030.
L’Agora des responsables des flottes automobiles entame sa nouvelle saison avec un sujet au cœur de l’actualité : le cycle d’homologation WLTP. Rendez-vous est donné le mardi 18 septembre.
Le vote des futures normes d'émissions de CO2 pour 2030 se joue ce lundi 10 septembre 2018 au Parlement européen. Si les constructeurs plaident pour une baisse de 20 %, Bruxelles souhaite les réduire de 30 % et même de 50 % pour le Parlement !
Un nouveau soupçon est jeté sur l’honnêteté des constructeurs automobiles : la Commission européenne les accuse d’avoir artificiellement gonflé leurs niveaux de rejets de polluants afin d’être en mesure de réclamer des objectifs 2025 et 2030 moins ambitieux en termes de réduction d’émissions.
Le 10 juillet, les députés des commissions Transports et Industrie ont examiné le texte relatif aux objectifs des émissions de CO2 post 2020. Avec, à la clé, une baisse attendue de 30 % d’ici 2030, conformément à ce qu’avait proposé la Commission européenne.
Déjà engagée dans une procédure judiciaire contre l'Etat fédéral américain, la Californie vient de rallier 17 autres Etats à sa cause afin de pouvoir conserver la loi précédente sur le niveau des émissions.