Wash va de l'avant
Depuis le 1er avril, et ceci comme annoncé en début d'année, Wash a lancé sur ses stations la vente de recharges digitales avec l'objectif de développer les usages de l'application sur le point de vente. À cet effet, l'enseigne lavage de TotalEnergies a déployé un présentoir qui contient une boîte de collecte des cartes Wash usagées afin qu'elles soient recyclées, pour les clients qui passent donc de la carte à l'application lors du passage en caisse.
"Pour inciter le client à passer sur l'application, un QR code propre à chaque station renvoie vers un lien de téléchargement de l'application qui permet au nouvel utilisateur de bénéficier d'un lavage gratuit", explique Vincent Lebarbenchon, responsable partenariats & communication de TotalEnergies Wash France.
Et puis, pour ce qui concerne l'actualité de Wash, l'heure est également à la mise en œuvre de tests sur le matériel visant à limiter la consommation énergétique et principalement de l'eau, sans dégrader la qualité de la prestation : diminution de la pression des pompes sur les portiques multiprogrammes (de 60 à 50 bars), système de mise hors gel en circuit fermé sur les installations Haute Pression pour éviter la consommation d'eau (sachant que d'ordinaire, le filet d'eau continu est perdu), et également vente de lave-glace en vrac sur des distributeurs appropriés (sites de Seclin et Roissy). En effet, le fait de remplir le réservoir de lave-glace du véhicule directement depuis un distributeur revient à supprimer les traditionnels bidons plastiques.
Une étiquette énergétique lavage pour toujours plus de transparence
Parallèlement à ces tests, Wash réfléchit sur la création d'une étiquette énergétique lavage pour permettre au client final d'arbitrer sur le choix du programme de lavage. Une démarche qui se rapproche de celle en vigueur sur le matériel d'électroménager et audiovisuel, et qui permettra de déterminer en toute transparence une classification en fonction des programmes de lavage et leur impact environnemental. Ici, il est évidemment question du critère consommation d'eau, du critère consommation du produit lessiviel et aussi du critère consommation d'électricité, par rapport au temps de lavage.
"Outre cette étiquette, nous réfléchissons à créer un label pour nos centres de lavage qui prendrait en compte la présence d'un module de recyclage, l'alimentation via l'électricité solaire (panneaux photovoltaïques sur les ombrières et toit), le recyclage des cartes, le circuit hors gel HP, etc.", indique Vincent Lebarbenchon. Actualité assez dense donc, pour le réseau leader du lavage sur le territoire avec quelque 1 100 centres implantés.
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