Ecolave tisse sa toile
Début juillet, l’enseigne Ecolave ouvrait son 8e centre esthétique fixe à Vilhonneur, à une vingtaine de kilomètres d’Angoulême. Une initiative à mettre au crédit de David Grua, jeune entrepreneur trentenaire déjà franchisé Ecolave sur les départements de Charente et Dordogne, avec une clientèle composée à 99% de professionnels.
Aujourd’hui, le spécialiste du lavage "sans eau" à la main démarre la rentrée de belle manière avec une nouvelle ouverture, la première dans le département des Vosges, et plus précisément sur le secteur d’Epinal. Originaire de l’Ile Maurice qu’il a quittée il y a un an, Aubrayan Bauda devient en effet nouveau franchisé Ecolave et par là même chef d’entreprise à seulement 21 ans. Totalement séduit par l’enseigne, ce nouveau franchisé démarre tout juste son activité, après avoir effectué une formation fin juillet…
Une spirale ascendante pour Ecolave, dont le développement de la franchise a commencé en 2009 et qui compte aujourd’hui plus d’une quarantaine d’agences. "Depuis janvier, nous enregistrons sept ouvertures et nous devrions boucler l’année sur treize à quatorze ouvertures, indique Jérémy Richard, le fondateur d’Ecolave. La conjoncture n’étant pas simple, il est clair que nous tirons notre épingle du jeu avec le recrutement de nouveaux adhérents, sans doute séduits par notre image plutôt montante." Et d'ajouter : "Certes, aujourd’hui, notre implantation est conséquente, mais beaucoup de travail reste encore à faire pour obtenir un maillage régional en mesure d’offrir systématiquement un service de proximité à un client professionnel demandeur." Au-delà de cet aspect, l’exercice en cours se présente bien sur le plan business, certains franchisés ayant même battu leur record en termes de chiffre d’affaires sur la période estivale. Il faut dire que les préparateurs VO salariés à plein temps dans les entreprises propres à la distribution automobile sont comme les autres, ils partent en vacances ! "Globalement, à part la semaine qui fait suite au Nouvel an, notre activité ne connaît pas de temps morts", souligne Jérémy Richard. Tant mieux.
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