S'abonner
Services

Des bases solides pour Lavance

Publié le 26 février 2014

Par Marc David
2 min de lecture
Avec un panel clientèle équilibré tout comme sa propre activité, le groupe Lavance a conclu l’exercice 2013 sur une note positive. De quoi prétendre à des ambitions à la hausse pour 2014.
Avec un panel clientèle équilibré tout comme sa propre activité, le groupe Lavance a conclu l’exercice 2013 sur une note positive. De quoi prétendre à des ambitions à la hausse pour 2014.

Pour Lavance, le distributeur exclusif d’Istobal sur l’Hexagone, l’exercice 2013 s’est conclu sur une note équivalente à celle de l’année précédente via un chiffre d’affaires de 39 millions d'euros dont 16 millions en négoce VL, réalisé au travers de quelque 300 portiques livrés et installés (dont 25% de rénovés) et plus de 60 centres HP de deux pistes en moyenne. Un résultat obtenu via les indépendants (40% des investissements), les GMS (40% des investissements également), les concessionnaires/garagistes et les stations-service (20%). "En dépit du début d’année difficile, le deuxième semestre nous a permis de réaliser une très belle fin d’année avec un carnet de commandes excellent, en particulier depuis Equip Auto, note Guillaume Roux, le directeur général du Groupe Lavance.Le secteur des GMS, notamment, s’est révélé assez porteur en 2013, bien mieux qu’en 2012. En outre, par rapport au marché du renouvellement, la création se porte bien. En effet, en incluant également la prise à la concurrence, elle a pesé pour 60% de notre chiffre. De quoi nous donner des ambitions encore plus importantes pour 2014."

Par ailleurs, sur le plan des contrats de maintenance, donc du SAV, Lavance a connu une progression de son CA en 2013 de l’ordre de 3%, avec une rentabilité en progression de 5%. "Certes, le négoce est important dans la mesure où il conditionne ensuite différents types de contrats liés au SAV, mais le niveau de marges dégagées demeure relativement faible compte tenu de la bagarre sur les prix, et en tous les cas inférieur à celui du SAV", fait remarquer Guillaume Roux. Enfin, en ce qui concerne l’exploitation des stations Superjet (voir par ailleurs), la progression du CA se révèle significative, équivalente à 30% (7,1 millions d’euros contre 5,5 millions en 2012). "Le fait que le négoce, le SAV et l’exploitation se positionnent dorénavant sur un niveau quasi identique solidifie notre structure", souligne Guillaume Roux. Certes.  

Vous devez activer le javacript et la gestion des cookies pour bénéficier de toutes les fonctionnalités.
Partager :

Sur le même sujet

Laisser un commentaire

cross-circle