Motul à l’électrique

Le Trophée Andros, qui fête cette année son 30e anniversaire, vient de connaître comme à l’accoutumée son coup d’envoi dans la station de ski de Val-Thorens. Comptant six épreuves, la saison 2018-2019 se terminera cette année par une grande finale au Stade de France le 9 février prochain. A l’occasion de cette ultime épreuve de la classique hivernale, Motul active son jeu concours "Motul SuperFan" afin de permettre à un(e) passionné(e) de sports mécaniques de vivre au plus près l’effervescence de la piste glacée (inscription sur le site www.motul.com).

Mais, surtout, l’IG d’Aubervilliers renforce son partenariat dans le célèbre championnat sur glace. Déjà impliqué depuis de nombreuses années dans le cadre de de la fourniture de produits dédiés aux moteurs thermiques, Motul s’est investi aux côtés des organisateurs du trophée pour mettre en place une catégorie 100 % électrique, avec à la clé le développement de produits pour les motorisations hybrides et électriques.

Aujourd’hui, après plusieurs éditions très prometteuses, la catégorie électrique se place au niveau de performances de la catégorie thermique en "Elite Pro", sachant que la balance devrait pencher d’un côté ou de l’autre en fonction des tracés. En ce sens, Aurélien Panis vient de marquer l’histoire de la grande classique en s’imposant dès la manche inaugurale de Val-Thorens au volant de son "Andros Car électrique" !

Il faut dire que, en étroite collaboration avec la société française Exagon Engineering, le constructeur des Andros Cars électriques, Motul a mis au point une huile de transmission à même de délivrer un couple maximum (1600 Nm) dès les premiers tours moteur (tout en offrant une protection optimale des engrenages) ainsi qu’un fluide de refroidissement nouvelle génération de base non aqueuse. Ainsi, trois nouvelles Andros Sport 01 quatre roues motrices et directrices 100 % électriques sont désormais en mesure de combattre les "thermiques", dont la n°32 de Nicolas Prost, aux couleurs de Motul (la troisième revenant à Franck Lagorce). Le rouge est mis !