Bartender Lubs Kennol

Proposer aux professionnels un équipement de garage à la fois esthétique et pratique, tel était l’objectif de Kennol en développant son nouveau Bartender Lubs, soit un "bar à huile" au design novateur. D’ailleurs, le design exclusif de cet outil a fait l’objet d’un dépôt de "Dessins & Modèles" auprès de l’Inpi, soulignant ainsi la démarche qualitative et exclusive de la marque de Cholet.

Sur le plan pratique, le Bartender permet de transporter neuf tonnelets répondant à l’ensemble des besoins en matière de vidange automobile, avec six huiles moteur (5W30 C1, C2, C3, C4, 504/507 pour VW et 5W40 C3) et trois huiles de transmission (Dexron III, 75W90 et 75W80), couvrant ainsi 100% des demandes du parc auto FAP.

Mais en prenant réellement en compte l’usage et le design, ses atouts sont ailleurs. C’est ainsi que l’idée d’incliner les tonnelets vers l’avant permet non seulement d’améliorer la ligne de l’ensemble, mais surtout de charger plus facilement les neuf tonnelets de 30l chacun, de faciliter les écoulements de certaines viscosités et d’aller jusqu’au fond des fûts. Logique !

En outre, ce présentoir est mobile. Dans son cas, les quatre roulettes renforcées et directrices permettent de travailler "avec" cet équipement au lieu de devoir travailler autour. Les emplacements en forme d’alvéoles, signature distinctive de la marque, font alors office de poignées, et il est surprenant de constater avec quelle facilité cet ensemble se manipule, en dépit de son poids avoisinant les 300kg !

A ce niveau, il faut savoir que l’équipe design et ingénierie qui l’a conçu a effectué bon nombre de tests sur les équilibres et les résistances de matériaux (notamment l’acier non allié de la charpente) en calculs par éléments finis, avant de valider ces solutions en prototypage. Le tout pour arriver à un équipement de garage abouti, ergonomique et, il faut le reconnaître, très beau. Un aspect suffisamment rare dans le milieu pour être souligné. De quoi, également, rencontrer un vif succès auprès des professionnels, qui oblige d’ailleurs Kennol à revoir en partie ses volumes initiaux, et donc les rythmes de production auprès de son fournisseur exclusif.