Maxime Beyet complète son offre avec Coach My Car
Les idées foisonnent dans l'esprit de Maxime Beyet. Quelques semaines après avoir levé le voile sur sa nouvelle enseigne Bolides et Légendes, l'entrepreneur bordelais finalise un nouveau projet. Devenu spécialiste des transactions de voitures d'occasion entre particuliers avec Bye Buy Car, il veut accompagner ce même public d'une manière complémentaire.
La rentrée de septembre 2023 va, en effet, marquer le lancement de Coach My Car. Il s'agit d'une troisième franchise derrière laquelle se cache un bouquet de services et d'outils. Des professionnels partenaires seront formés pour aider les clients... à vendre leur véhicule par eux-mêmes.
L'idée part du constat que Bye Buy Car ne parvient pas toujours à convaincre les prospects. Certains tiennent à vendre leur bien pour tirer le maximum de valeur. Coach My Car apportera une réponse avec un lot de prestations et d'outils selon plusieurs niveaux d'interaction.
Cinq formules de prestations
Dans les faits, le coach aidera le client à optimiser son annonce. Ce qui va de la prise de vue du véhicule à la mise en ligne de l'offre, en passant par l'aide à la rédaction du texte. Coach My Car ajoute également un accès à l'outil de captation pour les visites virtuelles du véhicule à 360°. Les quatrième et cinquième packs ajoutent respectivement une garantie de douze mois et la prestation de gestion de la vente.
Un dernier élément qui tisse le lien avec Bye Buy Car ou Bolides et Légendes. "Nous chercherons des franchisés, explique Maxime Beyet. Il n'y aura aucune exclusivité, mais le concept sera systématiquement proposé à nos partenaires des réseaux en place", confirme-t-il pour défendre l'intérêt du principe qu'il a imaginé.
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La formation et la mise à disposition du matériel nécessaire pour lancer Coach My Car sera facturé 2 000 euros environ. Ensuite, les franchisés payeront une redevance pour accéder aux serveurs et un pourcentage sur le chiffre d'affaires généré par la vente des forfaits aux consommateurs. Une manne financière qui, selon l'argumentaire de l'instigateur, s'inscrivait jusqu'à présent dans la colonne du manque à gagner.
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