Le VUL fait le plein de volume

Le VUL se porte bien, merci pour lui ! En février, à nombre de jours ouvrables comparables, le marché a progressé de 7,5%, entre 2015 et 2016. En données brutes, les 33209 unités correspondent à une croissance de 12,9%. Ce qui amène le volume cumulé de l'année en cours à 61251 immatriculations, soit 12,5% de croissance.

De ce contexte favorable, les constructeurs nationaux tirent un grand profit. En février, ils ont vu leurs mises à la route gagner 13,6%, à 22389 unités, s'arrogeant au passage 67,42% de parts de marché (+0,39 point). Les importateurs ont pesé 10820 unités, en essor de 11,6%, par rapport à 2015.

D'une très courte tête, le groupe Renault a pris l'avantage sur son concurrent, PSA Peugeot Citroën, avec 11269 unités (+17,5%), contre 11049 unités (+9,8%). Par marque, Renault totalise 11117 exemplaires (+19,8%), Peugeot 5856 unités (+19,5%) et Citroën 5141 unités (+0,6%). Au cumul des mois, le groupe PSA conserve néanmoins le premier rang, avec 21007 unités (+13,1%). Renault, en croissance de 13,6%, a immatriculé 13,6%, sur la période.

Fiat et Ford solides

Fiat a confirmé son état de forme. L'Italien a vendu 3698 véhicules utilitaires, progressant de 10,7%. Ajouté au mois de janvier, le volume atteint 6735 unités, soit +10,3%. Distancés, les importateurs concurrents se battent sur des écarts plus serrés. Ford (+15,6%) a commercialisé 2136 unités en février, quand Mercedes livrait 1478 véhicules (+29,8%) et Volkswagen 1474 unités (+11%). Le groupe de Wolfsburg reste devant celui de Stuttgart au cumul des deux mois, avec 2995 unités (+14,3%), contre 2825 unités (+33,6%).

Plus modestes, Nissan, Opel et Toyota connaissent des fortunes diverses. Alors que Nissan gagne 21,1%, à 558 unités, Opel et Toyota accusent des retraits de respectivement 9,7% (473 ex.) et 18% (406 ex.).