Renault - Avtovaz : la suite
...a démissionné. Sa requête a été acceptée par le conseil d'administration du constructeur russe le 1er août dernier. Officiellement ce départ a été motivé par un nouvel emploi mais pour le quotidien russe Kommersant, Igor Essipovskiï était en désaccord avec son adjoint Alexandre Pronine, lequel serait favorable à la vente d'une partie d'Avtovaz à Renault. Toutefois, un employé de la société, sous couvert d'anonymat, a déclaré à l'agence russe Interfax que le constructeur "n'a pas l'intention de vendre des actions à Renault ou à toute autre compagnie étrangère." Rappelons que le constructeur français aurait proposé, selon la presse russe, la création d'un joint-venture capable de produire 450 000 véhicules par an, accompagnée d'une prise de participation, à hauteur de 25 %, afin de sécuriser cet investissement.
Christophe Jaussaud
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