Peugeot fait un pas de plus dans la vente en ligne
Caroline LESAGE
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PSA s’est imposé l’été dernier comme précurseur en France en permettant à ses deux plateformes Peugeot WebStore et Citroën CarStore de proposer l’achat intégral en ligne de véhicules neufs issus des stocks des concessionnaires. Le groupe est aujourd’hui prêt à aller plus loin comme l’explique Laurent Barria, directeur marketing de Peugeot France dévoile ses projets : "Peugeot WebStore et Citroën CarStore ont été les premières briques d’une stratégie plus complète. Ces sites ont permis de nous familiariser avec le e-commerce afin de proposer dès septembre un Peugeot WebStore qui ne concernera plus uniquement les véhicules en stock, mais aussi tous les véhicules de la gamme, configurables à l’envi."
Dès cet été, Peugeot WebStore s’enrichira d’un module de reprise, avec engagement ferme du concessionnaire. Un outil indispensable à l’heure où 80 % des achats de véhicules neufs sont assortis d’une reprise. Deuxième module prévu : le financement avec accord en ligne. L’ajout de ces deux modules conduira à la possibilité d’acheter un véhicule via un acompte, sur le modèle de ce que propose déjà la marque au Royaume-Uni.
Un réseau prêt à cette évolution
Pour la marque au lion, Laurent Barria estime que Peugeot CarStore pourrait générer entre 5 à 10 % de ses ventes de véhicules neufs d’ici trois à quatre ans. "Si nous vraiment répondre aux attentes des clients et leur proposer un parcours digital sans couture, nous devons être capable de proposer des prestations dignes de celles qu’offrent les concessionnaires, poursuit Laurent Barria. Le réseau a évidemment eu une appréhension suite à notre première offensive sur le digital. La première interprétation a été de croire que le constructeur voulait développer la vente en ligne et que cela allait cannibaliser les ventes du réseau. Ce n’est pas du tout le sujet." L’objectif ici est bien de répondre à une attente des clients.
"Si ne nous sommes pas présents sur ce canal, nous serons éjectés d’une partie des ventes de véhicules neufs. Le but n’est donc pas de remplacer le point de distribution puisqu’il gardera demain une commission sur le prix de vente et continuera d’assurer la livraison du véhicule, mais bien de le faire évoluer pour accompagner cette tendance", conclut Laurent Barria.
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