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Pas de plan sur la comète chez Dynamism Automobiles

Publié le 21 décembre 2012

Par Armindo Dias
3 min de lecture
Sébastien Richer, dirigeant de Dynamism Automobiles - L'an prochain, le groupe de distribution souhaite afficher au moins la même production financière qu'en 2011. Il ambitionne aussi de maintenir ses taux de pénétration en financement VN, tant du côté de BMW que de Mini. Dynamism Automobiles exploite deux sites, distribue les marques BMW et Mini, et travaille quasi exclusivement avec BMW Financial Services.
Sébastien Richer, dirigeant de Dynamism Automobiles - L'an prochain, le groupe de distribution souhaite afficher au moins la même production financière qu'en 2011. Il ambitionne aussi de maintenir ses taux de pénétration en financement VN, tant du côté de BMW que de Mini. Dynamism Automobiles exploite deux sites, distribue les marques BMW et Mini, et travaille quasi exclusivement avec BMW Financial Services.

JOURNAL DE L’AUTOMOBILE. Comment votre activité financement a-t-elle évolué depuis début 2012 ?
SEBASTIEN RICHER.
Plutôt favorablement malgré un premier trimestre très difficile. En cumul à la fin octobre, nous affichions un taux de pénétration en financement VN de 42% côté BMW et de 25,2% côté Mini (NDLR : c'est mieux que la moyenne du réseau pour BMW et moins bien pour Mini). Sur le même périmètre, nous avons en outre affiché un taux de pénétration de 10,1% en fleet et de 138,3% en services associés. Notre groupe a, qui plus est, comptabilisé 96 dossiers de financement VO pour 305 livraisons de VO. Il s'agit là aussi d'un motif de satisfaction.

JA. Et sur quelle volumétrie tablez-vous en VN sur l'ensemble de l'exercice ?
SR.
Nous pensons pouvoir totaliser environ 130 dossiers de financement en BMW et environ 40 en Mini. Nous en avions comptabilisé un peu plus l'an dernier en raison de taux de pénétration légèrement plus élevés (NDLR : le groupe a traité 152 dossiers de financement en BMW et 56 en Mini sur 2011). Mais nous ne sommes pas déçus pour autant. Nos taux de pénétration restent élevés et nous continuons à monter en régime en matière de financement à professionnels. Pour preuve : nous tablions sur 29 dossiers de financement à professionnels sur l'ensemble de l'exercice et nous en comptabilisions déjà une quarantaine à la fin octobre. Les fichiers et outils mis à notre disposition par le constructeur portent donc leurs fruits.

JA. Quelles priorités vous êtes-vous fixées sur 2013 ?
SR. En plus de continuer à percer le marché des professionnels, nous allons chercher à placer plus de financements aux barèmes éligibles. Ces derniers sont synonymes de primes annuelles plus élevées pour notre groupe et de commissions très intéressantes pour nos vendeurs. Elles peuvent en effet aller jusqu'à 200 euros. Nous n'avons en revanche pas l'intention de travailler avec de nouveaux partenaires financiers, notre activité financement s'effectuant aujourd'hui à hauteur de 99,5% avec BMW Financial Services et de 0,5% avec Financo ou CGI.

JA. Et sur quels niveaux de production misez-vous sur 2013 ?
SR.
Nous aimerions faire aussi bien qu'en 2011. Sur ce dernier exercice, notre production financière totale s'est élevée à 8,5 millions d'euros, dont 2,5 millions d'euros de production éligible. Et il va bien évidemment sans dire que, l'an prochain, nous souhaitons continuer à afficher un taux de pénétration en financement VN d'au moins 42% côté BMW et d'au moins 25,2% côté Mini.

 

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