“Partenaires, professionnels et LOA”

JOURNAL DE L’AUTOMOBILE. Quel bilan de ce 1^er semestre ?

NATHALIE HURON. Un semestre conforme à nos objectifs ! Sur la période, 10 % de notre production globale s’est faite avec des distributeurs avec lesquels nous ne travaillions pas l’an dernier et sur le seul périmètre de la métropole, notre production a progressé de 10 %. Sur les six premiers mois de l’année, les marques Premium ont en outre contribué à notre production globale à hauteur de 37 % et notre production auprès des seuls clients finaux professionnels a augmenté de 7,5 %. Depuis plusieurs mois, GE Money Bank s’attache à se développer sur le marché des professionnels via l’organisation de petits-déjeuners fiscalité à destination de ses partenaires distributeurs, en plus de chercher à asseoir ses positions sur le marché du Premium.

JA. Quelles techniques de financement ont particulièrement contribué à votre activité au 1^er semestre ?

NH. Le crédit-bail et la LOA, deux techniques avec lesquelles nous avons enregistré des hausses aussi bien en VN qu’en VO. Pour preuve : au premier semestre, nos productions en LOA VO et en crédit-bail VO ont progressé de respectivement 18 % et 26 %. Les produits locatifs répondent plus que jamais aux attentes des clients finaux et des distributeurs, ces derniers pouvant à la fois fidéliser la clientèle finale et se constituer un parc VO de qualité.

JA. Des nouveautés sont-elles également au programme de GE Money Bank ?

NH. Oui. Sur le dernier trimestre 2015, nous avons prévu de lancer des packs regroupant des extensions de garantie et des prestations d’entretien, des produits qui pourront être souscrits aussi bien avec des VN qu’avec des VO. Nous allons donc continuer notre stratégie de reconquête en France métropolitaine, GE Money Bank étant déjà leader dans les DOM. Nous avons l’intention de séduire de nouveaux partenaires distributeurs, comme le prouve l’évolution de notre force commerciale terrain entre le premier semestre 2014 et le premier semestre 2015 : elle a augmenté de 20 %. Nous ambitionnons d’accroître notre production en France métropolitaine de 10 % à 15 % tous les ans d’ici à 2017.