
Chez les constructeurs comme chez leurs distributeurs, il est venu le temps de rationaliser. En clair, il est devenu nécessaire de faire le tri pour minimiser le nombre d’éditeurs intervenants dans les réseaux. Une politique dictée par des obligations financières, d’abord, et par simple logique, ensuite. Alors, on s’interroge : Quels sont les fournisseurs les moins chers ? Quels sont ceux dont les apports sont les plus intéressants ? Chacun des acteurs possède ses arguments, mais la décision finale reviendra toujours aux constructeurs dont beaucoup désormais envisagent, comme Toyota ou Honda, d’instaurer une règle de préconisation. L’heure est au ROI et le temps presse.