Packs, hybrides et VO

Si Toyota Financial Services a réalisé une très belle année en 2013, la captive n’a pas pour autant l’intention de se reposer sur ses lauriers en 2014. Pour preuve : cette année, elle compte encore progresser au niveau de ses produits fidélisants Combinaison Toyota/Pack Relax, elle a l’intention d’innover sur les véhicules hybrides et elle ambitionne d’accroître sa production VO. “Nous comptons poursuivre notre stratégie Pack Relax car elle contribue directement à l’extension de la chaîne de valeur dans le réseau”, explique Hervé Forzani, le directeur ventes et marketing de Toyota Financial Services. En 2013, la captive a vendu quasiment deux fois plus de packs Combinaison Toyota/Pack Relax qu’en 2012 (9 939 en 2013 et 5 850 en 2012). “Ces produits ont concerné toujours plus de modèles et ils ont représenté l’une de nos priorités sur 2013”, poursuit Hervé Forzani.

Côté hybrides, la financière travaille sur des offres spécifiques, et ce, tant en VN qu’en VO. “Nous menons une réflexion à 360° sur la “marque” hybride”, souligne François Suiro, le responsable marketing de Toyota Financial Services. En clair, la captive souhaiterait désormais pouvoir proposer des offres qui tiennent compte de tous les paramètres spécifiques aux véhicules hybrides (entretien, VR…).

Un nouveau produit de maintenance VO

La hausse de production VO sur laquelle mise la captive cette année ? Celle-ci devrait reposer pour partie sur son tout nouveau produit de maintenance VO, valable aussi bien sur des modèles estampillés Toyota que Lexus (il a été lancé commercialement en mars 2014). “Certains distributeurs l’intègrent dans leurs ventes VO à hauteur de 40 %”, relève Hervé Forzani. Il y a donc, au final, fort peu de chances pour que Toyota Financial Services fasse moins bien cette année qu’en 2013.

“Nous utilisons depuis 2013 un nouvel outil qui nous permet de mieux connaître nos clients professionnels, et donc d’être plus performants dans le domaine de la LLD”, rappelle François Suiro. Toyota Financial Services fait en outre toujours 4 fois moins de dossiers VO que de dossiers VN, un ratio que la financière compte bien faire évoluer en comptabilisant toujours plus de dossiers VO. “Nous avons encore un potentiel de développement important en VO”, conclut François Suiro.