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Le choix de l’écologie !

Publié le 6 juillet 2011

Par Marc David
3 min de lecture
Exploitant de centres de lavage au sud de Paris, Nabil Touati se positionne dans le secteur comme l’archétype de l’indépendant. Plutôt visionnaire, il a franchi le pas de l’écologie par le biais de la gamme Evopur de Flowey. Un premier pas à même de séduire la clientèle, tout en lui permettant de se démarquer de la concurrence.
Exploitant de centres de lavage au sud de Paris, Nabil Touati se positionne dans le secteur comme l’archétype de l’indépendant. Plutôt visionnaire, il a franchi le pas de l’écologie par le biais de la gamme Evopur de Flowey. Un premier pas à même de séduire la clientèle, tout en lui permettant de se démarquer de la concurrence.

La passion de l’automobile en général et une attirance non dissimulée pour l’activité du lavage dès son plus jeune âge, voilà la raison qui a poussé Nabil Touati à "plonger" depuis la fin de l’année 2003. "Il m’a fallu patienter avant de me lancer, m’étant rendu compte qu’il fallait quand même un certain apport de fonds, concède-t-il. Le fait d’avoir pu cumuler plusieurs petits boulots m’a permis d’acquérir ma première station à Achères, près de Poissy". Aujourd’hui, notre homme a fait du chemin puisqu’il dispose désormais de quatre centres de lavage sur la région parisienne et plus précisément à Thiais, Villejuif, Antony et tout dernièrement Orly, par le biais de sa société indépendante Sud Lavage Auto. De quoi dégager un CA annuel d’environ 650 000 € HT (via ses trois premiers centres). Précision d’importance, ces quatre centres sont issus de rachats et non de créations à l’état pur, le foncier se raréfiant de plus en plus en Ile-de-France…

Partant de là, le panier moyen s’avère variable, en fonction du site. Ainsi le site de Thiais, notamment, dispose d’un panier moyen de 6,50 € en ce qui concerne exclusivement la HP. "Thiais Car Wash" est aussi le premier site sur lequel a été implanté un portique haut de gamme, en l’occurrence le modèle Varius de Christ. Si le coût de ses programmes s’étale de 8 à 18 €, le panier moyen se situerait plutôt à 11 €. En clair, ce portique lui a permis d’augmenter son chiffre d’affaires et aussi sa marge. Une nécessité, dans la mesure où il doit faire face à une concurrence exacerbée sur le secteur, avec pas moins de quatre centres bien implantés ! Un environnement qui l’amène aussi à trouver des solutions à même de faire la différence.

Pari écolo, pari humain

"Il y a d’abord la présence humaine puisque nos sites, qui fonctionnent 7 jours sur 7 toute l’année, comptent chacun une personne sédentaire, explique Nabil Touati. En ce qui me concerne, je me partage entre les quatre sites. Ensuite, j’apporte un soin tout particulier à la propreté des centres et en particulier des aires de lavage. Là-dessus viennent se greffer des périphériques "exclusifs", tels le nettoyeur moquette, le contrôleur de pression des pneus, les lingettes, etc., le tout sans parler d’une gamme complète de produits d’entretien vendus en boutique". Et puis, bien sûr, il y a les produits de lavage, qui déterminent la qualité de la prestation. Contacté à l’origine par le service commercial Flowey, Nabil Touati a très vite été séduit par la qualité des produits et le service du fabricant luxembourgeois.

S’il travaillait au départ avec la gamme Evolution, il décidait de franchir le pas de l’écologie en mai 2008, en optant pour la gamme écologique Evopur. En quelque sorte, un test "grandeur nature" pour Flowey, dont les produits sont avant-tout testés en laboratoire avant d’être lancés sur le terrain. "Cette gamme fait montre d’une belle efficacité et globalement, je suis satisfait, indique Nabil Touati. Il faut dire que je l’utilise à tous les niveaux de la prestation… le fait que les brosses s’imprègnent du parfum et aussi que la cire soit parfumée, constitue un plus au niveau de la clientèle. En outre, opter pour la gamme Evopur constitue un pari sur l’avenir, d’autant qu’elle répond aux attentes des pouvoirs publics". Il faut savoir, en effet, que Sud Lavage Auto ne dispose pas encore de systèmes de recyclage, dont la mise en service sur les stations existantes s’avère quelque peu coûteuse en raison du génie civil.

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