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La cosmétique selon Clean Auto

Publié le 29 juin 2012

Par Marc David
2 min de lecture
Né d’un besoin du consommateur de conserver la valeur esthétique de son véhicule, le concept Clean Auto compte désormais plus d’une vingtaine de centres sur le territoire.
Né d’un besoin du consommateur de conserver la valeur esthétique de son véhicule, le concept Clean Auto compte désormais plus d’une vingtaine de centres sur le territoire.

Créée en 2000 par Dominique Cottier, un ancien préparateur automobile, la société Clean Auto possède désormais une présence honorable sur le territoire puisqueen l’enseigne comptait 22 centres de rénovation automobile en franchise en 2011. La gamme de services proposés (aux professionnels comme aux particuliers) est alors assez vaste, de la préparation et du nettoyage intérieur et extérieur des véhicules à la rénovation de la carrosserie, en passant par la désinfection des tissus, tapis et moquette. Et puis, en 2011, Clean Auto se rapproche d’Autodis, représentée par Jean Moussous, et enrichit sa gamme de prestations avec désormais le concept de Cosmétique Auto. En plus du nettoyage intérieur et extérieur du véhicule, celui-ci propose la suppression des défauts de surface, les retouches peinture, la rénovation et réparation de jantes, la réparation de pare-brise et autres optiques de phares, etc. "Quand un véhicule passe dans l’un de nos centres, il en ressort avec une certaine plus-value grâce à une méthodologie et un procédé qui permettent de le rajeunir esthétiquement à l’intérieur comme à l’extérieur, souligne Dominique Cottier. Evidemment, les tarifs sont à la carte et varient selon le type de prestation réalisée : de 10 euros pour un lavage simple à 450 euros pour un traitement de peinture. Les produits utilisés sont recyclables et, en outre, l’enseigne a mis en place un système économe en eau avec recyclage.

Côté perspectives, le potentiel d’implantations des centres Clean Auto en France est évalué à 150. L’enseigne prévoit d’ouvrir une dizaine de centres par an sur l’Hexagone à partir de cette année 2012, mais aussi en Suisse et en Belgique. Pour un franchisé, le droit d’entrée est de 5 000 euros, sachant que les investissements se situent à hauteur de 129 000 euros pour un centre clé en main (comprenant les travaux, l’équipement en machines et produits, la formation, l’accompagnement à la création et au développement).

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