Ecolave inaugure le "Centre Esthétique Automobile"

Spécialiste du lavage automobile écologique sans eau, à domicile pour les particuliers et sur site pour les professionnels, Ecolave compte déjà 50 agences en franchise, en France. Un succès non démenti pour le concept que Maël Jolly, franchisé depuis septembre 2010, a contribué à faire évoluer avec l’ouverture du premier site fixe en région parisienne.

Après avoir suivi la formation dispensée par l’enseigne, ce passionné de mécanique de compétition a lancé son agence à Ezanville en octobre 2010. Au bout de quatre mois d’activité seulement, il est, depuis janvier 2011, dans le trio de tête des meilleures performances commerciales du réseau. En février dernier, il engage son premier collaborateur et acquiert un deuxième véhicule puis, en mai, il devient le premier franchisé Ecolave à ouvrir un centre d’esthétique automobile.

Situé au cœur d’un pôle d’activités à Ezanville, ce centre abrite l’atelier sur une surface de 40 m2, un bureau et une salle d’attente. Egalement en mesure de traiter la réparation carrosserie (en sous-traitance), le centre esthétique gère évidemment la préparation de véhicules, du lavage/nettoyage classique jusqu’à la rénovation d’optiques en passant par la réparation des tissus/velours, une première dans le réseau. Et Maël Jolly de dévoiler ses objectifs : "L’idée est de faire en sorte de satisfaire les besoins des clients professionnels, les vendeurs de VO notamment, qui ne disposent pas toujours d’un atelier pour préparer les voitures, ainsi que la clientèle urbaine pour qui il n’est pas toujours possible d’intervenir, en pleine rue par exemple". A terme, l’entrepreneur compte créer trois nouveaux emplois, augmenter sa flotte de véhicules puis se consacrer pleinement au développement de son entreprise.

Reste que, pour Jérémy Richard, fondateur de l’enseigne, la réserve semble de mise. Selon lui, en effet, l’ouverture de ce type de centre ne sera possible que pour des franchisés ayant déjà au moins un an d’activité et ayant démontré la faisabilité économique de l’exploitation de telles structures. Sur cette base, trois nouveaux centres de ce type pourraient voir le jour d’ici la fin de l’année.