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Du lave-glace aux produits de lavage

Publié le 29 juin 2012

Par Marc David
2 min de lecture
Après avoir lancé une pastille de lave-glace "révolutionnaire" et son équivalent en poudre sous la marque Worldclean, Arilco SA décline son concept sur le segment des produits de lavage/nettoyage.
Après avoir lancé une pastille de lave-glace "révolutionnaire" et son équivalent en poudre sous la marque Worldclean, Arilco SA décline son concept sur le segment des produits de lavage/nettoyage.

En partant du principe que les agents actifs représentent généralement entre 15 et 20 % du contenant d’un bidon de lave-glace (80 à 85 % d’eau), la société Arilco basée au Grand-Duché du Luxembourg (également présente en France via un dépôt à Aumetz) a lancé, sous sa marque Worldclean, une pastille révolutionnaire, efficace, pratique, économique et écologique. La démarche est simple : les agents actifs du lave-glace sont concentrés dans une pastille de 10 g biodégradable que le consommateur met directement dans son réservoir de lave-glace, en complétant avec de l’eau. En outre, pour ce qui est du professionnel de l’automobile, le concept a été décliné en poudre, conditionnée en sachets de 150 et 450 g. "De quoi remplacer avantageusement une palette de rétention supportant quatre fûts de 298 litres de lave-glace chacun", fait remarquer Philippe Derville, administrateur d’Arilco SA. Des arguments pouvant être appliqués à un autre secteur, celui du lavage. Ainsi, au départ, soit au printemps dernier, la nouvelle gamme dédiée à ce secteur s’articulait autour de shampooing et de détergent-dégraissant suractivé. Aujourd’hui, Arilco est en train de la structurer en élaborant tout un ensemble de solides destinés à laver les VL, les VUL, les PL, les motos voire les bateaux, le tout sans oublier le secteur industriel. Concrètement, la gamme Worldclean Lavage comporte une dizaine de produits bien ciblés, biodégradables ou non, dotés d’un PH différent. "L’objectif est de proposer à toutes les spécialités de lavage des produits solides en pastilles sous flow packs de 30 g ou en poudre afin de rationaliser la logistique, résume Philippe Derville. La démarche permet en effet une économie en matière de coût de transport puisque nous nous situons à un niveau inférieur à celui du liquide, sans parler du gain de place substantiel sur le plan du stockage." Des arguments convaincants, s’il en est.

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