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Cetelem préconise l'adoption de simulateurs de financement

Publié le 27 avril 2012

Par Armindo Dias
2 min de lecture
Christophe Michaeli, directeur du marché automobile de Cetelem - Ils sont synonymes de liberté et d'efficacité pour les vendeurs, et ils permettent aux distributeurs de faire face à la concurrence de certains établissements financiers quand il s'agit de simulateurs déployés sur les sites Web des distributeurs.
Christophe Michaeli, directeur du marché automobile de Cetelem - Ils sont synonymes de liberté et d'efficacité pour les vendeurs, et ils permettent aux distributeurs de faire face à la concurrence de certains établissements financiers quand il s'agit de simulateurs déployés sur les sites Web des distributeurs.

JOURNAL DE L’AUTOMOBILE. Proposez-vous des simulateurs de financement à vos apporteurs d'affaires, et leurs clients ont-ils la possibilité de faire des simulations directement sur leurs sites Web?
CHRISTOPHE MICHAELI.
 Oui, ces deux types de solutions sont proposés par Cetelem. Tous nos apporteurs d'affaires ont aujourd'hui accès à un simulateur utilisable aussi bien en financement VN qu'en financement VO. Et bien évidemment, toutes les informations traitées via cet outil intègrent directement les deux extranets mis à la disposition de nos apporteurs d'affaires, à savoir Sell’Express et Sell’Master. Le premier, plutôt dédié aux petites structures, permet de réaliser des simulations de financement avec acceptation directe en ligne, et le second, essentiellement destiné aux sociétés d'une certaine envergure, de procéder aux mêmes types d'opérations, en plus de bénéficier d'un certain nombre d'outils d'aide à la vente.

JA. Et concernant les clients de vos apporteurs d'affaires ?
CM.
Ici, nos apporteurs d'affaires ont la possibilité d'intégrer à leurs propres sites Web un simulateur de financement avec pré-acceptation en ligne. Cetelem a lancé ce module il y a environ quatre ans, mais il dispose encore d'une grande marge de développement auprès de nos apporteurs d'affaires. En effet, la plupart des distributeurs français semblent encore réticents à installer ce type d'outils sur leurs sites Web. Ils restent globalement trop timorés en matière d'Internet. Or, ils ont tout intérêt à s'y mettre. Les clients finaux achètent des prix, y compris en matière de financement.

JA. Vous êtes donc partisan d'une généralisation de ce type d'outils sur les sites des distributeurs ?
CM.
Oui, et ils y ont tout intérêt. Ils représentent des leviers de croissance dans la mesure où ils peuvent aussi les aider à faire face à la concurrence, notamment celle des établissements bancaires. Ces derniers sont particulièrement dynamiques sur Internet. Or, en matière de produits comme de financement, les clients finaux font aussi jouer la concurrence. Ne pas être actif en matière de financement sur le Web, c'est donc aussi prendre le risque de voir s'échapper quelques dossiers de financement. Nous sommes ainsi prêts à accompagner dès maintenant les apporteurs dans la conquête de l'internaute !

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